A 60 jours du premier tour de l'élection présidentielle du 31 octobre 2010, voici ce qu'on attend des Ddc de Gbagbo.
A 60 jours de la date fatidique du 31 octobre, nous pouvons nous taire sur l'inertie ou le fourvoiement de tous ceux qui doivent contribuer autant que faire se peut à la victoire de Laurent Gbagbo. C'est vraiment un cri du cœur que nous voulons lancer. La victoire de Laurent ne sera assurée de façon totale au 1er tour qu'au sortir des urnes le 31 octobre 2010 à 17 heures. Assurer et l'assumer, c'est faire triompher la dignité sur la capitulation, c'est faire triompher l'honneur sur l'opprobre, c'est faire triompher la liberté sur l'aliénation.
Le contentieux électoral s'est achevé dans un chaos indescriptible qui ne présage rien de bon Si nous ne nous tenons pas dès aujourd'hui, debout pour le triomphe de la gloire et la dignité. L'élection de Gbagbo Laurent doit être le couronnement d'une lutte acharnée pour la dignité depuis son élection en 2000. Cette victoire qui ouvrira les perspectives d'une renaissance d'une Côte d'Ivoire nouvelle libérée passe forcément pour notre capacité à transcender nos querelles partisanes, nos ambitions personnelles, voire nos prétentions irréalisables. Joignons nos forces et noyons dans l'oubli nos petits différents. La campagne par la réélection de Laurent Gbagbo en ces moments cruciaux d'un tournant décisif doit nous amener à mesurer l'importance des actes que nous posons. Ces actes ne valent que par le sens intérieur qui les gouverne.
Nous, les composantes de La majorité présidentielle dans tous ses démembrements, Dnc, Dlc, secrétaires de base, de section, fédéraux du Fpi, partis frères, mouvements et associations de soutien, sympathisants et amis devront ici et maintenant quitter les salons feutrés de la Résidence du Président, les lambris dorés du Palais de la présidence pour les portes de nos populations dans les villages, les campements, les patelins, les champs, les plantations. La liste même provisoire des électeurs est connue ; allons vers eux dans un corps-à-corps serré, dans un Mano à Mano.
Ddc, Dlc… montrons que nous sommes représentatifs des soldats à l'oeuvre pour l'élection du Président Gbagbo au 1er tour en rejoignant vos fiefs de Gabiadji, de Dêbêtê, de Papara, de Krakro, de Tibeïta, Sietinfla, Lobia…
Nous avons voulu de ces postes, allons donc au charbon à travers monts et vallées, savane et forêt, sous la pluie, le soleil, dans la boue pour cueillir cette victoire ultime. Abandonnons les plateaux démonstratifs des plateaux de Télévision ; arrêtons de nous auto-mirer dans des reportages complaisamment menés quand ils ne sont pas malicieusement télécommandés.
Laurent Gbagbo nous a assez vus. Nous le séduisons plus. Nous le séduirons beaucoup plus quand nous aurons abandonné les préaux des multitudes bâches montées et les fameuses chaises blanches circonstancielles pour la boue, les sentiers perdus de la brousse, les portes des électeurs qui nous attendent à bras ouvert.
La campagne spectacle dons nos régions où nous allons pour nous magnifier plutôt que de se battre pour lui, ne l'émeut pas. Abandonnons nos vestes, nos chaussures au bec allongé pour des Jeans et des baskets, mieux, pour des bottes en cette saison de pluie pour rejoindre les électeurs. Laurent Gbagbo en sera ravi.
Arrêtons nos élucubrations intellectuelles à travers colloques, séminaires, rencontres, conférences qui ne servent qu'à des auto- satisfactions personnelles intéressées pour le terrain où les électeurs nous attendent. C'est- là que se trouve le vrai combat à faire. Mettons fin à nos interviews fleuve à travers les journaux, interviews qui ne sont même pas lues par les vrais électeurs.
Laurent Gbagbo nous a assez vus, assez lus. Maintenant il veut du concret sur le terrain. Dessaisissons -nous de nos titres ronflants de Pca, Dg, ministre pour rejoindre les électeurs sur le terrain.
Arrêtons de faire notre propre promotion sous prétexte que nous nous battons pour notre candidat.
Arrêtons de suivre le directeur national de compagne dans ses servitudes quotidiennes. Rendons-nous plutôt sur le terrain, où il nous rejoindra pour apprécier ce que nous aurons fait de positif. Il en tirera mille et une satisfactions plutôt que de nous voir faire du suivisme à longueur de journée. Usons d'une intelligence vaste et pénétrante pour faire élire au soir du 31 octobre notre candidat Laurent Gbagbo dès le premier tour. Souffrons que pour une fois la raison prenne le pas sur nos ambitions personnelles.
Laurent Gbagbo nous a assez vus, assez entendus servons-lui du concret en s'appropriant le terrain. Mettons fin à la campagne spectacle vainement improductive.
