La tournée que le Premier ministre Pascal Affi NGuessan, président du FPI effectue dans le Denguélé l’a conduit, hier, successivement à Fréman-dougou, Bako et à Kahanso, avec une escale à Sokorodougou. Partout et de façon particulière à Bako, chef-lieu de sous-préfecture, le président du FPI, a été accueilli dans une liesse populaire. La ville était même en fête depuis l’annonce de son arrivée, selon le maire lui-même, M. Koné Aboubacar. Qui a tenu a recevoir lui-même le président du FPI dans un esprit républicain. Et cela a été salué par l’ex-premier ministre du président Gbagbo qui l’a chaleureusement félicité. «La présence du maire est symbolique et constitue un message. Vous savez qu’il n’est pas FPI. Mais il est là aux côtés du président du FPI, parce qu’il sait qu’il est le maire de tout le monde. RDR, FPI, PDCI, etc. Il est le maire de tous ceux vivent dans cette ville».
Pour le président Affi, c’est comme cela que les choses doivent se passer en Côte d’Ivoire. “Car nous cherchons tous les voies et moyens pour développer notre pays quel que soit le parti dans lequel on milite”. Mais, explique-t-il, “c’est parce qu’à un certain moment, il faut choisir celui qu’on juge apte à conduire notre pays et notre destinée pour le moment qu’on vote. “Sinon, dira-t-il, nous sommes tous frères”. C’est pourquoi, s’adressant aux militants du FPI qui ont subi les pires exactions pendant la guerre, notamment le vieux Koné Youssouf secrétaire général de la section Bako depuis 1990, le président du FPI, tout leur apportant son réconfort, leur a conseillé de n’avoir ni amertume, ni rancœur. Car, explique le président Affi, quand un peuple souffre et croupit dans la misère, c’est au sein de ce même peuple que Dieu suscite un fils pour le sauver. C’est le cas, selon lui, de Laurent Gbagbo que Dieu a suscité pour sauver la Côte d’Ivoire. “Sinon comment comprendre qu’alors qu’il a été maltraité et même jeté en prison quand il était dans l’opposition et qu’aujourd’hui encore, certains frères le poursuivent avec des machettes, il est toujours là debout et imperturbable ? Croyez-vous que c’est par ses propres forces ?», interroge le président du FPI. Et de répondre lui-même : «Non, ce n’est pas par ses forces. C’est parce qu’il est un envoyé de Dieu».
Pour le président Affi, on ne fait pas la politique pour avoir de l’argent et être riche. Mais pour servir son peuple et laisser son nom dans l’histoire. Il estime donc que les responsables du FPI qui ont souffert pendant la guerre sont des gens qui veulent le bien de leur région. Et que, plus tard, quand on parlera du développement de Bako d’ici 50 ans, leurs enfants et petits-enfants seront fiers de ce que leurs noms seront sur toutes les lèvres.
Boga Sivori
bogasivo@yahoo.fr
(envoyé spécial dans le Denguélé)
Pour le président Affi, c’est comme cela que les choses doivent se passer en Côte d’Ivoire. “Car nous cherchons tous les voies et moyens pour développer notre pays quel que soit le parti dans lequel on milite”. Mais, explique-t-il, “c’est parce qu’à un certain moment, il faut choisir celui qu’on juge apte à conduire notre pays et notre destinée pour le moment qu’on vote. “Sinon, dira-t-il, nous sommes tous frères”. C’est pourquoi, s’adressant aux militants du FPI qui ont subi les pires exactions pendant la guerre, notamment le vieux Koné Youssouf secrétaire général de la section Bako depuis 1990, le président du FPI, tout leur apportant son réconfort, leur a conseillé de n’avoir ni amertume, ni rancœur. Car, explique le président Affi, quand un peuple souffre et croupit dans la misère, c’est au sein de ce même peuple que Dieu suscite un fils pour le sauver. C’est le cas, selon lui, de Laurent Gbagbo que Dieu a suscité pour sauver la Côte d’Ivoire. “Sinon comment comprendre qu’alors qu’il a été maltraité et même jeté en prison quand il était dans l’opposition et qu’aujourd’hui encore, certains frères le poursuivent avec des machettes, il est toujours là debout et imperturbable ? Croyez-vous que c’est par ses propres forces ?», interroge le président du FPI. Et de répondre lui-même : «Non, ce n’est pas par ses forces. C’est parce qu’il est un envoyé de Dieu».
Pour le président Affi, on ne fait pas la politique pour avoir de l’argent et être riche. Mais pour servir son peuple et laisser son nom dans l’histoire. Il estime donc que les responsables du FPI qui ont souffert pendant la guerre sont des gens qui veulent le bien de leur région. Et que, plus tard, quand on parlera du développement de Bako d’ici 50 ans, leurs enfants et petits-enfants seront fiers de ce que leurs noms seront sur toutes les lèvres.
Boga Sivori
bogasivo@yahoo.fr
(envoyé spécial dans le Denguélé)