OUI
Le président de la fédération ivoirienne de football, Jacques Anouma, n’est pas content du travail effectué par Yéo Martial, l’actuel Directeur technique national. Depuis quelques semaines, il ne rate pas l’occasion de désavouer l’ancien entraîneur des Eléphants, vainqueur de la Coupe d’Afrique des nations en 1992, au Sénégal. Il a même confié la reforme de cette structure au président
de l’Asec, Me Roger Ouégnin. Il a aussi confié à Sangaré Mohammadou, la mise sur
pied d’un projet pilote pour la relance du football de jeunes. Or, l’organisation du football des jeunes est du ressort de la DTN. Les actes posés par le patron du football ivoirien traduisent bien l’échec de la DTN, si on reste dans la logique de JA. Alors qu’il prenne ses responsabilités en démettant
Yéo Martial de ses fonctions, au lieu de chercher à ternir l’image de l’entraîneur le plus titré de Côte d’Ivoire. Yéo, c’est une Can, une Coupe d’Afrique des vainqueurs de coupe et deux titres de champions de Côte d’Ivoire avec l’Africa Sports. Il est temps, qu’Anouma décide. Si Yéo Martial a vraiment échoué, il doit partir.
Choilio Diomandé
NON
Il faut dépassionner le débat. Ces derniers jours, Yéo Martial, N’Guessan Clément, Gbonké Tia Martin, Kaé Oulaï Gabriel, Timité Vassouleymane et autres Kouadio Georges, membres de la direction technique nationale (DTN) depuis 2004 sont sous les feux de l’actualité. Et certaines mauvaises langues exigent leur départ. Pis, la dissolution de la structure qu’ils s’échinent à porter à bout de bras, est souhaitée. Que voulons-nous réellement ou du moins, que reprochons-nous à ces grands noms du football ivoirien ? Reconnue comme l’une des meilleures DTN en Afrique, sinon la meilleure, par la CAF, elle a déjà fait beaucoup pour notre football. Classification des centres de formation, stages de recyclage des arbitres ou des entraîneurs (amateurs ou confirmés) et autres formations théoriques sont de leur fait. Certes, il y a encore du travail à
réaliser. Mais de grâce, laissons-les achever leur mission. Dans un climat apaisé. La question que nous devons nous poser est de savoir si Jacques Anouma avait confié une feuille de route claire à la DTN. Si oui, laquelle ?
Guy-Florentin Yaméogo
Le président de la fédération ivoirienne de football, Jacques Anouma, n’est pas content du travail effectué par Yéo Martial, l’actuel Directeur technique national. Depuis quelques semaines, il ne rate pas l’occasion de désavouer l’ancien entraîneur des Eléphants, vainqueur de la Coupe d’Afrique des nations en 1992, au Sénégal. Il a même confié la reforme de cette structure au président
de l’Asec, Me Roger Ouégnin. Il a aussi confié à Sangaré Mohammadou, la mise sur
pied d’un projet pilote pour la relance du football de jeunes. Or, l’organisation du football des jeunes est du ressort de la DTN. Les actes posés par le patron du football ivoirien traduisent bien l’échec de la DTN, si on reste dans la logique de JA. Alors qu’il prenne ses responsabilités en démettant
Yéo Martial de ses fonctions, au lieu de chercher à ternir l’image de l’entraîneur le plus titré de Côte d’Ivoire. Yéo, c’est une Can, une Coupe d’Afrique des vainqueurs de coupe et deux titres de champions de Côte d’Ivoire avec l’Africa Sports. Il est temps, qu’Anouma décide. Si Yéo Martial a vraiment échoué, il doit partir.
Choilio Diomandé
NON
Il faut dépassionner le débat. Ces derniers jours, Yéo Martial, N’Guessan Clément, Gbonké Tia Martin, Kaé Oulaï Gabriel, Timité Vassouleymane et autres Kouadio Georges, membres de la direction technique nationale (DTN) depuis 2004 sont sous les feux de l’actualité. Et certaines mauvaises langues exigent leur départ. Pis, la dissolution de la structure qu’ils s’échinent à porter à bout de bras, est souhaitée. Que voulons-nous réellement ou du moins, que reprochons-nous à ces grands noms du football ivoirien ? Reconnue comme l’une des meilleures DTN en Afrique, sinon la meilleure, par la CAF, elle a déjà fait beaucoup pour notre football. Classification des centres de formation, stages de recyclage des arbitres ou des entraîneurs (amateurs ou confirmés) et autres formations théoriques sont de leur fait. Certes, il y a encore du travail à
réaliser. Mais de grâce, laissons-les achever leur mission. Dans un climat apaisé. La question que nous devons nous poser est de savoir si Jacques Anouma avait confié une feuille de route claire à la DTN. Si oui, laquelle ?
Guy-Florentin Yaméogo
