Le nouvel entraîneur des cadets s’est déjà mis à la tâche. Depuis mercredi, au Stade Champroux, il tente de dégager une équipe. Mais l’absence de championnats de jeunes rend sa mission difficile.
Nouveau sélectionneur des cadets ivoiriens, est-ce un challenge ?
Absolument. C’est une mission qui m’a été confiée. Et quelque part c’est un honneur qui m’est fait par les gens de la famille. Derrière, il y a un travail qu’il faut abattre. Pour résumer, je considère ma nomination comme une mission.
Quelle est votre mission à la tête des cadets ?
Comme tout entraîneur, j’ai un travail de base à faire. Il n’y a pas de championnat de cadets depuis un moment. Il y a la compétition qui arrive comme le match contre le Bénin fin août. Après, il y a qu’il faut montrer une équipe compétitive. Ma mission est donc de faire un gros travail chez les U15 et même les U13. C’est un travail à long terme.
Quelle est la durée de votre contrat ?
Pour l’instant, c’est un contrat qui court sur un an. Logiquement, cela devrait déboucher sur le long terme. Je travaille tranquillement avec l’aide de Kouadio Georges (Espoirs) et d’Alain Gouaméné (Juniors). Tous les trois, nous faisons un travail méthodique. Il y a aussi la direction technique nationale (Dtn) qui m’appuie.
Avez-vous l’âme d’un formateur ?
J’ai déjà entraîné des jeunes à Toulon (France) entant que responsable du centre de formation. Je me suis aussi occupé des cadets là-bas. J’ai donc une expérience des centres de formation.
Comment jugez-vous le niveau technique des jeunes que vous avez en ce moment ?
Pour le moment, je n’entraîne pas. Je fais une présélection.
Comment ?
J’ai regroupé les différents centres de formation. Je suis à la phase de présélection dans l’espoir de sortir un groupe. Depuis 72 heures, je jauge les gamins sur le terrain du Stade Robert Champroux de Marcory. C’est difficile car il n’existe pas de championnat de jeunes. Or, je dois faire un tri… Je n’ai vraiment pas d’éléments de base pour juger le niveau des joueurs.
L’absence de championnats de jeunes semble vous handicaper…
Oui. S’il y avait un championnat, cela m’aurait permis d’observer les joueurs. Et puis, la réalité de la compétition est différente des entraînements. Mais si j’ai accepté cette mission, c’est en connaissance de cause. Je savais qu’il y aurait un gros travail de base à faire. J’étais préparé à tout cela.
Quel est le programme immédiat ?
Je convoquerai les joueurs par clubs. Depuis mercredi, nous voyons les cadets du Stella, du Stade et de l’Africa. Durant deux semaines, on regardera attentivement ailleurs. Après tout le tour des clubs et des centres de formation, nous pourrons dégager une sélection. L’objectif reste une qualification pour la Can cadets 2011 au Rwanda.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
Nouveau sélectionneur des cadets ivoiriens, est-ce un challenge ?
Absolument. C’est une mission qui m’a été confiée. Et quelque part c’est un honneur qui m’est fait par les gens de la famille. Derrière, il y a un travail qu’il faut abattre. Pour résumer, je considère ma nomination comme une mission.
Quelle est votre mission à la tête des cadets ?
Comme tout entraîneur, j’ai un travail de base à faire. Il n’y a pas de championnat de cadets depuis un moment. Il y a la compétition qui arrive comme le match contre le Bénin fin août. Après, il y a qu’il faut montrer une équipe compétitive. Ma mission est donc de faire un gros travail chez les U15 et même les U13. C’est un travail à long terme.
Quelle est la durée de votre contrat ?
Pour l’instant, c’est un contrat qui court sur un an. Logiquement, cela devrait déboucher sur le long terme. Je travaille tranquillement avec l’aide de Kouadio Georges (Espoirs) et d’Alain Gouaméné (Juniors). Tous les trois, nous faisons un travail méthodique. Il y a aussi la direction technique nationale (Dtn) qui m’appuie.
Avez-vous l’âme d’un formateur ?
J’ai déjà entraîné des jeunes à Toulon (France) entant que responsable du centre de formation. Je me suis aussi occupé des cadets là-bas. J’ai donc une expérience des centres de formation.
Comment jugez-vous le niveau technique des jeunes que vous avez en ce moment ?
Pour le moment, je n’entraîne pas. Je fais une présélection.
Comment ?
J’ai regroupé les différents centres de formation. Je suis à la phase de présélection dans l’espoir de sortir un groupe. Depuis 72 heures, je jauge les gamins sur le terrain du Stade Robert Champroux de Marcory. C’est difficile car il n’existe pas de championnat de jeunes. Or, je dois faire un tri… Je n’ai vraiment pas d’éléments de base pour juger le niveau des joueurs.
L’absence de championnats de jeunes semble vous handicaper…
Oui. S’il y avait un championnat, cela m’aurait permis d’observer les joueurs. Et puis, la réalité de la compétition est différente des entraînements. Mais si j’ai accepté cette mission, c’est en connaissance de cause. Je savais qu’il y aurait un gros travail de base à faire. J’étais préparé à tout cela.
Quel est le programme immédiat ?
Je convoquerai les joueurs par clubs. Depuis mercredi, nous voyons les cadets du Stella, du Stade et de l’Africa. Durant deux semaines, on regardera attentivement ailleurs. Après tout le tour des clubs et des centres de formation, nous pourrons dégager une sélection. L’objectif reste une qualification pour la Can cadets 2011 au Rwanda.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
