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Société Publié le mercredi 4 août 2010 | L’intelligent d’Abidjan

Santé / Lutte contre les maladies tropicales - Aka Aouélé rapporte des millions de cas en Côte d’Ivoire

© L’intelligent d’Abidjan Par Kah Zion
Tourisme : Le réceptif hôtelier "La Maison des Hôtes" ouvre ses portes à Toulepleu
Dimanche 1er août 2010. Toulepleu. Denis Kah Zion, le Directeur général du Groupe de presse "Le nouveau réveil" offre un hôtel à son village. Photo: le ministre Aka Aouélé
Le ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique, à l’initiative de l’INSP (Institut National de la Santé Publique), a ouvert un atelier de validation du plan stratégique de lutte contre les Maladies tropicales négligées (MTN). Débutés le mardi 03 août en présence du ministre Aka Aouélé, les travaux prennent fin le vendredi 06 août 2010 à l’amphi dudit institut sis à Adjamé.

Lutter contre les maladies tropicales négligées en se conformant d’une part, au Plan National de Développement sanitaire, et d’autre part aux directives et recommandations mondialement validées pour faciliter le concours des partenaires. Tels sont les objectifs de l’atelier qui se déroulera durant trois jours dans l’enceinte de l’INSP d’Adjamé. Un atelier qui arrive à point nommé, selon le ministre Aka Aouélé, eu égard à la prévalence des affections et, de leur impact sur la croissance et l’avenir des enfants et du développement en Côte d’Ivoire. A en croire le ministre, ces affections sont un ensemble d’au moins 13 maladies parasitaires, bactériennes, virales et mycosiques qui sévissent en zone tropicale et subtropicale dans les pays en voie de développement. Au nombre desquelles, il faut noter la présence épidémique de quatre affections en Côte d’Ivoire dont la filariose lymphatique (1.825.754 infestées), l’onchocercose (464.706 personnes infestées), la schistosomiase (20 à 95,60% d’enfants infestés) et les géo helminthiases. Ce qui explique l’importance de cet atelier. « Les complications à type d’anémie, de troubles du développement psychomoteur, d’éléphantiasis de lymphodème, d’hydrocèle et de cécité témoignent du caractère à la fois grave, appauvrissant, marginalisant et avilissant de ces affections », a constaté le ministre. D’où la nécessité pour l’Etat de s’impliquer dans cette lutte
G.R

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