Directeur de cabinet adjoint du Premier ministre, chargé du Programme de sortie de crise, M. Koffi Koffi Paul était hier l’invité des communicateurs citoyens bénévoles.
Dans son exposé, le conférencier qui entretenait l’auditoire sur la sortie de crise a orienté les débats autour de quatre axes. Notamment, le rédeploiement de l’administration, la question militaire, la réunification du pays et les élections. Selon M. Paul Koffi Koffi, avec l’Accord politique de Ouaga, l’Etat affirme sa marche irréversible vers l’entièreté de son autorité sur toute l’étendue du territoire national. Quant aux réclamations de salaire de certaines structures en charge du processus électoral, ce cadre de la primature a été très clair. « Aucune structure ne peut dire qu’elle n’est pas approvisionnée financièrement. Dire que les structures n’ont pas de ressources, ce n’est pas exact » a-t-il revelé.
Audience foraine, état civil
Au niveau des audiences foraines, on apprendra de lui que 750 mille expéditions ont été produites et 250 mille jugements supplétifs ont été délivrés. Aussi, M. Koffi Koffi Paul a-t-il indiqué qu’il faut complètement réviser et actualiser l’état-civil ivoirien à l’effet de l’utiliser comme instrument. Il notera que 6,8 millions de personnes ont été identifiées.
Opération militaire et de sécurité
Le centre de commandement intégré (CCI) est chargé de procéder au désarmement des ex-bélligerants en utilisant au besoin, la force. Les forces armées des Forces nouvelles ne disparaîtront pas. Elles ont un quota qui leur est échu d’après un simple calcul arithmétique. On les met en caserne. Elles vont intégrer l’armée nationale nouvelle après l’élection. Cependant, dans les rangs des FN 32 mille éléments ont été identifiés dont 11 mille démobilisés. On a pu réinsérer 5 mille citoyens. Il reste un contingent de 7 mille encore à réinsérer. Quant aux milices, 37 mille des éléments, ont été identifiés dont 17 mille demantelés. Il reste encore un paquet de 20 mille à démanteler. « Le défi de la réinsertion, selon l’orateur, demeure. Cela est d’autant plus vrai que le chapitre de la reconstruction et de la cohésion sociale est un élément très important de cohabitation pacifique ».
Processus et recensement électoral
Aux dires du conférencier, le processus électoral est couplé à l’identification et au recensement électoral. « Ceux qui auront la carte nationale d’identité (CNI) : ce sont eux qui vont figurer sur la liste électorale définitive. Le travail sur le contentieux relève de la seule responsabilité de la CEI, avec l’appui des juridictions » a-t-il clarifié.
Date de la présidentielle, palabre primature-CEI
« La CEI n’a pas encore établi un chronogramme des élections. Le 31 octobre est une préposition soumise à qui de droit, pour examen pour adoption» a-t-il déclaré. Quant à la gueguerre primature-CEI, M. Koffi Koffi Paul, déclare ceci : « Ce n’est pas une opinion officielle. Nous allons voir les fondements de ce qui se véhicule ».
K. Zéguédoua Tano
Dans son exposé, le conférencier qui entretenait l’auditoire sur la sortie de crise a orienté les débats autour de quatre axes. Notamment, le rédeploiement de l’administration, la question militaire, la réunification du pays et les élections. Selon M. Paul Koffi Koffi, avec l’Accord politique de Ouaga, l’Etat affirme sa marche irréversible vers l’entièreté de son autorité sur toute l’étendue du territoire national. Quant aux réclamations de salaire de certaines structures en charge du processus électoral, ce cadre de la primature a été très clair. « Aucune structure ne peut dire qu’elle n’est pas approvisionnée financièrement. Dire que les structures n’ont pas de ressources, ce n’est pas exact » a-t-il revelé.
Audience foraine, état civil
Au niveau des audiences foraines, on apprendra de lui que 750 mille expéditions ont été produites et 250 mille jugements supplétifs ont été délivrés. Aussi, M. Koffi Koffi Paul a-t-il indiqué qu’il faut complètement réviser et actualiser l’état-civil ivoirien à l’effet de l’utiliser comme instrument. Il notera que 6,8 millions de personnes ont été identifiées.
Opération militaire et de sécurité
Le centre de commandement intégré (CCI) est chargé de procéder au désarmement des ex-bélligerants en utilisant au besoin, la force. Les forces armées des Forces nouvelles ne disparaîtront pas. Elles ont un quota qui leur est échu d’après un simple calcul arithmétique. On les met en caserne. Elles vont intégrer l’armée nationale nouvelle après l’élection. Cependant, dans les rangs des FN 32 mille éléments ont été identifiés dont 11 mille démobilisés. On a pu réinsérer 5 mille citoyens. Il reste un contingent de 7 mille encore à réinsérer. Quant aux milices, 37 mille des éléments, ont été identifiés dont 17 mille demantelés. Il reste encore un paquet de 20 mille à démanteler. « Le défi de la réinsertion, selon l’orateur, demeure. Cela est d’autant plus vrai que le chapitre de la reconstruction et de la cohésion sociale est un élément très important de cohabitation pacifique ».
Processus et recensement électoral
Aux dires du conférencier, le processus électoral est couplé à l’identification et au recensement électoral. « Ceux qui auront la carte nationale d’identité (CNI) : ce sont eux qui vont figurer sur la liste électorale définitive. Le travail sur le contentieux relève de la seule responsabilité de la CEI, avec l’appui des juridictions » a-t-il clarifié.
Date de la présidentielle, palabre primature-CEI
« La CEI n’a pas encore établi un chronogramme des élections. Le 31 octobre est une préposition soumise à qui de droit, pour examen pour adoption» a-t-il déclaré. Quant à la gueguerre primature-CEI, M. Koffi Koffi Paul, déclare ceci : « Ce n’est pas une opinion officielle. Nous allons voir les fondements de ce qui se véhicule ».
K. Zéguédoua Tano
