Présent depuis deux semaines dans la région du Haut-Sassandra, le président de l’UNG a fait le bilan des trois principaux candidats à l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire.
De Gadouan à Zébouo Nord en passant par Bédiala, Stéphane Kipré a appelé, les 18, 19 et 20 août derniers, les populations de ces trois localités à voter pour le Président Laurent Gbagbo à la prochaine présidentielle. S’appuyant sur le bilan du candidat de la majorité présidentielle de 2000 à 2002, qu’il juge positif, le Président de l’Ung a lancé une pierre dans le jardin de l’opposition avec un traitement spécial pour les patrons du PDCI et du RDR que sont respectivement, Henri Konan Bédié et Alassane Ouattara. « Laurent Gbagbo a financé le retour de Bédié et de Ouattara en Côte d’Ivoire. Il finance les partis politiques en Côte d’Ivoire. Tous les mois, il va au-delà des indemnités prévus pour Ouattara et à Bédié à cause de leurs statuts respectifs d’ancien Premier ministre et d’ancien chef d’Etat comme le stipule la constitution. Alors, comme ils sont bien payés, qu’ils restent dans l’opposition », a-t-il indiqué. Stéphane Kipré a également stigmatisé l’attitude de ces deux responsables politiques au plus fort de la crise ivoirienne, invitant, du coup, les populations des trois localités à les sanctionner, le moment venu. «Rappelez-vous, chers parents, qu’en Côte d’Ivoire, certaines personnes ont affirmé qu’ils rendront ce pays ingouvernable. Rappelez-vous, chers parents, que certaines personnes voulaient que la Côte d’Ivoire soit sous tutelle de l’ONU, que l’Assemblée nationale soit dissoute. Si nous ne faisons pas attention, ces mêmes personnes viendront brader la souveraineté de la Côte d’Ivoire», a souligné M. Kipré. Devant un auditoire acquis à sa cause avec à sa tête de nombreux chefs coutumiers, le patron de l’Ung a également fait cas de l’assurance maladie universelle. Il a indiqué que cet ambitieux programme qui n’a certes pas vu le jour, par la faute de ceux qui ont attaqué la Côte d’Ivoire, repose déjà sur des fondations solides. «Gbagbo a voulu mettre sur pied l’assurance maladie universelle pour que chaque enfant de Côte d’Ivoire ait facilement accès aux soins de santé. L’AMU n’a pas été opérationnelle à cause de la guerre. Mais il est préférable d’avoir une assurance maladie universelle dont les bâtiments et les fonds existent que d’avoir une assurance qui n’existent que dans des projets de société chez certains», a-t-il dit.
L’hôte des populations de Gadouan, Bédiala et Zébouo-Nord a également évoqué la création des conseils généraux, l’école gratuite, la revalorisation du prix d’achat du cacao bord champ, les grands chantiers de Yamoussoukro, qui sont à mettre à l’actif de son candidat. C’est pourquoi, il a invité les populations de ces trois localités à le suivre dans son choix. «Je suis venu vous confier le candidat que nous avons choisi, c’est-à-dire Laurent Gbagbo : l’enfant du peuple et de la démocratie. Je suis venu vous confier le programme de la décentralisation et des conseils généraux. Je suis venu vous confier l’AMU pour que chaque enfant de Côte d’Ivoire puisse se soigner », a-t-il déclaré. Intervenant à leur tour, les différents porte-parole des populations ont affirmé être en phase avec les différents messages délivrés président Stéphane Kipré et ont décidé de l’accompagner en faisant réélire le président Laurent Gbagbo au premier tour de la présidentielle. Il faut noter qu’à chaque étape, l’UNG offre des semences de maïs, des bottes et des machettes aux populations.
Bédiala à Stéphane Kipré : «Nous n’allons plus nous tromper comme ce fut le cas en 2000 »
Recevant Stéphane Kipré, membre du Haut conseil de La majorité présidentielle (LMP), le 19 août dernier, les populations de Bédiala ont exprimé leur regret quant à leur choix pendant les élections générales de 2000. Par la voix de leur chef central, M. Zan Bi Mangoné, elles se sont repenties. «En 2000, nous nous sommes trompés par la faute de nos enfants. Cette année, nous n’allons plus commettre la même erreur. Nous avons décidé de marcher avec le président Laurent Gbagbo», a déclaré le chef central, sous l’approbation des populations sorties en grand nombre. Le Chef central a été soutenu par le porte-parole de la population, M. Boti Bi Roger. «Bédiala veut prendre une part importante et active dans la réélection de Laurent Gbagbo au premier tour», a-t-il indiqué. Réagissant aux propos des populations de la sous-préfecture, Stéphane Kipré s’est réjoui des nouvelles décisions des populations de Bédiala. Il considère l’action de 2000 comme une erreur. Par conséquent, il les a invité à matérialisé leurs dires par des actes concrets au cours des élections générales à venir. «Bédiala, c’est trompé en 2000. On peut se tromper une fois, mais on ne peut pas se tromper tout le temps. Bédiala a fait confiance de façon aveugle à ses enfants. Ceux-ci l’ont conduit dans le noir. Bédiala a donné son développement à certaines personnes qui l’ont conduit sur un mauvais chemin. Mais, je suis persuadé que les enfants de Bédiala ne peuvent plus. Nous devons comprendre que ces élections doivent marquer l’avenir de Bédiala. Vous réclamez un département. Mais, il ne faudrait pas que Bédiala devienne un département avec à la tête des gens qui n’ont jamais posé d’actes de développement », a conseillé le leader des nouvelles générations.
