Troisième finale (1974,1978, 2010), troisième défaite de la Hollande. Les Pays-Bas sont-ils maudits ? En tout ça a tout l’ère. En revanche, pour son premier essai, la Roja s’offre la Coupe du monde. Et réalise ainsi le doublé Coupe d’Europe-Coupe du monde en l’espace de deux ans. Quelle performance !
Le milieu du terrain hollandais, Wesley Sneijder, est assis à même le sol sur la pelouse du Soccer City. En pleure, il a du mal à accepter la réalité. La dure et implacable réalité du football. Pour une fois encore, la Hollande est passée à côté de son but. Tout près du but. Alors questions. Qu’arrive-t-il à la Hollande ? Est-elle maudite ou n’a-t-elle pas encore les hommes et l’équipe qu’il faut pour brandir une Coupe du monde un jour ? L’une ou l’autre hypothèse, toujours est-il que la réalité est là. Palpable. Triste. En trois finales de Coupe du monde, les Oranje sont passés autant de fois à la trappe. Quel sort ! Quel mauvais sort ! En face, l’Espagne, après un départ cauchemardesque face la Suisse (1-0) n’a jamais déposé les armes. Bien au contraire. Lentement mais sûrement, les champions d’Europe et nouveaux rois du monde sont montés en puissance. Une forme montante démontrée hier en finale de la 19ème finale de la Coupe du monde. La première en terre africaine, sur la pelouse du Soccer City de Johannesburg, en Afrique du Sud. Pour la première fois de l’histoire de la compétition et celle de l’Espagne, la Roja arrive en finale. Et gagne en même temps le trophée. Enorme ! Historique ! Et devient ainsi le huitième pays de la planète foot à gagner ce célèbre trophée après l’Uruguay, le Brésil, l’Italie, l’Allemagne, l’Angleterre, l’Argentine, et la France. Mais ce succès arrive comme un bonus. Pour être arrivés en finale, le roi d’Espagne, Rohan Carlos, le maire de la ville Madrid, avaient déjà prévu une gigantesque fête aujourd’hui dans les grandes artères de la capitale madrilène. Le trophée vient donc embellir la fête. Et lui donner un caractère spécial majestueux. Oui ! Car majestueux, le but d’Andres Iniesta l’est. A 26 ans, c’est indiscutablement le but le plus important de sa carrière. Même celui qu’il réussit en demi-finale de la ligue des Champions face à Chelsea ne vaut pas celui-là. Cette réalisation d’hier est unique. Enorme. Elle a un statut. Et restera, à jamais, dans l’histoire du football espagnol. Comme cette génération qui vient de faire son entrée dans l’histoire du football mondial.
Hier sur la pelouse du Soccer City, l’Espagne, comme à son habitude, a produit du jeu. Un jeu emprunté au Barca. Quand on sait que sept joueurs du champion espagnol (Xavi, Busquets, Piqué, Pedro, Iniesta, Puyol, Villa) sont titulaires dans la sélection dirigée Del Bosque, le coach espagnol. Et on peut même se permettre d’affirmer que le « Barca » a remporté la Coupe du monde ! Après 120 minutes de jeu, la Roja réussit, au monde, ce que seul l’Allemagne a réussi jusque-là en Europe. C’est-à-dire, le doublé Coupe d’Europe-Coupe du monde. Une finale que La Hollande ne voulait perdre pour rien au monde. La preuve elle récolte 7 cartons dont un rouge(Heitinga) contre 3 pour l’Espagne. Au final, c’est Iker Casillas,le capitaine espagnol, qui brandit la trophée. Pour la première fois…au monde.
Tibet Kipré
Le milieu du terrain hollandais, Wesley Sneijder, est assis à même le sol sur la pelouse du Soccer City. En pleure, il a du mal à accepter la réalité. La dure et implacable réalité du football. Pour une fois encore, la Hollande est passée à côté de son but. Tout près du but. Alors questions. Qu’arrive-t-il à la Hollande ? Est-elle maudite ou n’a-t-elle pas encore les hommes et l’équipe qu’il faut pour brandir une Coupe du monde un jour ? L’une ou l’autre hypothèse, toujours est-il que la réalité est là. Palpable. Triste. En trois finales de Coupe du monde, les Oranje sont passés autant de fois à la trappe. Quel sort ! Quel mauvais sort ! En face, l’Espagne, après un départ cauchemardesque face la Suisse (1-0) n’a jamais déposé les armes. Bien au contraire. Lentement mais sûrement, les champions d’Europe et nouveaux rois du monde sont montés en puissance. Une forme montante démontrée hier en finale de la 19ème finale de la Coupe du monde. La première en terre africaine, sur la pelouse du Soccer City de Johannesburg, en Afrique du Sud. Pour la première fois de l’histoire de la compétition et celle de l’Espagne, la Roja arrive en finale. Et gagne en même temps le trophée. Enorme ! Historique ! Et devient ainsi le huitième pays de la planète foot à gagner ce célèbre trophée après l’Uruguay, le Brésil, l’Italie, l’Allemagne, l’Angleterre, l’Argentine, et la France. Mais ce succès arrive comme un bonus. Pour être arrivés en finale, le roi d’Espagne, Rohan Carlos, le maire de la ville Madrid, avaient déjà prévu une gigantesque fête aujourd’hui dans les grandes artères de la capitale madrilène. Le trophée vient donc embellir la fête. Et lui donner un caractère spécial majestueux. Oui ! Car majestueux, le but d’Andres Iniesta l’est. A 26 ans, c’est indiscutablement le but le plus important de sa carrière. Même celui qu’il réussit en demi-finale de la ligue des Champions face à Chelsea ne vaut pas celui-là. Cette réalisation d’hier est unique. Enorme. Elle a un statut. Et restera, à jamais, dans l’histoire du football espagnol. Comme cette génération qui vient de faire son entrée dans l’histoire du football mondial.
Hier sur la pelouse du Soccer City, l’Espagne, comme à son habitude, a produit du jeu. Un jeu emprunté au Barca. Quand on sait que sept joueurs du champion espagnol (Xavi, Busquets, Piqué, Pedro, Iniesta, Puyol, Villa) sont titulaires dans la sélection dirigée Del Bosque, le coach espagnol. Et on peut même se permettre d’affirmer que le « Barca » a remporté la Coupe du monde ! Après 120 minutes de jeu, la Roja réussit, au monde, ce que seul l’Allemagne a réussi jusque-là en Europe. C’est-à-dire, le doublé Coupe d’Europe-Coupe du monde. Une finale que La Hollande ne voulait perdre pour rien au monde. La preuve elle récolte 7 cartons dont un rouge(Heitinga) contre 3 pour l’Espagne. Au final, c’est Iker Casillas,le capitaine espagnol, qui brandit la trophée. Pour la première fois…au monde.
Tibet Kipré