Le Palais de la Culture a refusé, dimanche dernier, du monde. Venu voir et entendre les deux chantres louer l’Eternel, la Canadienne Maggie Blanchard et l’Ivoirienne Constance. Louange, prière, adoration, cris, pleurs ont émaillé ce spectacle. A tour de rôle, elles ont vibré et fait vibrer la salle. C’est Constance qui ouvre le débat. Pendant une heure, elle sort de sa besace des titres comme «Alléluia», «Agneau sur le trône», «Je lève les yeux vers les montagnes», «J’ai vu ta gloire», « Nous t’adorons», «Je lève ma voix pour chanter que tu es sain». Cependant, elle n’a pas fait qu’égrener les titres de son riche répertoire, elle a mis le public de la salle Bernard Dadié à genoux pour prier l’Eternel. Pendant ses moments de méditations, des pleurs, des cris fusaient de partout. Constance a pensé à la Côte d’Ivoire qui fête cette année les 50 ans de son indépendance : «Prions pour notre pays pour que les 50 ans à venir soient des années de gloire et de réveil». Suivra la Canadienne d’origine haïtienne, Maggie Blanchard, qui avec des titres très enlevés, entretiendra pendant une heure aussi, «ses frères et sœurs en Christ».
«En Dieu est ma force», «Je t’aime Eternel », «Pour tout ce que tu es, je loue ton nom», «Libéré, oui je suis libéré», «Magnifique est l’Eternel» et bien d’autres titres ont été passés au peigne fin.
Elle également n’a pas oublié la Côte d’Ivoire, lors de ce concert d’adoration. D’où ce titre : «Jésus a payé la rançon».
Viendra enfin le moment tant attendu, le duo. Les deux chantres unissent, en effet, leurs voix, pour louer le Seigneur. Et quand elles interprètent ensemble «Combien Dieu est grand», la foule s’extasie pour elles . Et Constance de renchérir : «Nous sommes des fous de Jésus. C’est peut-être une folie pour ceux qui ne comprennent pas mais nous savons ce qu’il a fait pour nous.». On a cependant déploré le manque de cohésion entre Maggie Blanchard et les choristes à l’entame de sa prestation. C’est le lieu de rappeler que le duo s’est produit en concert samedi, à la salle Ernesto Djedjé du Palais de la Culture.
Marie Chantal Obindé
«En Dieu est ma force», «Je t’aime Eternel », «Pour tout ce que tu es, je loue ton nom», «Libéré, oui je suis libéré», «Magnifique est l’Eternel» et bien d’autres titres ont été passés au peigne fin.
Elle également n’a pas oublié la Côte d’Ivoire, lors de ce concert d’adoration. D’où ce titre : «Jésus a payé la rançon».
Viendra enfin le moment tant attendu, le duo. Les deux chantres unissent, en effet, leurs voix, pour louer le Seigneur. Et quand elles interprètent ensemble «Combien Dieu est grand», la foule s’extasie pour elles . Et Constance de renchérir : «Nous sommes des fous de Jésus. C’est peut-être une folie pour ceux qui ne comprennent pas mais nous savons ce qu’il a fait pour nous.». On a cependant déploré le manque de cohésion entre Maggie Blanchard et les choristes à l’entame de sa prestation. C’est le lieu de rappeler que le duo s’est produit en concert samedi, à la salle Ernesto Djedjé du Palais de la Culture.
Marie Chantal Obindé