Pays-Bas-Espagne, de demain, sera le plateau final de ce Mondial 2010. Qualifiée pour la première finale de Coupe du monde de son histoire, l’Espagne de Del Bosque est favorite. Sa force ? Un dispositif défensif impressionnant. Cela suffira-t-il, cependant, à contrer le trio néerlandais composé de Sneijder, Robben et Kuyt ?
C’est vêtue de bleu marine que la Furia Roja se présentera, demain (18h30 gmt), sur la pelouse du Soccer City Stadium de Johannesburg pour affronter les Pays-Bas dans le cadre de la finale de la 19è édition d’une Coupe mondiale de football. En conservant leurs cages inviolées 253 minutes d’affilée, les troupes espagnoles, avec leur portier Iker Casillas, ont déjà battu le record d’invincibilité espagnol en Coupe du monde établi en 1950. Pour rappel, l’Espagne a successivement disposé du Portugal (1-0), du Paraguay (1-0) et de l’Allemagne (1-0) lors des matches à élimination directe. Depuis l’arrivée de son coach, Del Bosque, la Furia Roja s’est construite une assise défensive à toute épreuve, composée de Carles Puyol et de Gérard Piqué. Les deux milieux défensifs, Xabi Alonso et Sergio Busquets, se démultiplient pour bloquer les attaques adverses. Quant à Xavi, il distribue le jeu. A merveille. Sergio Ramos et Joan Capdevila, eux, sont les maîtres des couloirs. Devant, les buteurs David Villa et Pedro (ou Torres), bien épaulés par Andrès Iniesta, peuvent laisser libre cours à leur inspiration. Indiscutablement, l’Espagne fait peur.
Les Pays-Bas misent sur le trio Sneijder-Robben-Kuyt
En face, les Oranjes qui seront dans leur traditionnelle couleur orange, espèrent terminer ce tournoi en beauté. Leur entraîneur Van Marwijk connaît la chanson. Le successeur de Van Basten misera encore sur le jeu chatoyant de son groupe mais surtout sur son trio offensif Sneijder-Robben-Kuyt. Les Néerlandais sont à une marche de la consécration et donneront tout pour ne rien regretter. «Il faudra faire preuve d’audace…», prévient Wesley Sneijder. En veillant « à ne pas perdre le ballon au milieu de terrain car face à l’Espagne, ça pourrait être fatal», a-t-il ajouté. Une chose est sûre. Cette affiche Pays-Bas-Espagne est une première dans l’histoire du Mondial. Que le meilleur gagne !
Choilio Diomandé, envoyé spécial à Johannesburg
C’est vêtue de bleu marine que la Furia Roja se présentera, demain (18h30 gmt), sur la pelouse du Soccer City Stadium de Johannesburg pour affronter les Pays-Bas dans le cadre de la finale de la 19è édition d’une Coupe mondiale de football. En conservant leurs cages inviolées 253 minutes d’affilée, les troupes espagnoles, avec leur portier Iker Casillas, ont déjà battu le record d’invincibilité espagnol en Coupe du monde établi en 1950. Pour rappel, l’Espagne a successivement disposé du Portugal (1-0), du Paraguay (1-0) et de l’Allemagne (1-0) lors des matches à élimination directe. Depuis l’arrivée de son coach, Del Bosque, la Furia Roja s’est construite une assise défensive à toute épreuve, composée de Carles Puyol et de Gérard Piqué. Les deux milieux défensifs, Xabi Alonso et Sergio Busquets, se démultiplient pour bloquer les attaques adverses. Quant à Xavi, il distribue le jeu. A merveille. Sergio Ramos et Joan Capdevila, eux, sont les maîtres des couloirs. Devant, les buteurs David Villa et Pedro (ou Torres), bien épaulés par Andrès Iniesta, peuvent laisser libre cours à leur inspiration. Indiscutablement, l’Espagne fait peur.
Les Pays-Bas misent sur le trio Sneijder-Robben-Kuyt
En face, les Oranjes qui seront dans leur traditionnelle couleur orange, espèrent terminer ce tournoi en beauté. Leur entraîneur Van Marwijk connaît la chanson. Le successeur de Van Basten misera encore sur le jeu chatoyant de son groupe mais surtout sur son trio offensif Sneijder-Robben-Kuyt. Les Néerlandais sont à une marche de la consécration et donneront tout pour ne rien regretter. «Il faudra faire preuve d’audace…», prévient Wesley Sneijder. En veillant « à ne pas perdre le ballon au milieu de terrain car face à l’Espagne, ça pourrait être fatal», a-t-il ajouté. Une chose est sûre. Cette affiche Pays-Bas-Espagne est une première dans l’histoire du Mondial. Que le meilleur gagne !
Choilio Diomandé, envoyé spécial à Johannesburg
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