Abidjan – L’Agence de Médecine Préventive (AMP), l’Institut National d’Hygiène Publique (INHP) et l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire (IPCI), ont annoncé ce jour le lancement à Abidjan d’un laboratoire mobile de microbiologie (LaboMobil©) pour renforcer la surveillance des maladies à potentiel épidémique et la veille sanitaire en Côte d’Ivoire.
Ce laboratoire mobile est un véhicule tout terrain doté d’équipements de laboratoire (hotte à flux laminaire, étuve, centrifugeuse, réfrigérateur, microscope à fluorescence). Il dispose aussi d’une autonomie en énergie et en eau. C’est un outil complémentaire des laboratoires de référence apportant un appui capital dans la surveillance microbiologique des maladies à potentiel épidémique telles que le choléra ou les méningites bactériennes aiguës.
Ce laboratoire de microbiologie permet, par sa mobilité, l’identification rapide et fiable des germes responsables des alertes épidémiques. En allant sur les foyers suspects, y compris dans les districts difficiles d’accès, il permet de faire un diagnostic biologique sur site pour confirmer le diagnostic épidémiologique et réduire ainsi les délais de mise en œuvre par les autorités sanitaires d’actions rapides, appropriées et efficaces de riposte aux épidémies (campagnes de vaccination réactives, mesures préventives, prise en charge adéquate des malades, etc.).
Le Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique (MSHP) de Côte d’Ivoire ayant manifesté auprès de l’AMP son intérêt de disposer d’un tel outil, cette dernière s’est associée avec l’INHP et l’IPCI pour déployer et gérer un premier laboratoire mobile dans le pays. Ce projet collaboratif, intitulé « Appui à l’investigation et à la surveillance épidémiologique en Côte d’Ivoire » a pour objectifs de :
1. Assurer un diagnostic rapide et précis des causes des alertes épidémiques tout en renforçant les capacités des techniciens des laboratoires des districts sanitaires, par leur formation, leur recyclage et leur supervision formative en matière de prélèvement, conditionnement, transport et analyse biologique des spécimens.
2. Contribuer à la recherche-action sur les maladies à potentiel épidémique par la réalisation d’études épidémiologiques et microbiologiques en conditions de terrain.
Ce laboratoire mobile conçu par l’AMP et assemblé en Allemagne par la société Robel®, est le troisième prototype mis au point et exploité par l’AMP en Afrique de l’Ouest après ceux actuellement utilisés au Burkina Faso mis en service en 2003 et 2005.
Ce projet consolide la coopération entre la Côte d’Ivoire et l’AMP initiée en 1972 avec le Président Auguste Denise, rénovée à Yamoussoukro en 1994 lors du 4e Séminaire international sur les vaccinations en Afrique (SIVA) et en 1995, avec le Cours d’Épidémiologie et de Gestion des Programmes de Santé (EPIGEPS) pour les médecins de districts. Cette coopération s’est traduite depuis 1997 par une collaboration étroite avec l’INHP dans les campagnes de vaccinations préventives contre la fièvre jaune et les méningites et l’enseignement de l’épidémiologie de terrain en Afrique. En 2000, l’AMP a ouvert à Abidjan, un bureau régional pour développer en partenariat avec le Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique, l’INHP, l’IPCI, le Centre national de transfusion sanguine (CNTS) et l’Université de Cocody-Abidjan, des projets de portée internationale :
* Entre 2001 et 2003, l’AMP a coordonné une étude sur la vaccination contre l’hépatite B à Abidjan afin de proposer un calendrier vaccinal optimal.
* Depuis 2002 une soixantaine de médecins ivoiriens ont suivi la formation-action EPIVAC© : un mastère en vaccinologie et gestion des services de santé. Ce programme est mis en œuvre par l’AMP en partenariat avec les gouvernements des pays bénéficiaires, les universités de Cocody-Abidjan et de Paris-Dauphine (France), en collaboration avec l’OMS, l’UNICEF, GAVI, le Ministère Français des Affaires Etrangère, l’industrie du vaccin (Sanofi Pasteur), ainsi que d’autres partenaires de la vaccination en Afrique. Le réseau international EPIVAC (RIE), réseau de professionnels formés par EPIVAC© ou œuvrant en Afrique dans le domaine de l’épidémiologie et la vaccination, s’est créé dans le cadre de ce programme. En 2009, une branche nationale du réseau EPIVAC a été créée en Côte d’Ivoire.
* Enfin, avec le soutien de l’Initiative « SIVAC » mise en œuvre par l’AMP, la Côte d’Ivoire a procédé en janvier 2010 à l’installation officielle du « Comité National d'Experts Indépendants pour la Vaccination et les Vaccins de la Côte d'Ivoire » (CNEIV-CI), devenant ainsi, le premier pays africain éligible à GAVI à se doter d’un Groupe Technique Consultatif pour la Vaccination (GTCV).
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A propos de l’Agence de Médecine Préventive (AMP) – Fondée en 1972, l’AMP est une organisation à but non lucratif dont le siège social est situé à l’Institut Pasteur de Paris et qui a des bureaux au Bénin, au Burkina Faso, en Côte d'Ivoire, au Togo et au Vietnam. Sa mission est de promouvoir la prévention des maladies infectieuses et la qualité des services de santé publique par la recherche en vaccinologie sur le terrain, le renforcement des services de vaccination, l’appui au développement de politiques de santé et de plaidoyer et le développement des ressources humaines pour la santé. Présente en Afrique dès son origine et œuvrant maintenant sur tous les continents, l’AMP a bâti un solide partenariat avec les pays où elle mène ses actions, les institutions régionales inter-états, les organisations internationales, les institutions académiques et le secteur privé.
