La stratégie de la souris : mordre et souffler, le FPI en raffole. Mais les Ivoiriens ne sont pas dupes encore moins amnésiques. La communauté musulmane de Diégonéfla dans le département d’Oumé, qui a récemment beaucoup souffert des dénonciations calomnieuses des activistes du FPI dans le cadre du contentieux sur la liste électorale, a rendu la monnaie à un ponte de ce parti.
En l’occurrence Odette Sauyet Likikouet. A peine, le contentieux terminé, l’ancienne ministre de la Communication a cru bon d’aller offrir six cartons de sucre et quelques sacs de riz à la communauté musulmane de la ville. Ainsi, jeudi au moment où le procès dans le cadre du contentieux battait son plein, Odette Sauyet a décidé d’aller faire son don à la communauté musulmane de Diégonéfla. Par l’entremise d’un certain Bayala, les dons ont été acheminés à la mosquée de l’Imam Koné. Ayant appris l’information, les jeunes musulmans de la ville ont pris d’assaut la mosquée. Ils ont alors ramassé les cartons de sucre et les sacs de riz de dame Likikouet pour aller les remettre au doyen Brahima Dosso, chef de la communauté musulmane de la ville. En lui disant de les restituer à la donatrice. « On ne peut pas nous traiter d’étranger et venir nous amadouer avec du sucre », ont-ils martelé.
IBK
En l’occurrence Odette Sauyet Likikouet. A peine, le contentieux terminé, l’ancienne ministre de la Communication a cru bon d’aller offrir six cartons de sucre et quelques sacs de riz à la communauté musulmane de la ville. Ainsi, jeudi au moment où le procès dans le cadre du contentieux battait son plein, Odette Sauyet a décidé d’aller faire son don à la communauté musulmane de Diégonéfla. Par l’entremise d’un certain Bayala, les dons ont été acheminés à la mosquée de l’Imam Koné. Ayant appris l’information, les jeunes musulmans de la ville ont pris d’assaut la mosquée. Ils ont alors ramassé les cartons de sucre et les sacs de riz de dame Likikouet pour aller les remettre au doyen Brahima Dosso, chef de la communauté musulmane de la ville. En lui disant de les restituer à la donatrice. « On ne peut pas nous traiter d’étranger et venir nous amadouer avec du sucre », ont-ils martelé.
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