«Sésame édition» vient de publier le livre de Salia Ouattara : « Comment vaincre le stress. ». Jean-Luc Djéa, le fondateur »e t directeur de cette maison d’édition est un ami de longue date. C’est sur sa terrasse que je me retrouve souvent pour discuter. C’est mon QG. Celui qui me cherche m’y trouve. Au cours d’une discussion, où il se plaignait des éditeurs, je lui ai demandé de créer sa propre maison d’édition et que ce n’était pas du tout sorcier. Ainsi, il pourra s’éditer et publier d’autres oeuvres. C’est donc fait depuis deux ans. Le livre qu’il vient de publier est celui de notre ami commun et surtout un grand ami, un ami de trente ans comme on le dit. Un ami aussi de « l’Intelligent d’Abidjan. » Pendant près de vingt ans on ne cessait de se voir régulièrement. C’était l’ami le plus fidèle. Un vrai ami. Celui qui n’hésitait pas à vous aider en cas de difficulté sans que vous lui en parlez. Ce grand délégué médical et natif de Priko a beaucoup soulagé mes parents quand ils étaient malades et souffrant. Toujours présent à côté de l’homme dans toutes les circonstances de la vie. J’ai même les larmes aux yeux en écrivant ce matin. Je sanglote même.
Jamais je ne pourrais rendre à cet homme de cœur le centième de ce qu’il a fait pour moi. Je le remercierai éternellement. Hélas, depuis quatre ans, environ, on ne se voit presque plus. J’ai réfléchi, à plusieurs reprises, sur les causes de notre « séparation ». Je pense que les différentes raisons commencent par les changements de ville, de quartiers de mon ami. Et cela est un détail fort important à noter. Deux amis très proches l’un de l’autre peuvent s’écarter car n’habitant pas la même ville et cela peut les séparer pour toujours. Chacun trouvant d’autres amis proches par le quartier ou le travail. Il faut dire que Salia est souvent un « samory touré » voulant qu’on accepte forcement ses idées. Je ne suis pas étonné de le voir écrire un livre sur le stress.
Il en a connu. «Le stress est un ensemble de troubles psychiques et organiques résultant d’un traumatisme. Ainsi compris, dans la réalité physiologique, le stress peut provoquer des troubles d’organisation de la pensée et d’organisation des objectifs. » Pour l’auteur personne n’échappe au stress. Il nous raconte certaines démarches qu’il a eu à subir pour vaincre son stress. C’est très formateur et il finit par trouver la solution convenable selon lui. A savoir la respiration. Le chapitre est intitulé : « Le souffle du soupir : notre méthode pour vaincre le stress. » Rien que ce chapitre vaut le « déplacement » pour ce livre d’une cinquantaine de pages. Le remède miracle c’est le « rocking-chair » : « L’un des balanciers me céda son rocking-chair. Le ciel et le sol alternèrent devant moi. Mon point de vue fut une constante mutation. De ce mouvement , j’ajoutai, d’une manière inconsciente, une autre (respiration ) et la méditation. Au plus profond de mon être je me vis, comme dans un rêve, prendre corps une nouvelle perception du monde : et je mis à crier tel un fou : « Eurêka ! Eurêka ! J’ai trouvé après avoir tâtonné. J’ai trouvé « le souffle du soupir ». Je ne dirai pas plus sur ce livre invitant le lecteur à s’y plonger de toute urgence. Je suis persuadé que Salia va écrire d’autres livres. J’ai toujours dit qu’il avait un bon style même s’il n’y croyait pas trop. La preuve vient de se faire. Personnellement, je suis déjà impatient de dévorer le prochain. Et je suis persuadé qu’il sera encore comme du bon vin. L’exemple de Djéa doit nous montrer que chacun doit être son entrepreneur dans tous les domaines. Il ne faut jamais se croiser les bras et se lamenter. On ne doit pas forcement avoir de grands moyens pour débuter une entreprise. L’exemple de beaucoup de milliardaires est là pour l’attester. Tout ce qui grandit commence petit. Ne jamais hésiter à se lancer dans le bain. Ne pas surtout avoir peur de l’échec.