Ange Marie Ibo Djêgba
A 60 jours de la date fatidique du 31 octobre, nous pouvons nous taire sur l'inertie ou le fourvoiement de tous ceux qui doivent contribuer autant que faire se peut à la victoire de Laurent Gbagbo. C'est vraiment un cri du cœur que nous voulons lancer. La victoire de Laurent ne sera assurée de façon totale au 1er tour qu'au sortir des urnes le 31 octobre 2010 à 17 heures. Assurer et l'assumer, c'est faire triompher la dignité sur la capitulation, c'est faire triompher l'honneur sur l'opprobre, c'est faire triompher la liberté sur l'aliénation.
Le contentieux électoral s'est achevé dans un chaos indescriptible qui ne présage rien de bon Si nous ne nous tenons pas dès aujourd'hui, debout pour le triomphe de la gloire et la dignité. L'élection de Gbagbo Laurent doit être le couronnement d'une lutte acharnée pour la dignité depuis son élection en 2000. Cette victoire qui ouvrira les perspectives d'une renaissance d'une Côte d'Ivoire nouvelle libérée passe forcément pour notre capacité à transcender nos querelles partisanes, nos ambitions personnelles, voire nos prétentions irréalisables. Joignons nos forces et noyons dans l'oubli nos petits différents. La campagne par la réélection de Laurent Gbagbo en ces moments cruciaux d'un tournant décisif doit nous amener à mesurer l'importance des actes que nous posons. Ces actes ne valent que par le sens intérieur qui les gouverne.
Nous, les composantes de La majorité présidentielle dans tous ses démembrements, Dnc, Dlc, secrétaires de base, de section, fédéraux du Fpi, partis frères, mouvements et associations de soutien, sympathisants et amis devront ici et maintenant quitter les salons feutrés de la Résidence du Président, les lambris dorés du Palais de la présidence pour les portes de nos populations dans les villages, les campements, les patelins, les champs, les plantations. La liste même provisoire des électeurs est connue ; allons vers eux dans un corps-à-corps serré, dans un Mano à Mano.
Ddc, Dlc… montrons que nous sommes représentatifs des soldats à l'oeuvre pour l'élection du Président Gbagbo au 1er tour en rejoignant vos fiefs de Gabiadji, de Dêbêtê, de Papara, de Krakro, de Tibeïta, Sietinfla, Lobia…
Nous avons voulu de ces postes, allons donc au charbon à travers monts et vallées, savane et forêt, sous la pluie, le soleil, dans la boue pour cueillir cette victoire ultime. Abandonnons les plateaux démonstratifs des plateaux de Télévision ; arrêtons de nous auto-mirer dans des reportages complaisamment menés quand ils ne sont pas malicieusement télécommandés.
Laurent Gbagbo nous a assez vus. Nous le séduisons plus. Nous le séduirons beaucoup plus quand nous aurons abandonné les préaux des multitudes bâches montées et les fameuses chaises blanches circonstancielles pour la boue, les sentiers perdus de la brousse, les portes des électeurs qui nous attendent à bras ouvert.
La campagne spectacle dons nos régions où nous allons pour nous magnifier plutôt que de se battre pour lui, ne l'émeut pas. Abandonnons nos vestes, nos chaussures au bec allongé pour des Jeans et des baskets, mieux, pour des bottes en cette saison de pluie pour rejoindre les électeurs. Laurent Gbagbo en sera ravi.
Arrêtons nos élucubrations intellectuelles à travers colloques, séminaires, rencontres, conférences qui ne servent qu'à des auto- satisfactions personnelles intéressées pour le terrain où les électeurs nous attendent. C'est- là que se trouve le vrai combat à faire. Mettons fin à nos interviews fleuve à travers les journaux, interviews qui ne sont même pas lues par les vrais électeurs.
Laurent Gbagbo nous a assez vus, assez lus. Maintenant il veut du concret sur le terrain. Dessaisissons -nous de nos titres ronflants de Pca, Dg, ministre pour rejoindre les électeurs sur le terrain.
Arrêtons de faire notre propre promotion sous prétexte que nous nous battons pour notre candidat.
Arrêtons de suivre le directeur national de compagne dans ses servitudes quotidiennes. Rendons-nous plutôt sur le terrain, où il nous rejoindra pour apprécier ce que nous aurons fait de positif. Il en tirera mille et une satisfactions plutôt que de nous voir faire du suivisme à longueur de journée. Usons d'une intelligence vaste et pénétrante pour faire élire au soir du 31 octobre notre candidat Laurent Gbagbo dès le premier tour. Souffrons que pour une fois la raison prenne le pas sur nos ambitions personnelles.
Laurent Gbagbo nous a assez vus, assez entendus servons-lui du concret en s'appropriant le terrain. Mettons fin à la campagne spectacle vainement improductive.
Ange Marie Ibo Djêgba
