Le constat est effrayant. Une étude faite en 2009 révèle que 12% des ménages ruraux ivoiriens souffrent d’insécurité alimentaire et de malnutrition. Et, les catégories socioprofessionnelles les plus touchées sont les travailleurs journaliers, les ménages dépendants de l’agriculture vivrière de subsistance, les éleveurs et les pêcheurs. C’est ce qu’a indiqué le représentant du ministre
de l’agriculture, Apporture Kouakou, conseiller technique chargé de la coopération, de la recherche de financement et de l’économie agricole. C’était, hier, aux Deux-Plateaux, dans les locaux de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) à l’ouverture de l’atelier sur « l’élaboration de la politique et de la planification de programmes multi?sec??toriels pour l’alimentation et la
nutrition dans la Cedeao ». Selon lui, les indicateurs du point de vue de l’insécurité alimentaire et du taux de malnutrition sont alarmants dans la plupart des pays de la Cedeao. Et, ces pays n’ont pas de stratégies et de plans adéquats pour y faire face. Et cet atelier vient à point nommé pour pallier ces insuffisances. Le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Aka Aouélé, a noté que la malnutrition représente, en grande partie, la cause principale de mortalité prématurée, de la réduction de la capacité au travail et de la performance à l’école.
A.K.
de l’agriculture, Apporture Kouakou, conseiller technique chargé de la coopération, de la recherche de financement et de l’économie agricole. C’était, hier, aux Deux-Plateaux, dans les locaux de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) à l’ouverture de l’atelier sur « l’élaboration de la politique et de la planification de programmes multi?sec??toriels pour l’alimentation et la
nutrition dans la Cedeao ». Selon lui, les indicateurs du point de vue de l’insécurité alimentaire et du taux de malnutrition sont alarmants dans la plupart des pays de la Cedeao. Et, ces pays n’ont pas de stratégies et de plans adéquats pour y faire face. Et cet atelier vient à point nommé pour pallier ces insuffisances. Le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Aka Aouélé, a noté que la malnutrition représente, en grande partie, la cause principale de mortalité prématurée, de la réduction de la capacité au travail et de la performance à l’école.
A.K.