La nouvelle s'est répandue, hier après-midi, dans le milieu de la presse. Laurent Tapé Koulou a cassé sa pipe entre 11 h et midi, dans une clinique de la place. La fièvre typhoïde a fini par avoir raison de celui qui s'était fait le messager de la Paix. Souffrant de ce mal pernicieux depuis bientôt un an, rien ne laissait pourtant présager un tel dénouement. « Ça allait mieux chez lui », indique S. Youssouf, son proche collaborateur, joint au téléphone. Hélas ! Le président du groupe de presse “Le National'', qui n'était plus au meilleur de sa forme s'est éteint, laissant derrière lui une dizaine d'orphelins dont cinq au moins sont encore mineurs.
Rencontré au domicile familial, aux Deux-Plateaux Les Perles, son jeune frère, Jean-Charles Tapé, est revenu sur les circonstances de son décès. « Il souffrait d'une fièvre typhoïde qui a été mal traitée. Cette maladie l'a tué à petit feu, rongeant ses intestins. Il a même subi des interventions chirurgicales pour traiter le mal. Il allait mieux jusqu'à hier, quand il a rechuté, (samedi, ndlr) ».
Transféré d'urgences dans une clinique, l'ancien président de l'Union des patrons de presse de Côte d'Ivoire ne regagnera plus jamais son domicile.
En attendant le programme des obsèques, sa dépouille mortelle repose dans les locaux d'Ivoire sépulture (Ivosep) de Treichville.
MAE
Rencontré au domicile familial, aux Deux-Plateaux Les Perles, son jeune frère, Jean-Charles Tapé, est revenu sur les circonstances de son décès. « Il souffrait d'une fièvre typhoïde qui a été mal traitée. Cette maladie l'a tué à petit feu, rongeant ses intestins. Il a même subi des interventions chirurgicales pour traiter le mal. Il allait mieux jusqu'à hier, quand il a rechuté, (samedi, ndlr) ».
Transféré d'urgences dans une clinique, l'ancien président de l'Union des patrons de presse de Côte d'Ivoire ne regagnera plus jamais son domicile.
En attendant le programme des obsèques, sa dépouille mortelle repose dans les locaux d'Ivoire sépulture (Ivosep) de Treichville.
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