10 enseignants-chercheurs-écrivains ont été célébrés, hier, par l’Ecole normale supérieure (Ens). La cérémonie s’est déroulée dans l’enceinte de cette école.
Angèle Gnonsoa, Henriette Dagri Diabaté, Fatou Kéita, Dégny Séguy, Fofana Lemassou, Yapi Yapo, Essane Séraphin, Niamkey Koffi, Dédy Seri, Koné Dramane. Ces éminents enseignants-chercheurs et écrivains ont reçu chacun un diplôme d’honneur et un tableau comme cadeau. Ce temple de la pédagogie, dirigé par le Pr Tapé Gozé, a consacré la journée d’hier, dont le thème est « Compétences intellectuelles : cas des enseignants-chercheurs-écrivains », à la célébration de ces modèles cités plus haut. Pr Tapé Gozé, initiateur de cette journée qui est à sa troisième édition, a défini la notion d’écrivain. Il note qu’elle ne doit pas être réduite à la notion de romancier. « Est écrivain, celui qui écrit et qui est auteur d’ouvrages dans quelque domaine qu’il soit. La notion d’écrivain est donc un champ fécond et ouvert », a-t-il ajouté. Selon lui, célébrer les enseignants-chercheurs-écrivains, c’est tout simplement honorer les hommes et les femmes par qui l’éducation et la culture se perpétuent et se régénèrent. Au nom des récipiendaires, la Pr Angèle Gnonsoa a expliqué qu’il est difficile d’avoir un repère en cette période de crise. Et, ceux qui sont distingués serviront d’exemple aux autres. Selon elle, le mérite est un bien éclatant et impérissable, à l’opposé des biens matériels, puis, elle a lancé un appel à ses collègues : « soyons fiers de cette distinction, mais tout en restant humbles. Cissé Bacongo, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a signifié que cette initiative de Tapé Gozé participe à la restauration de l’image ternie et balafrée de l’enseignant-chercheur. Bien que travaillant dans de difficiles conditions, les enseignants-chercheurs de Côte d’Ivoire ont du mérite. Ces festivités qui ont débuté le lundi, prendront fin demain, avec le baptême de la 46ème promotion de l’Ens.
Adélaïde Konin
Angèle Gnonsoa, Henriette Dagri Diabaté, Fatou Kéita, Dégny Séguy, Fofana Lemassou, Yapi Yapo, Essane Séraphin, Niamkey Koffi, Dédy Seri, Koné Dramane. Ces éminents enseignants-chercheurs et écrivains ont reçu chacun un diplôme d’honneur et un tableau comme cadeau. Ce temple de la pédagogie, dirigé par le Pr Tapé Gozé, a consacré la journée d’hier, dont le thème est « Compétences intellectuelles : cas des enseignants-chercheurs-écrivains », à la célébration de ces modèles cités plus haut. Pr Tapé Gozé, initiateur de cette journée qui est à sa troisième édition, a défini la notion d’écrivain. Il note qu’elle ne doit pas être réduite à la notion de romancier. « Est écrivain, celui qui écrit et qui est auteur d’ouvrages dans quelque domaine qu’il soit. La notion d’écrivain est donc un champ fécond et ouvert », a-t-il ajouté. Selon lui, célébrer les enseignants-chercheurs-écrivains, c’est tout simplement honorer les hommes et les femmes par qui l’éducation et la culture se perpétuent et se régénèrent. Au nom des récipiendaires, la Pr Angèle Gnonsoa a expliqué qu’il est difficile d’avoir un repère en cette période de crise. Et, ceux qui sont distingués serviront d’exemple aux autres. Selon elle, le mérite est un bien éclatant et impérissable, à l’opposé des biens matériels, puis, elle a lancé un appel à ses collègues : « soyons fiers de cette distinction, mais tout en restant humbles. Cissé Bacongo, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, a signifié que cette initiative de Tapé Gozé participe à la restauration de l’image ternie et balafrée de l’enseignant-chercheur. Bien que travaillant dans de difficiles conditions, les enseignants-chercheurs de Côte d’Ivoire ont du mérite. Ces festivités qui ont débuté le lundi, prendront fin demain, avec le baptême de la 46ème promotion de l’Ens.
Adélaïde Konin
