Le leader des jeunes républicains a donné toutes les preuves de nationalité : certificats de nationalité ivoirienne de 2006 et de 2009, cartes d’identité nationale ivoirienne de 1990 ( carte de couleur orange) et de 1999(carte verte)... Le mis en cause n’a jamais établi de carte de séjour et n’a pas trois mères, encore moins trois extraits de naissance différents. Assoa Adou qui avait affirmé détenir toutes les preuves le concernant n’était pas présent au procès. Salice est bel et bien né le 05/7 1974 à Tanda, de père Delma Issa, né en 1944 à Tanda et de mère Camara Fanda, née à Samatiguila. Mme Koné Kadidiatou qui a demandé la sa radiation ier n’avait pour simple preuve que des photocopies de demande de carte de séjour de 1995 et de 1999 où figurent des images douteuses de Delma Mouhamed Salice.
A la question du juge sur la provenance de ces images, la plaignante a affirmé les avoir obtenues à partir de ses propres recherches. « Monsieur le juge, tout le monde peut tirer des images sur le net et les brandir. Est-ce une preuve suffisante? Mon client vient de produire des documents attestant sa nationalité ivoirienne. Si nous n’avons pas confiance aux documents que produisent nos juridictions compétentes ce serait nous culpabiliser nous mêmes. Monsieur le juge, sans toutefois rentrer dans la politique, j’aimerais faire des observations. Est-ce parce que mon client, qui a été scrutateur du FPI lors des élections législatives de 1995, est aujourd’hui dans le camp adverse qu’on le traite d’étranger ?», a plaidé l’avocat du mis en cause, Me Touré Zakaria. Le juge Kouamé Philippe a donc établi Delma Mouhamed Salice et six autres personnes dans leurs droits.
Koffi Jean Luc à Abengourou
A la question du juge sur la provenance de ces images, la plaignante a affirmé les avoir obtenues à partir de ses propres recherches. « Monsieur le juge, tout le monde peut tirer des images sur le net et les brandir. Est-ce une preuve suffisante? Mon client vient de produire des documents attestant sa nationalité ivoirienne. Si nous n’avons pas confiance aux documents que produisent nos juridictions compétentes ce serait nous culpabiliser nous mêmes. Monsieur le juge, sans toutefois rentrer dans la politique, j’aimerais faire des observations. Est-ce parce que mon client, qui a été scrutateur du FPI lors des élections législatives de 1995, est aujourd’hui dans le camp adverse qu’on le traite d’étranger ?», a plaidé l’avocat du mis en cause, Me Touré Zakaria. Le juge Kouamé Philippe a donc établi Delma Mouhamed Salice et six autres personnes dans leurs droits.
Koffi Jean Luc à Abengourou