De Gadouan à Zébouo Nord en passant par Bédiala, Stéphane Kipré a appelé, les 18, 19 et 20 août derniers, les populations de ces trois localités à voter pour le Président Laurent Gbagbo à la prochaine présidentielle. S’appuyant sur le bilan du candidat de la majorité présidentielle de 2000 à 2002, qu’il juge positif, le Président de l’Ung a lancé une pierre dans le jardin de l’opposition avec un traitement spécial pour les patrons du PDCI et du RDR que sont respectivement, Henri Konan Bédié et Alassane Ouattara. « Laurent Gbagbo a financé le retour de Bédié et de Ouattara en Côte d’Ivoire. Il finance les partis politiques en Côte d’Ivoire. Tous les mois, il va au-delà des indemnités prévus pour Ouattara et à Bédié à cause de leurs statuts respectifs d’ancien Premier ministre et d’ancien chef d’Etat comme le stipule la constitution. Alors, comme ils sont bien payés, qu’ils restent dans l’opposition », a-t-il indiqué. Stéphane Kipré a également stigmatisé l’attitude de ces deux responsables politiques au plus fort de la crise ivoirienne, invitant, du coup, les populations des trois localités à les sanctionner, le moment venu. «Rappelez-vous, chers parents, qu’en Côte d’Ivoire, certaines personnes ont affirmé qu’ils rendront ce pays ingouvernable. Rappelez-vous, chers parents, que certaines personnes voulaient que la Côte d’Ivoire soit sous tutelle de l’ONU, que l’Assemblée nationale soit dissoute. Si nous ne faisons pas attention, ces mêmes personnes viendront brader la souveraineté de la Côte d’Ivoire», a souligné M. Kipré. Devant un auditoire acquis à sa cause avec à sa tête de nombreux chefs coutumiers, le patron de l’Ung a également fait cas de l’assurance maladie universelle. Il a indiqué que cet ambitieux programme qui n’a certes pas vu le jour, par la faute de ceux qui ont attaqué la Côte d’Ivoire, repose déjà sur des fondations solides. «Gbagbo a voulu mettre sur pied l’assurance maladie universelle pour que chaque enfant de Côte d’Ivoire ait facilement accès aux soins de santé. L’AMU n’a pas été opérationnelle à cause de la guerre. Mais il est préférable d’avoir une assurance maladie universelle dont les bâtiments et les fonds existent que d’avoir une assurance qui n’existent que dans des projets de société chez certains», a-t-il dit.
L’hôte des populations de Gadouan, Bédiala et Zébouo-Nord a également évoqué la création des conseils généraux, l’école gratuite, la revalorisation du prix d’achat du cacao bord champ, les grands chantiers de Yamoussoukro, qui sont à mettre à l’actif de son candidat. C’est pourquoi, il a invité les populations de ces trois localités à le suivre dans son choix. «Je suis venu vous confier le candidat que nous avons choisi, c’est-à-dire Laurent Gbagbo : l’enfant du peuple et de la démocratie. Je suis venu vous confier le programme de la décentralisation et des conseils généraux. Je suis venu vous confier l’AMU pour que chaque enfant de Côte d’Ivoire puisse se soigner », a-t-il déclaré. Intervenant à leur tour, les différents porte-parole des populations ont affirmé être en phase avec les différents messages délivrés président Stéphane Kipré et ont décidé de l’accompagner en faisant réélire le président Laurent Gbagbo au premier tour de la présidentielle. Il faut noter qu’à chaque étape, l’UNG offre des semences de maïs, des bottes et des machettes aux populations.
Bédiala à Stéphane Kipré : «Nous n’allons plus nous tromper comme ce fut le cas en 2000 »
Recevant Stéphane Kipré, membre du Haut conseil de La majorité présidentielle (LMP), le 19 août dernier, les populations de Bédiala ont exprimé leur regret quant à leur choix pendant les élections générales de 2000. Par la voix de leur chef central, M. Zan Bi Mangoné, elles se sont repenties. «En 2000, nous nous sommes trompés par la faute de nos enfants. Cette année, nous n’allons plus commettre la même erreur. Nous avons décidé de marcher avec le président Laurent Gbagbo», a déclaré le chef central, sous l’approbation des populations sorties en grand nombre. Le Chef central a été soutenu par le porte-parole de la population, M. Boti Bi Roger. «Bédiala veut prendre une part importante et active dans la réélection de Laurent Gbagbo au premier tour», a-t-il indiqué. Réagissant aux propos des populations de la sous-préfecture, Stéphane Kipré s’est réjoui des nouvelles décisions des populations de Bédiala. Il considère l’action de 2000 comme une erreur. Par conséquent, il les a invité à matérialisé leurs dires par des actes concrets au cours des élections générales à venir. «Bédiala, c’est trompé en 2000. On peut se tromper une fois, mais on ne peut pas se tromper tout le temps. Bédiala a fait confiance de façon aveugle à ses enfants. Ceux-ci l’ont conduit dans le noir. Bédiala a donné son développement à certaines personnes qui l’ont conduit sur un mauvais chemin. Mais, je suis persuadé que les enfants de Bédiala ne peuvent plus. Nous devons comprendre que ces élections doivent marquer l’avenir de Bédiala. Vous réclamez un département. Mais, il ne faudrait pas que Bédiala devienne un département avec à la tête des gens qui n’ont jamais posé d’actes de développement », a conseillé le leader des nouvelles générations.
