ncontestablement, le jeune milieu offensif mimos est au top de sa forme. Avant de retrouver l’Africa, demain, dans le cadre de la 24è journée de la Ligue 1, Kouakou N’Doua Irénée prévient qu’il a une revanche à prendre sur les vert et rouge. Explications.
Auteur de cinq buts en 22 journées de Ligue 1, Kouakou N’Doua Irénée Patrick (22 ans) s’est imposé comme le chef-d’orchestre de la troupe jaune et noire. Du haut de son mètre 76 pour 63 kilos, il épate par sa belle vision de jeu mais aussi par ses frappes qui sortent son équipe de situations souvent délicates. Toujours au four et au moulin, Kouakou N’Doua Irénée est à 90 minutes d’un sacre en Ligue 1. Mais pour lui, remporter le 24è titre du club cher aux Actionnaires sans terrasser l’Africa, ressemblerait à une symphonie inachevée. Pis, il tient à régler de vieux comptes avec l’éternel rival. Les raisons : « C’est d’abord le club rival. Mais j’ai une revanche personnelle à prendre contre l’Africa. J’ai encore un goût très amer après notre élimination en Coupe nationale par cette équipe… ». Mieux, il met en garde ses coéquipiers qui ont déjà l’esprit à la fête. « Le titre n’est pas encore gagné. Il faut tout donner. Si nous battons l’Africa, demain, je serai très content », indique celui qui a eu une progression linéaire. « Oui. Je suis fier de mon parcours. J’ai commencé au centre de formation Olympique sport d’Abobo d’Amza Gamal. Par la suite, j’ai été recruté par l’Académie mimosifcom. J’ai fait la formation et j’en suis sorti en 2004. Je suis de la promotion Ya Konan Didier, Soro Bakary. Ne pouvant pas trop m’exprimer, j’étais un habitué du banc de touche. C’est cette expérience qui me permet d’être à ce niveau aujourd’hui… », rappelle le métronome de l’Asec. A 22 ans, le joueur n’est plus insensible aux appels venant
de l’extérieur. « Après mon sacre de meilleur joueur 2009, j’ai pensé partir. J’ai même eu une discussion à ce sujet avec mon président, Me Roger Ouégnin. Il m’a conseillé de rester pour m’exprimer une année de plus avec l’Asec mimosas. Là, je pense être en train de confirmer tout ce que j’ai réalisé, la saison dernière », se félicite-t-il. Y a-t-il une destination, un championnat étranger qui le fascine ? « Je suis encore jeune. Je n’ai pas de préférence. Le plus important pour moi est de jouer régulièrement. Quand c’est le cas, tu n’arrêtes pas de progresser », répond-il.
Guy-Florentin Yaméogo
Auteur de cinq buts en 22 journées de Ligue 1, Kouakou N’Doua Irénée Patrick (22 ans) s’est imposé comme le chef-d’orchestre de la troupe jaune et noire. Du haut de son mètre 76 pour 63 kilos, il épate par sa belle vision de jeu mais aussi par ses frappes qui sortent son équipe de situations souvent délicates. Toujours au four et au moulin, Kouakou N’Doua Irénée est à 90 minutes d’un sacre en Ligue 1. Mais pour lui, remporter le 24è titre du club cher aux Actionnaires sans terrasser l’Africa, ressemblerait à une symphonie inachevée. Pis, il tient à régler de vieux comptes avec l’éternel rival. Les raisons : « C’est d’abord le club rival. Mais j’ai une revanche personnelle à prendre contre l’Africa. J’ai encore un goût très amer après notre élimination en Coupe nationale par cette équipe… ». Mieux, il met en garde ses coéquipiers qui ont déjà l’esprit à la fête. « Le titre n’est pas encore gagné. Il faut tout donner. Si nous battons l’Africa, demain, je serai très content », indique celui qui a eu une progression linéaire. « Oui. Je suis fier de mon parcours. J’ai commencé au centre de formation Olympique sport d’Abobo d’Amza Gamal. Par la suite, j’ai été recruté par l’Académie mimosifcom. J’ai fait la formation et j’en suis sorti en 2004. Je suis de la promotion Ya Konan Didier, Soro Bakary. Ne pouvant pas trop m’exprimer, j’étais un habitué du banc de touche. C’est cette expérience qui me permet d’être à ce niveau aujourd’hui… », rappelle le métronome de l’Asec. A 22 ans, le joueur n’est plus insensible aux appels venant
de l’extérieur. « Après mon sacre de meilleur joueur 2009, j’ai pensé partir. J’ai même eu une discussion à ce sujet avec mon président, Me Roger Ouégnin. Il m’a conseillé de rester pour m’exprimer une année de plus avec l’Asec mimosas. Là, je pense être en train de confirmer tout ce que j’ai réalisé, la saison dernière », se félicite-t-il. Y a-t-il une destination, un championnat étranger qui le fascine ? « Je suis encore jeune. Je n’ai pas de préférence. Le plus important pour moi est de jouer régulièrement. Quand c’est le cas, tu n’arrêtes pas de progresser », répond-il.
Guy-Florentin Yaméogo