Si la honte pouvait tuer, Jacques Anouma le n°1 du football aurait fait ses adieux à la maison de verre de Treiville. Mais il n’en est pas là pour l’instant. Le très cher président de la Fédération Ivoirienne de Football(FIF) est encore à la barre. Jacques Anouma, a présenté, comme cela avait été fait les années antérieures grise mine au peuple ivoirien après cet énième échec des pachydermes. Sans remords certainement, l’argentier de la présidence a invité les journalistes pour leur présenter le bilan de cette aventure catastrophique Sud-africain. Quel bilan peut présenter encore la fif après plus d’une décennie d’échecs ? se demandent les ivoiriens. De 2000 à 2010, les Ivoiriens ont à chaque expédition africaine ou mondiale, porté le deuil des éliminations précoces des éléphants. Et cela n’a ému personne à la Fif. Le patron du ballon rond en Côte d’Ivoire, s’est contenté comme à son habitude, de compatir à la douleur du peuple à travers quelques gouttes de larmes de crocodile. A quand la fin du cirque ? Bien malin celui qui pourra répondre. La saignée quant à elle, continue de se rependre à cause du travail approximatif et cet éternel recommencement qui s’entretient à la Fif. La fédération de football, aux dires des ivoiriens très remontés, est une poule aux d’or pour Anouma. Une chasse gardée qui ne produit que de piètres résultats sur le rectangle vert. Aujourd’hui, la Fif est à la croisée des chemins. Les ivoiriens face à ces déboires de leur équipe nationale, s’accordent à dire, que les révélations faites par le village d’Akradjo se confirment avec cette contre performance à répétitions au plan international de nos représentants.
JN
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