Dans la communication qu’il a faite sur « la musicologie et développement en Côte d’Ivoire », dans l’atelier qui avait pour grand thème, « civilisation, culture et développement », Dr Goran Koffi Modeste Armand, ethnomusicologue/ musicothérapeute, a indiqué que la musicologie est une science dont l’Etat doit se servir pour parvenir à un développement durable.
Il a suggéré que l’Etat qui a abandonné cette voie depuis 1971, inclue désormais la musicologie dans sa politique de recherche visant à lui apporter le développement. Cela, en créant un département de la recherche au sein du ministère de la Culture et de la Francophonie.
En effet, la Côte d’Ivoire « consomme » une science (concepts, théories, méthodes, stratégies, techniques) qu’elle ne « produit » pas souvent, dont elle ignore parfois les conditions de conjecture idéologiques, culturelles et épistémologique dans lesquelles elle est produite », d’où la « crise identitaire et culturelle qui secoue le pays ».
Depuis 1971, date à laquelle l’Etat ivoirien a décidé de l’administrer lui-même, aux fins de son développement, la recherche musicologique est restée quasi-inopérante, sinon inexistante.
Pour Dr Goran Koffi Modeste, il faut « revoir les bases conceptuelles de la recherche scientifique actuelle, afin de réorienter la recherche musicologique dans le sens d’une plus grande adaptation aux besoins des Ivoiriens ». Cela permettra aussi à l’Etat des ressources additionnelles.
KOFFI KOUAME
Agence de Yamoussoukro
Il a suggéré que l’Etat qui a abandonné cette voie depuis 1971, inclue désormais la musicologie dans sa politique de recherche visant à lui apporter le développement. Cela, en créant un département de la recherche au sein du ministère de la Culture et de la Francophonie.
En effet, la Côte d’Ivoire « consomme » une science (concepts, théories, méthodes, stratégies, techniques) qu’elle ne « produit » pas souvent, dont elle ignore parfois les conditions de conjecture idéologiques, culturelles et épistémologique dans lesquelles elle est produite », d’où la « crise identitaire et culturelle qui secoue le pays ».
Depuis 1971, date à laquelle l’Etat ivoirien a décidé de l’administrer lui-même, aux fins de son développement, la recherche musicologique est restée quasi-inopérante, sinon inexistante.
Pour Dr Goran Koffi Modeste, il faut « revoir les bases conceptuelles de la recherche scientifique actuelle, afin de réorienter la recherche musicologique dans le sens d’une plus grande adaptation aux besoins des Ivoiriens ». Cela permettra aussi à l’Etat des ressources additionnelles.
KOFFI KOUAME
Agence de Yamoussoukro