Les pessimistes de tous bords ont pris un véritable coup de massue, hier. En réalisant le consensus autour de la liste électorale définitive, Laurent Gbagbo, Henri Konan Bédié, Alassane Ouattara et Guillaume Soro ont démontré clairement leur volonté de lever tout obstacle politique à la tenue du scrutin le 31 octobre.
Désormais, plus rien ne devrait entraver la marche accélérée vers ce rendez-vous tant attendu par tous.
Et, chacun devrait se préparer à glisser son bulletin dans l’urne, après une attente de 5 ans.
Ceux qui n’avaient pas perdu espoir, sans doute ne sont-ils pas nombreux, ont certainement ressenti ce doux sentiment de fierté légitime de voir des adversaires farouches surmonter leurs divergences, au sujet d’un document qui passionne.
Car, ce consensus indique que les Ivoiriens auront, d’ici un mois, leurs cartes d’identité et d’électeur. Certains devront peut-être attendre quelques semaines pour faire reconnaître leurs droits fondamentaux. Mais, la majorité verra sa citoyenneté établie à partir de cette borne capitale.
Et, il n’est pas exagéré d’écrire que le 6 septembre 2010, le lendemain de la Nuit du destin, est un grand jour pour les Ivoiriens. Sans préjuger d’éventuelles difficultés techniques, dont l’impact devrait être limité sur le processus, l’on peut affirmer, sans exagération, que la Côte d’Ivoire vient de s’engager sur un boulevard vers le 31 octobre, pour une présidentielle historique.
Comment ne pas se rappeler du 4 mars 2007, date de la signature à Ouagadougou de l’Accord politique de l’éponyme, entre Laurent Gbagbo, Guillaume Soro et Blaise Compaoré ? Depuis, les obstacles sont tombés, les uns après les autres : suppression de la zone de confiance, redéploiement de l’administration, déploiement du Centre de commandement intégré (Cei), identification et recensement électoral, désarmement, liste électorale.
Que de chemin parcouru grâce à la médiation du président burkinabé, Blaise Compaoré !
Kesy B.Jacob
Désormais, plus rien ne devrait entraver la marche accélérée vers ce rendez-vous tant attendu par tous.
Et, chacun devrait se préparer à glisser son bulletin dans l’urne, après une attente de 5 ans.
Ceux qui n’avaient pas perdu espoir, sans doute ne sont-ils pas nombreux, ont certainement ressenti ce doux sentiment de fierté légitime de voir des adversaires farouches surmonter leurs divergences, au sujet d’un document qui passionne.
Car, ce consensus indique que les Ivoiriens auront, d’ici un mois, leurs cartes d’identité et d’électeur. Certains devront peut-être attendre quelques semaines pour faire reconnaître leurs droits fondamentaux. Mais, la majorité verra sa citoyenneté établie à partir de cette borne capitale.
Et, il n’est pas exagéré d’écrire que le 6 septembre 2010, le lendemain de la Nuit du destin, est un grand jour pour les Ivoiriens. Sans préjuger d’éventuelles difficultés techniques, dont l’impact devrait être limité sur le processus, l’on peut affirmer, sans exagération, que la Côte d’Ivoire vient de s’engager sur un boulevard vers le 31 octobre, pour une présidentielle historique.
Comment ne pas se rappeler du 4 mars 2007, date de la signature à Ouagadougou de l’Accord politique de l’éponyme, entre Laurent Gbagbo, Guillaume Soro et Blaise Compaoré ? Depuis, les obstacles sont tombés, les uns après les autres : suppression de la zone de confiance, redéploiement de l’administration, déploiement du Centre de commandement intégré (Cei), identification et recensement électoral, désarmement, liste électorale.
Que de chemin parcouru grâce à la médiation du président burkinabé, Blaise Compaoré !
Kesy B.Jacob