Dimanche, el hadj Karamoko Mamadou dit Samouka Dé (c’est-à-dire fils de Samouka, son père) a célébré sa 31e nuit du destin au quartier Sable de Yopougon, en présence d’une immense foule. Le prédicateur a rendu grâce à Dieu qui lui a permis de connaître le coran et de l’enseigner.
Le fils de Samouka est né le 15 novembre 1943, à Mankono. A l’âge de 5 ans, il vient avec ses parents à Tarafesso, dans la sous-préfecture de Konahiri. Un an après, son père s’installe à Gagnoa avec sa famille. Le fils y débute ses études coraniques en 1953, chez Gaoussou Traoré. Celui-ci le ramène à Mankono chez son père à lui, le grand sage Choilio Traoré dit Djarakogantigui Dé(En Koyaka : le fils de l’homme au regard de lion). Ce maître décède le 15 janvier 1971. Samouka Dé revient à Gagnoa en 1973 chez un autre formateur appelé Bamba Lacina. A l’époque, existait un grand sage dans la cité du Fromager du nom de Naladji Fofana. Il ira à l’école de ce dernier en 1974. Fin 1976, il va poursuivre ses études à Bobo Dioulasso, au Burkina Faso, chez le très respecté el hadj Sanogo Marhaba. De retour en Côte d’Ivoire, sa carrière de prédicateur débute en 1979, à Adjamé. Elle l’a déjà conduit dans plusieurs pays du monde dont les Etats-Unis, Israël, la France, l’Egypte. C’est en 1987 qu’il quitte Adjamé pour s’installer à Yopougon-Gare, son fief. Marié à 4 épouses, il a eu 22 enfants dont deux sont décédés.
Cissé Sindou
Le fils de Samouka est né le 15 novembre 1943, à Mankono. A l’âge de 5 ans, il vient avec ses parents à Tarafesso, dans la sous-préfecture de Konahiri. Un an après, son père s’installe à Gagnoa avec sa famille. Le fils y débute ses études coraniques en 1953, chez Gaoussou Traoré. Celui-ci le ramène à Mankono chez son père à lui, le grand sage Choilio Traoré dit Djarakogantigui Dé(En Koyaka : le fils de l’homme au regard de lion). Ce maître décède le 15 janvier 1971. Samouka Dé revient à Gagnoa en 1973 chez un autre formateur appelé Bamba Lacina. A l’époque, existait un grand sage dans la cité du Fromager du nom de Naladji Fofana. Il ira à l’école de ce dernier en 1974. Fin 1976, il va poursuivre ses études à Bobo Dioulasso, au Burkina Faso, chez le très respecté el hadj Sanogo Marhaba. De retour en Côte d’Ivoire, sa carrière de prédicateur débute en 1979, à Adjamé. Elle l’a déjà conduit dans plusieurs pays du monde dont les Etats-Unis, Israël, la France, l’Egypte. C’est en 1987 qu’il quitte Adjamé pour s’installer à Yopougon-Gare, son fief. Marié à 4 épouses, il a eu 22 enfants dont deux sont décédés.
Cissé Sindou