Informateur.net - La fête de l’Aïd El Fitr a été sanglante dans une localité de Bangolo le vendredi 10 septembre dernier en Côte d’Ivoire.
Des éléments des forces de défense et de sécurité qui ont intentionnellement voulu empêcher des fidèles musulmans de sacrifier à la grande prière de ramadan dans cette localité ont provoqué un soulèvement populaire. Bilan, selon nos sources, il y’aurait plusieurs blessés parmi les Fds et la population.
En effet, tout serait parti du corridor d’une ville secondaire dont nous ignorons exactement le nom. Postées à ce corridor, les Fds auraient commencé le jeudi 9 septembre a bloqué tous les engins à deux roues (Motos et vélos), exigeant des propriétaires des montant compris entre 10 et 15 mille francs Cfa. Toutes les démanches entreprises auprès de ces éléments n’ont pas permis de décanter la situation. Et le lendemain, jour de fête alors que d’autres fidèles venaient prendre part à la prière, leurs engins ont aussi été bloqués pour les mêmes motifs. Il fallait payer pour les récupérer. C’est à pied que, toute colère contenue, les fidèles regagnent le centre ville pour sacrifier à la prière. Priorité absolue du jour. Mais après la prière, ces derniers refusent de repartir sans leurs engins.
Et face à ce qu’ils considèrent comme un abus d’autorité, ils n’ont eu d’autre choix que de se faire justice pour une fois. Dans un soulèvement populaire, selon nos sources, la population s’attaque aux éléments des Fds. Des gendarmes, nous dit-on. Dans les échauffourées qui s’en sont suivies, il y aurait eu plusieurs blessés parmi les gendarmes, qui ont fini par prendre la poudre d’escampette. Tout en promettant de revenir avec des renforts. Une information confirmée par des sources locales.
Dalima Dahoué
Des éléments des forces de défense et de sécurité qui ont intentionnellement voulu empêcher des fidèles musulmans de sacrifier à la grande prière de ramadan dans cette localité ont provoqué un soulèvement populaire. Bilan, selon nos sources, il y’aurait plusieurs blessés parmi les Fds et la population.
En effet, tout serait parti du corridor d’une ville secondaire dont nous ignorons exactement le nom. Postées à ce corridor, les Fds auraient commencé le jeudi 9 septembre a bloqué tous les engins à deux roues (Motos et vélos), exigeant des propriétaires des montant compris entre 10 et 15 mille francs Cfa. Toutes les démanches entreprises auprès de ces éléments n’ont pas permis de décanter la situation. Et le lendemain, jour de fête alors que d’autres fidèles venaient prendre part à la prière, leurs engins ont aussi été bloqués pour les mêmes motifs. Il fallait payer pour les récupérer. C’est à pied que, toute colère contenue, les fidèles regagnent le centre ville pour sacrifier à la prière. Priorité absolue du jour. Mais après la prière, ces derniers refusent de repartir sans leurs engins.
Et face à ce qu’ils considèrent comme un abus d’autorité, ils n’ont eu d’autre choix que de se faire justice pour une fois. Dans un soulèvement populaire, selon nos sources, la population s’attaque aux éléments des Fds. Des gendarmes, nous dit-on. Dans les échauffourées qui s’en sont suivies, il y aurait eu plusieurs blessés parmi les gendarmes, qui ont fini par prendre la poudre d’escampette. Tout en promettant de revenir avec des renforts. Une information confirmée par des sources locales.
Dalima Dahoué