Des rumeurs persistantes font état d'un coup de force sanglant en préparation. Dans le viseur des comploteurs, un nombre de personnalités politiques proches du camp présidentiel dont Pascal Affi N'Guessan, président du Fpi.
"Selon des informations en possession de l'état-major des Armées, certaines personnes animées de mauvaises intentions seraient en contact avec des ex-militaires radiés des Forces armées nationales de Côte d'Ivoire aux fins de commettre des assassinats et autres crimes dont les desseins restent inavoués". Extrait du communiqué de l'état-major des Armées, en date du 27 août 2010. Les "grandes oreilles" n'ont pas tort de lever le voile sur cette énième sombre affaire. Selon des confidences de sources généralement bien informées, le ver est déjà dans le fruit. Les déstabilisateurs ont infiltré la sécurité de plusieurs personnalités du pays, via les sociétés de gardiennage. Des missions précises ont été confiées aux "recrues" de certaines sociétés privées. Ainsi, dans le premier cercle de la sécurité du président du Front populaire ivoirien (Fpi), Pascal Affi N'Guessan, un certain Abou a été commis à la tâche de "pister" l'ex-Premier ministre. En relevant ses plaques d'immatriculations, et, avec une marge de l'ordre du micron, ses heures de sorties et d'entrées dans sa résidence. Dans le but de lui faire subir le tragique sort de Boga Doudou, dans une action synchronisée. La question qu'on pourrait se poser, c'est pourquoi Affi que ses détracteurs jugeaient un peu amorphe a brusquement un cynique intérêt pour les forces du mal. En effet, depuis qu'il s'est retiré au profit de l'inamovible ( ?) dépositaire des Accords de Marcoussis, Seydou Elimane Diarra, et qu'il a pris les rênes du Fpi, Pascal Affi s'est radicalement métamorphosé. Son discours, à la fois précis, concis, fluide et offensif a fait plus d'une fois manger la cravate au Rdr et à l'ex-rébellion. Du coup, sa notoriété l'a inscrit de facto sur la liste des hommes à abattre. Ceux pour qui le sang est l'oxygène, le meurtre la nourriture arriveront-ils à ce funeste dessein ? Espérons que non. forgé en cela par la fermeté de la grande muette : "Le général de corps d'Armée, Philippe Mangou, chef d'état-major des Armées, et l'ensemble des commandements des Forces de défense et de sécurité de Côte d'Ivoire, mettent sévèrement en garde ces ex-militaires identifiés, qu'ils sont suivis dans leurs basses manœuvres. Tous leurs agissements nuisibles et ceux de leurs commanditaires, trouveront une réponse adéquate de la part des Forces de défense et sécurité". Venant d'officiers qui ont démontré qu'ils sont capables de renseignements précis, capables de porter le feu au cœur de la ligne ennemi, l'opération Dignité l'a prouvé, ça donne à espérer. Puisque la seule condition pour que le mal triomphe, comme l'a dit l'homme de foi, c'est que les hommes bons (comme les Fds) ne fassent rien.
Tché Bi Tché
zanbi05641405@yahoo.fr
"Selon des informations en possession de l'état-major des Armées, certaines personnes animées de mauvaises intentions seraient en contact avec des ex-militaires radiés des Forces armées nationales de Côte d'Ivoire aux fins de commettre des assassinats et autres crimes dont les desseins restent inavoués". Extrait du communiqué de l'état-major des Armées, en date du 27 août 2010. Les "grandes oreilles" n'ont pas tort de lever le voile sur cette énième sombre affaire. Selon des confidences de sources généralement bien informées, le ver est déjà dans le fruit. Les déstabilisateurs ont infiltré la sécurité de plusieurs personnalités du pays, via les sociétés de gardiennage. Des missions précises ont été confiées aux "recrues" de certaines sociétés privées. Ainsi, dans le premier cercle de la sécurité du président du Front populaire ivoirien (Fpi), Pascal Affi N'Guessan, un certain Abou a été commis à la tâche de "pister" l'ex-Premier ministre. En relevant ses plaques d'immatriculations, et, avec une marge de l'ordre du micron, ses heures de sorties et d'entrées dans sa résidence. Dans le but de lui faire subir le tragique sort de Boga Doudou, dans une action synchronisée. La question qu'on pourrait se poser, c'est pourquoi Affi que ses détracteurs jugeaient un peu amorphe a brusquement un cynique intérêt pour les forces du mal. En effet, depuis qu'il s'est retiré au profit de l'inamovible ( ?) dépositaire des Accords de Marcoussis, Seydou Elimane Diarra, et qu'il a pris les rênes du Fpi, Pascal Affi s'est radicalement métamorphosé. Son discours, à la fois précis, concis, fluide et offensif a fait plus d'une fois manger la cravate au Rdr et à l'ex-rébellion. Du coup, sa notoriété l'a inscrit de facto sur la liste des hommes à abattre. Ceux pour qui le sang est l'oxygène, le meurtre la nourriture arriveront-ils à ce funeste dessein ? Espérons que non. forgé en cela par la fermeté de la grande muette : "Le général de corps d'Armée, Philippe Mangou, chef d'état-major des Armées, et l'ensemble des commandements des Forces de défense et de sécurité de Côte d'Ivoire, mettent sévèrement en garde ces ex-militaires identifiés, qu'ils sont suivis dans leurs basses manœuvres. Tous leurs agissements nuisibles et ceux de leurs commanditaires, trouveront une réponse adéquate de la part des Forces de défense et sécurité". Venant d'officiers qui ont démontré qu'ils sont capables de renseignements précis, capables de porter le feu au cœur de la ligne ennemi, l'opération Dignité l'a prouvé, ça donne à espérer. Puisque la seule condition pour que le mal triomphe, comme l'a dit l'homme de foi, c'est que les hommes bons (comme les Fds) ne fassent rien.
Tché Bi Tché
zanbi05641405@yahoo.fr