Ceux qui échouent beaucoup apprennent encore plus que ceux qui sont partis rapidement ;
Beaucoup de ceux, qui ont échoué aux examens et concours cette année, sont bien partis pour réussir leurs études. Le président LG à qui tout semble réussir , aujourd’hui, a été battu à sa première élection. Il a dû beaucoup apprendre dans cette première malheureuse campagne qui sera un vrai tremplin pour lui. Et puis dans n’importe quel domaine de la vie, notamment des affaires il faut confier sa journée à Dieu. C’est le premier principe de la vie. Bénissez le nom su Seigneur. Ainsi va l’Afrique. A la semaine prochaine.
Par Isaïe Biton Koulibaly
Jamais je ne pourrais rendre à cet homme de cœur le centième de ce qu’il a fait pour moi. Je le remercierai éternellement. Hélas, depuis quatre ans, environ, on ne se voit presque plus. J’ai réfléchi, à plusieurs reprises, sur les causes de notre « séparation ». Je pense que les différentes raisons commencent par les changements de ville, de quartiers de mon ami. Et cela est un détail fort important à noter. Deux amis très proches l’un de l’autre peuvent s’écarter car n’habitant pas la même ville et cela peut les séparer pour toujours. Chacun trouvant d’autres amis proches par le quartier ou le travail. Il faut dire que Salia est souvent un « samory touré » voulant qu’on accepte forcement ses idées. Je ne suis pas étonné de le voir écrire un livre sur le stress.
Il en a connu. «Le stress est un ensemble de troubles psychiques et organiques résultant d’un traumatisme. Ainsi compris, dans la réalité physiologique, le stress peut provoquer des troubles d’organisation de la pensée et d’organisation des objectifs. » Pour l’auteur personne n’échappe au stress. Il nous raconte certaines démarches qu’il a eu à subir pour vaincre son stress. C’est très formateur et il finit par trouver la solution convenable selon lui. A savoir la respiration. Le chapitre est intitulé : « Le souffle du soupir : notre méthode pour vaincre le stress. » Rien que ce chapitre vaut le « déplacement » pour ce livre d’une cinquantaine de pages. Le remède miracle c’est le « rocking-chair » : « L’un des balanciers me céda son rocking-chair. Le ciel et le sol alternèrent devant moi. Mon point de vue fut une constante mutation. De ce mouvement , j’ajoutai, d’une manière inconsciente, une autre (respiration ) et la méditation. Au plus profond de mon être je me vis, comme dans un rêve, prendre corps une nouvelle perception du monde : et je mis à crier tel un fou : « Eurêka ! Eurêka ! J’ai trouvé après avoir tâtonné. J’ai trouvé « le souffle du soupir ». Je ne dirai pas plus sur ce livre invitant le lecteur à s’y plonger de toute urgence. Je suis persuadé que Salia va écrire d’autres livres. J’ai toujours dit qu’il avait un bon style même s’il n’y croyait pas trop. La preuve vient de se faire. Personnellement, je suis déjà impatient de dévorer le prochain. Et je suis persuadé qu’il sera encore comme du bon vin. L’exemple de Djéa doit nous montrer que chacun doit être son entrepreneur dans tous les domaines. Il ne faut jamais se croiser les bras et se lamenter. On ne doit pas forcement avoir de grands moyens pour débuter une entreprise. L’exemple de beaucoup de milliardaires est là pour l’attester. Tout ce qui grandit commence petit. Ne jamais hésiter à se lancer dans le bain. Ne pas surtout avoir peur de l’échec.
Ceux qui échouent beaucoup apprennent encore plus que ceux qui sont partis rapidement ;
Beaucoup de ceux, qui ont échoué aux examens et concours cette année, sont bien partis pour réussir leurs études. Le président LG à qui tout semble réussir , aujourd’hui, a été battu à sa première élection. Il a dû beaucoup apprendre dans cette première malheureuse campagne qui sera un vrai tremplin pour lui. Et puis dans n’importe quel domaine de la vie, notamment des affaires il faut confier sa journée à Dieu. C’est le premier principe de la vie. Bénissez le nom su Seigneur. Ainsi va l’Afrique. A la semaine prochaine.
Par Isaïe Biton Koulibaly
