Le Président du conseil d’administration de l’Asec Mimosas, l’Avocat, Me Roger Ouégnin veut se porter encore candidat pour un nouveau bail en mars 2011, à l’occasion de l’assemblée générale élective du club jaune et noir. Et pourtant…
Plus de deux décennies que Me Roger Ouégnin préside aux destinées de l’Asec Mimosas. De décembre 1989 jusqu’à ce jour, l’Avocat-président aura tout gagné avec l’Asec Mimosas. C’est sous sa houlette que les Actionnaires ont pu offrir un antre digne à leur club, Sol Béni, sis à la Riviera M’pouto. Au niveau des résultats sportifs, l’Asec Mimosas n’a pas de concurrents au plan local : 24 titres de champion de Côte d’Ivoire dont 17 sous l’ère Ouégnin, une super coupe d’Afrique et une Champion’s League. La Confédération africaine de football a même récompensé Me Roger Ouégnin pour avoir construit un modèle de club moderne en Afrique subsaharienne. Le président de la FIF, Jacques Anouma a d’ailleurs copié l’exemple de l’Asec Mimosas en se dotant des infrastructures sportives à Bingerville grâce au projet FIFA goal. Me Roger Ouégnin est cité en exemple en Eburnie pour avoir redoré le blason de l’Asec Mimosas et surtout pour avoir révélé les Académiciens qui constituent le pilier des Eléphants depuis 10 ans, aujourd’hui. Bref, Me Roger Ouégnin est une icône du football ivoirien. A-t-il désormais une autre vision pour l’Asec Mimosas après tant d’efforts ? En tout cas, des Actionnaires croient dur comme fer que leur mentor n’a plus d’idées novatrices pour l’Asec Mimosas. Les résultats du club après la super coupe d’Afrique remportée en 1999, l’attestent bien. L’Asec Mimosas ne plaît plus aux supporters jaune et noir. L’Académie Mimosifcom ne révèle plus de joueurs talentueux depuis le départ de Jean-Marc Guillou. Et tout cela est à mettre à l’actif de Me Roger Ouégnin qui ne sait plus où s’orienter. L’Asec Mimosas a désormais un patrimoine, des sponsors etc. mais les résultats laissent à désirer. Ne faut-il pas du sang neuf ?
La FIF taillée sur mesure pour Ouégnin
« Si Me Roger Ouégnin se présente, c’est sûr que je renoncerai à être candidat à la présidence de la FIF ». Ces propos sont d’un président de club présenté comme un potentiel successeur à Jacques Anouma. Il n’a pas tort, dans le milieu, nombreux sont les acteurs qui voient bien le patron de l’Asec prendre le contrôle de la FIF. « Il a longtemps dirigé la FIF dans l’ombre de par sa position de poids lourd du football ivoirien, il est temps qu’il se porte candidat dans la mesure où Jacques Anouma veut se retirer. Je crois que c’est son hésitation qui poussera Anouma à poursuivre l’aventure », note un observateur averti. Me Roger Ouégnin était le cerveau d’un mouvement de présidents de clubs en février 2010. Ce mouvement qui avait réussi à rassembler les deux clans de structures de présidents de clubs existants en Côte d’Ivoire, a menacé Jacques Anouma en ces termes : « Nous allons reprendre les choses en mains ! Nous avons trop dormi…». Une sortie que d’aucuns avaient vu comme l’annonce de la candidature de Me Roger Ouégnin à la prochaine échéance électorale de la FIF. Que nenni ! Ouégnin ne tient qu’à l’Asec Mimosas. Après 21 ans de présence, il compte poursuivre l’aventure. N’en déplaisent aux Actionnaires et à certains sportifs ivoiriens. Pour tout dire, la FIF n’a jamais intéressé Roger Ouégnin. Il préfère s’accrocher à l’Asec Mimosas qui est devenue sa propriété privée par manque d’opposants crédibles.
Annoncia Sehoué
Plus de deux décennies que Me Roger Ouégnin préside aux destinées de l’Asec Mimosas. De décembre 1989 jusqu’à ce jour, l’Avocat-président aura tout gagné avec l’Asec Mimosas. C’est sous sa houlette que les Actionnaires ont pu offrir un antre digne à leur club, Sol Béni, sis à la Riviera M’pouto. Au niveau des résultats sportifs, l’Asec Mimosas n’a pas de concurrents au plan local : 24 titres de champion de Côte d’Ivoire dont 17 sous l’ère Ouégnin, une super coupe d’Afrique et une Champion’s League. La Confédération africaine de football a même récompensé Me Roger Ouégnin pour avoir construit un modèle de club moderne en Afrique subsaharienne. Le président de la FIF, Jacques Anouma a d’ailleurs copié l’exemple de l’Asec Mimosas en se dotant des infrastructures sportives à Bingerville grâce au projet FIFA goal. Me Roger Ouégnin est cité en exemple en Eburnie pour avoir redoré le blason de l’Asec Mimosas et surtout pour avoir révélé les Académiciens qui constituent le pilier des Eléphants depuis 10 ans, aujourd’hui. Bref, Me Roger Ouégnin est une icône du football ivoirien. A-t-il désormais une autre vision pour l’Asec Mimosas après tant d’efforts ? En tout cas, des Actionnaires croient dur comme fer que leur mentor n’a plus d’idées novatrices pour l’Asec Mimosas. Les résultats du club après la super coupe d’Afrique remportée en 1999, l’attestent bien. L’Asec Mimosas ne plaît plus aux supporters jaune et noir. L’Académie Mimosifcom ne révèle plus de joueurs talentueux depuis le départ de Jean-Marc Guillou. Et tout cela est à mettre à l’actif de Me Roger Ouégnin qui ne sait plus où s’orienter. L’Asec Mimosas a désormais un patrimoine, des sponsors etc. mais les résultats laissent à désirer. Ne faut-il pas du sang neuf ?
La FIF taillée sur mesure pour Ouégnin
« Si Me Roger Ouégnin se présente, c’est sûr que je renoncerai à être candidat à la présidence de la FIF ». Ces propos sont d’un président de club présenté comme un potentiel successeur à Jacques Anouma. Il n’a pas tort, dans le milieu, nombreux sont les acteurs qui voient bien le patron de l’Asec prendre le contrôle de la FIF. « Il a longtemps dirigé la FIF dans l’ombre de par sa position de poids lourd du football ivoirien, il est temps qu’il se porte candidat dans la mesure où Jacques Anouma veut se retirer. Je crois que c’est son hésitation qui poussera Anouma à poursuivre l’aventure », note un observateur averti. Me Roger Ouégnin était le cerveau d’un mouvement de présidents de clubs en février 2010. Ce mouvement qui avait réussi à rassembler les deux clans de structures de présidents de clubs existants en Côte d’Ivoire, a menacé Jacques Anouma en ces termes : « Nous allons reprendre les choses en mains ! Nous avons trop dormi…». Une sortie que d’aucuns avaient vu comme l’annonce de la candidature de Me Roger Ouégnin à la prochaine échéance électorale de la FIF. Que nenni ! Ouégnin ne tient qu’à l’Asec Mimosas. Après 21 ans de présence, il compte poursuivre l’aventure. N’en déplaisent aux Actionnaires et à certains sportifs ivoiriens. Pour tout dire, la FIF n’a jamais intéressé Roger Ouégnin. Il préfère s’accrocher à l’Asec Mimosas qui est devenue sa propriété privée par manque d’opposants crédibles.
Annoncia Sehoué