Selon le docteur Brin Kouakou Parfait, médecin-chef du centre de santé de l'Ong IDE Afrique et coordonnateur de la cellule de prise en charge de personnes vivant avec le VIH à Man, les femmes malades du sida souffrent fréquemment de vaginites (infections qui touchent les parois du vagin) et de la gonococcie.
Certains patients souffrent de diarrhée et d'autres sont parfois atteints de zona. « Les malades sont référés au Chr après leur bilan initial, si leur taux de CD4 est élevé, alors le patient est dit inéligible au traitement sous Arv. Par contre, si le taux de CD4 est faible, cela montre que les défenses sont faibles, le malade est donc éligible. « Il faut alors procéder à d'autres examens pour le mettre sous traitement Arv», explique le médecin. Au niveau de deux structures de prise en charge des personnes vivant avec le Vih, que sont Ide Afrique et Cip/Cames, les malades bénéficient d'une assistance psychosociale.
« Des conseillers communautaires leur rendent régulièrement visite pour suivre la prise effective des médicaments tout en leur remontant le moral. Parfois ceux qui sont démunis, bénéficient d'un soutien alimentaire grâce à l'appui de Care International », poursuit Mme Glé, coordonnatrice d'un centre de dépistage volontaire. A Man, il existe un centre de transit pour les personnes vivant avec le Vih en attente de faire leur bilan initial de santé. Ce centre a été créé et équipé par Care international en collaboration avec ses partenaires locaux. Tous les patients vivant en dehors de la ville de Man sont hébergés dans ce centre situé au quartier Thérèse non loin du Chr de Man. D'après une source hospitalière, l'appareil qui permet de faire le bilan initial est tombé en panne. Un phénomène inquiétant dans la région, c'est la rumeur selon laquelle, des personnes vivant avec le virus se permettent d'avoir des rapports sexuels non protégés avec leurs partenaires innocent(e)s dans un esprit de vengeance ou parce qu'ils ne veulent pas mourir seuls.
Kindo Ousseny à Man
Certains patients souffrent de diarrhée et d'autres sont parfois atteints de zona. « Les malades sont référés au Chr après leur bilan initial, si leur taux de CD4 est élevé, alors le patient est dit inéligible au traitement sous Arv. Par contre, si le taux de CD4 est faible, cela montre que les défenses sont faibles, le malade est donc éligible. « Il faut alors procéder à d'autres examens pour le mettre sous traitement Arv», explique le médecin. Au niveau de deux structures de prise en charge des personnes vivant avec le Vih, que sont Ide Afrique et Cip/Cames, les malades bénéficient d'une assistance psychosociale.
« Des conseillers communautaires leur rendent régulièrement visite pour suivre la prise effective des médicaments tout en leur remontant le moral. Parfois ceux qui sont démunis, bénéficient d'un soutien alimentaire grâce à l'appui de Care International », poursuit Mme Glé, coordonnatrice d'un centre de dépistage volontaire. A Man, il existe un centre de transit pour les personnes vivant avec le Vih en attente de faire leur bilan initial de santé. Ce centre a été créé et équipé par Care international en collaboration avec ses partenaires locaux. Tous les patients vivant en dehors de la ville de Man sont hébergés dans ce centre situé au quartier Thérèse non loin du Chr de Man. D'après une source hospitalière, l'appareil qui permet de faire le bilan initial est tombé en panne. Un phénomène inquiétant dans la région, c'est la rumeur selon laquelle, des personnes vivant avec le virus se permettent d'avoir des rapports sexuels non protégés avec leurs partenaires innocent(e)s dans un esprit de vengeance ou parce qu'ils ne veulent pas mourir seuls.
Kindo Ousseny à Man
