Du 28 au 30 juillet dernier, s'est tenue en terre ivoirienne la dernière assemblée annuelle de la Confédération internationale des sociétés d'auteurs compositeurs (CISAC ). Quelques jours après, Yves Kané, directeur de la Communication du Burida revient sur l'opportunité de cette rencontre qui a réuni au Plateau, 32 pays venus des quatre coins du monde.
Pourquoi la tenue de l'assemblée annuelle de la Cisac à Abidjan et qu'en retient - on ?
Merci pour l'occasion que vous nous donnez en tant que premier organe sur les traces de cet événement aussi important tant pour la Côte d'Ivoire en général que pour le Burida en particulier. Tout simplement parce que réunir 32 sur les 42 pays que compte la Cisac chez nous en période de sortie de crise, c'est ouvrir davantage la destination Côte d'Ivoire jusque-là impraticable pour certains, au reste du monde. Evidemment le Burida et ses sociétaires en sont les grands bénéficiaires parce que la question du droit d'auteur en Côte d'Ivoire a été à l'ordre du jour. Et elle a connu du succès auprès des participants de ladite assemblée. Ils nous ont d'ailleurs manifesté leur réelle satisfaction au sortir de ces assises.
Techniquement que gagne veritable destinataire, pour parler du Burida
Son repositionnement, vous savez l'organisation de l'assemblée annuelle de la Cisac dans un pays exige un certain nombre de conditions. Il faut que la maison du droit d'auteur du pays demandeur soit en phase avec la Cisac c'est-à-dire respecter les règles de conformité dont la bonne gouvernance, or le Burida pendant quelques années était sous administration provisoire. Maintenant qu'elle est en règle avec la mise en place d'un directeur général légal, notre demande a été acceptée. Aussi faut - il ajouter la participation à cette rencontre d'echanges de la société d'auteurs compositeurs de musique et d'éditeurs (Sacem) et l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (Ompi).Cela a permis la reprise des accords de réciprocité entre ces instances internationales et le Burida qui était presque isolé depuis quelques temps. La Sacem veillera désormais à nouveau sur les droits des artistes ivoiriens sociétaires du Burida, hors de nos frontières. En un mot, il faut retenir que l'assemblée annuelle de la Cisac a repositionné le Burida dans le monde. Sans faire de l'auto célébration, le comité d'organisation mérite d'être félicité.
Entretien réalisé par Dieusmonde TADE
dieusmonde@yahoo.fr
Pourquoi la tenue de l'assemblée annuelle de la Cisac à Abidjan et qu'en retient - on ?
Merci pour l'occasion que vous nous donnez en tant que premier organe sur les traces de cet événement aussi important tant pour la Côte d'Ivoire en général que pour le Burida en particulier. Tout simplement parce que réunir 32 sur les 42 pays que compte la Cisac chez nous en période de sortie de crise, c'est ouvrir davantage la destination Côte d'Ivoire jusque-là impraticable pour certains, au reste du monde. Evidemment le Burida et ses sociétaires en sont les grands bénéficiaires parce que la question du droit d'auteur en Côte d'Ivoire a été à l'ordre du jour. Et elle a connu du succès auprès des participants de ladite assemblée. Ils nous ont d'ailleurs manifesté leur réelle satisfaction au sortir de ces assises.
Techniquement que gagne veritable destinataire, pour parler du Burida
Son repositionnement, vous savez l'organisation de l'assemblée annuelle de la Cisac dans un pays exige un certain nombre de conditions. Il faut que la maison du droit d'auteur du pays demandeur soit en phase avec la Cisac c'est-à-dire respecter les règles de conformité dont la bonne gouvernance, or le Burida pendant quelques années était sous administration provisoire. Maintenant qu'elle est en règle avec la mise en place d'un directeur général légal, notre demande a été acceptée. Aussi faut - il ajouter la participation à cette rencontre d'echanges de la société d'auteurs compositeurs de musique et d'éditeurs (Sacem) et l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (Ompi).Cela a permis la reprise des accords de réciprocité entre ces instances internationales et le Burida qui était presque isolé depuis quelques temps. La Sacem veillera désormais à nouveau sur les droits des artistes ivoiriens sociétaires du Burida, hors de nos frontières. En un mot, il faut retenir que l'assemblée annuelle de la Cisac a repositionné le Burida dans le monde. Sans faire de l'auto célébration, le comité d'organisation mérite d'être félicité.
Entretien réalisé par Dieusmonde TADE
dieusmonde@yahoo.fr