Quoi de plus naturel que de respirer. Pourtant ce simple geste mécanique cache un processus à la base de la vie. A chaque inspiration, l’air pénètre par la bouche ou le nez, direction les poumons, lieu où l’oxygène passe dans le sang.
Mais tout commence dehors, dans l’air qui nous entoure. Composé de nombreux gaz il en renferme un qui est fondamental pour notre respiration. C’est l’oxygène, qu’on désigne par son symbole chimique, O2. Quand nous inspirons, il entre dans notre corps pour un voyage complexe au terme duquel il va oxygéner notre sang. Un échange gazeux qui est à la base même de la vie. Accrochez-vous, le voyage commence !
Une fois franchies ses portes d’entrée – la bouche et le nez -, l’air entame sa descente. Il dévale dans l’ordre la trachée, les bronches, les bronchioles pour enfin se garer à l’intérieur de nos poumons, dans les alvéoles. Ce sont elles qui permettent le passage de l’oxygène dans le sang. Leur « truc » ? Des vaisseaux sanguins extrêmement petits et minces – les vaisseaux capillaires – que l’oxygène traverse sans aucun problème. Une fois dans le sang, place aux globules rouges ! D’infatigables ouvriers qui vont transporter le précieux chargement dans tout le corps.
Et à l’inverse, une fois l’oxygène libéré, les mêmes globules rouges s’emparent du gaz carbonique, le CO2, que notre corps rejette continuellement. Une simple expiration et c’est fini. Le CO2 est expulsé… et tout peut recommencer pour 26 000 autres cycles inspiration-expiration, jusqu’au prochain jour.
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Mais tout commence dehors, dans l’air qui nous entoure. Composé de nombreux gaz il en renferme un qui est fondamental pour notre respiration. C’est l’oxygène, qu’on désigne par son symbole chimique, O2. Quand nous inspirons, il entre dans notre corps pour un voyage complexe au terme duquel il va oxygéner notre sang. Un échange gazeux qui est à la base même de la vie. Accrochez-vous, le voyage commence !
Une fois franchies ses portes d’entrée – la bouche et le nez -, l’air entame sa descente. Il dévale dans l’ordre la trachée, les bronches, les bronchioles pour enfin se garer à l’intérieur de nos poumons, dans les alvéoles. Ce sont elles qui permettent le passage de l’oxygène dans le sang. Leur « truc » ? Des vaisseaux sanguins extrêmement petits et minces – les vaisseaux capillaires – que l’oxygène traverse sans aucun problème. Une fois dans le sang, place aux globules rouges ! D’infatigables ouvriers qui vont transporter le précieux chargement dans tout le corps.
Et à l’inverse, une fois l’oxygène libéré, les mêmes globules rouges s’emparent du gaz carbonique, le CO2, que notre corps rejette continuellement. Une simple expiration et c’est fini. Le CO2 est expulsé… et tout peut recommencer pour 26 000 autres cycles inspiration-expiration, jusqu’au prochain jour.
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