Le président de la Fédération Internationale de Football, Joseph Blatter a animé une conférence de presse, hier, à Johannesburg.
Hier après-midi, au Sandton Convention Center de Johannesburg, le président de la Fédération Internationale de football, Joseph Blatter a fait le bilan de la Coupe du monde 2010, qui s’est achevé dimanche au Soccer City, avec le sacre de l’Espagne, vainqueur des Pays Bas (1-0, après prolongation). Face à la presse, Blatter a profité pour rendre un vibrant hommage à Nelson Mandela, le premier président noir de l’Afrique du Sud. « Je veux ici rendre hommage à un homme. Un jour, il m’a dit que son rêve, était de voir l’Afrique du Sud, organiser la Coupe du monde. Et ce rêve s’est réalisé. Il a touché la Coupe du monde ». Le président de la Confédération Africaine de football, Issa Hayatou, (Président de la Commission d’Organisation de la Coupe du Monde de la FIFA et vice-président de la FIFA), Irvin Khoza (Président du Comité organisateur d’Afrique du Sud 2010), Danny Jordaan (Directeur général du Comité organisateur) et Jérôme Valcke (Secrétaire général de la FIFA), ont participé à cette conférence de presse.
Le jeu
«En tant que fan et spectateur, j’ai vu de bons matches, d’autres moins bons, mais tous ont été divertissants. Il ne faut pas oublier qu’en football, la perfection n’existe pas. L’un des enseignements de cette Coupe du Monde de la FIFA est qu’il n’y a plus de petites équipes dans le football international. Le football s’est développé partout et nous avons vu que cette internationalisation a été très positive pour certaines sélections, moins pour d’autres. Il est bon de voir que les trois équipes les plus jeunes dans le tournoi - le Ghana, l’Allemagne et l’Espagne - ont réalisé un parcours intéressant ».
L’arbitrage
«La tâche n’était pas facile pour le trio d’arbitres et ils n’ont pas été aidés par les joueurs. Je pourrais répondre comme supporteur, mais aujourd’hui je suis là en tant que président de la FIFA. Je comprends qu’on pose la question. Le football est un sport de combat, mais dans l’esprit du fair-play. Apprendre à gagner c’est facile, mais quand vous perdez, il ne faut pas oublier les bases de la discipline et du respect».
Choilio Diomandé, envoyé spécial à Johannesburg
Hier après-midi, au Sandton Convention Center de Johannesburg, le président de la Fédération Internationale de football, Joseph Blatter a fait le bilan de la Coupe du monde 2010, qui s’est achevé dimanche au Soccer City, avec le sacre de l’Espagne, vainqueur des Pays Bas (1-0, après prolongation). Face à la presse, Blatter a profité pour rendre un vibrant hommage à Nelson Mandela, le premier président noir de l’Afrique du Sud. « Je veux ici rendre hommage à un homme. Un jour, il m’a dit que son rêve, était de voir l’Afrique du Sud, organiser la Coupe du monde. Et ce rêve s’est réalisé. Il a touché la Coupe du monde ». Le président de la Confédération Africaine de football, Issa Hayatou, (Président de la Commission d’Organisation de la Coupe du Monde de la FIFA et vice-président de la FIFA), Irvin Khoza (Président du Comité organisateur d’Afrique du Sud 2010), Danny Jordaan (Directeur général du Comité organisateur) et Jérôme Valcke (Secrétaire général de la FIFA), ont participé à cette conférence de presse.
Le jeu
«En tant que fan et spectateur, j’ai vu de bons matches, d’autres moins bons, mais tous ont été divertissants. Il ne faut pas oublier qu’en football, la perfection n’existe pas. L’un des enseignements de cette Coupe du Monde de la FIFA est qu’il n’y a plus de petites équipes dans le football international. Le football s’est développé partout et nous avons vu que cette internationalisation a été très positive pour certaines sélections, moins pour d’autres. Il est bon de voir que les trois équipes les plus jeunes dans le tournoi - le Ghana, l’Allemagne et l’Espagne - ont réalisé un parcours intéressant ».
L’arbitrage
«La tâche n’était pas facile pour le trio d’arbitres et ils n’ont pas été aidés par les joueurs. Je pourrais répondre comme supporteur, mais aujourd’hui je suis là en tant que président de la FIFA. Je comprends qu’on pose la question. Le football est un sport de combat, mais dans l’esprit du fair-play. Apprendre à gagner c’est facile, mais quand vous perdez, il ne faut pas oublier les bases de la discipline et du respect».
Choilio Diomandé, envoyé spécial à Johannesburg