Pour en savoir plus : www.aamp.org
A propos de l’Institut National d’Hygiène Publique (INHP) – Créé par le décret N° 91-656 du 9 octobre 1991, l’INHP est un Etablissement Public National (EPN) à caractère administratif. Conformément à l’article 3 du décret de sa création, les missions qui lui sont assignées sont les suivantes :
§ l’application de la politique sanitaire nationale en matière d’hygiène générale ;
§ la prophylaxie et le contrôle des endémies transmissibles, bactériennes, virales et parasitaires ;
§ la direction technique nationale du Programme Elargi de Vaccination;
§ la réalisation d’activités d’enseignement et de recherche.
En application de la 2ème mission, il assure la coordination de la surveillance intégrée des maladies et la riposte au niveau national et le rôle de point focal du Règlement sanitaire international (RSI) en Côte d’Ivoire.
Pour en savoir plus : www.inhp.ci
A propos de l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire (IPCI) – Créé par la loi N° 72-511 du 27 juillet 1972, l’IPCI est selon le décret N°91-645 du 9 octobre 1991, un Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial (EPIC). Dans le cadre de la lutte contre les maladies transmissibles, l’IPCI abrite les centres nationaux de référence (CNR) qui ont pour missions (arrêté inter ministériel N°393 du 21 juin 2006) :
§ l’expertise de la biologie des agents infectieux ;
§ la contribution à la surveillance épidémiologique ;
§ l’alerte pour l’information immédiate du Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche (MESRS) et du MSHP de toute constatation pouvant avoir des répercussions sur l’état sanitaire de la population ;
§ la veille microbiologique concernant les agents infectieux ;
§ la conservation et contingence des agents infectieux ;
* les conseils aux pouvoirs publics et aux professionnels de la santé en la matière.
Pour en savoir plus : www.pasteur-international.org
À propos d’EPIVAC© – Initié en 2002 au titre d’une contribution de Sanofi Pasteur à l’Alliance GAVI, EPIVAC© est une formation professionnelle diplômante et un programme de renforcement des capacités en vaccinologie pratique et gestion des services de santé pour des médecins chefs de district. Conçu et mis en œuvre par l’AMP, ce programme associe universités, organisations internationales, pays bénéficiaires, industrie du vaccin et coopérations bilatérales dans un partenariat public privé institutionnel et universitaire en appui au renforcement des vaccinations dans les pays éligibles à GAVI. L’objectif est d’optimiser les performances des programmes de vaccination en renforçant les capacités techniques et managériales de 50 médecins chefs de districts chaque année et en apportant un appui technique aux pays.
Pour en savoir plus : www.epivac.org
À propos du Réseau International EPIVAC (RIE) – Créé en 2007, le RIE concourt à l’amélioration des performances des programmes de vaccination des pays d’Afrique éligibles à GAVI par le maillage des compétences générées par EPIVAC©. Les 250 membres comprennent des anciens du programme ainsi que des experts en santé publique, vaccination et gestion des systèmes de santé. Les missions principales du réseau sont : apporter un appui technique aux pays éligibles à GAVI ; mobiliser des ressources à travers le plaidoyer et la collecte de fonds ; promouvoir la recherche opérationnelle et la communication scientifique ; proposer de la formation continue à ses membres.
Pour en savoir plus : www.rie.epivac.org
À propos de SIVAC – Fondée en 2008, l’Initiative SIVAC (Supporting Independent Immunization and Vaccine Advisory Committees) a pour but de renforcer l’usage de l’information factuelle dans les processus d’élaboration des politiques et programmes nationaux de vaccination. La réalisation de cet objectif passe par l’établissement ou le renforcement de Groupes Techniques Consultatifs pour la Vaccination (GTCV). SIVAC intervient dans les pays éligibles à l’appui GAVI et ceux à revenus intermédiaires dans toutes les régions de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), exceptées les Amériques. Mise en œuvre par l’AMP en collaboration avec l’International Vaccine Institute (IVI), basé à Séoul, Corée du Sud, l’Initiative SIVAC est financée par une généreuse subvention de la Fondation Bill et Melinda Gates.
Pour en savoir plus : www.sivacinitiative.org
Source : Agence de Médecine Préventive (AMP)
Contact : Sabrina Gaber, AMP, Tél : +33(0)1-5386-8924, sgaber@aamp.org
Site internet : www.aamp.org
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine au nom de l’Agence de Médecine Préventive (AMP)
Ce laboratoire mobile est un véhicule tout terrain doté d’équipements de laboratoire (hotte à flux laminaire, étuve, centrifugeuse, réfrigérateur, microscope à fluorescence). Il dispose aussi d’une autonomie en énergie et en eau. C’est un outil complémentaire des laboratoires de référence apportant un appui capital dans la surveillance microbiologique des maladies à potentiel épidémique telles que le choléra ou les méningites bactériennes aiguës.
Ce laboratoire de microbiologie permet, par sa mobilité, l’identification rapide et fiable des germes responsables des alertes épidémiques. En allant sur les foyers suspects, y compris dans les districts difficiles d’accès, il permet de faire un diagnostic biologique sur site pour confirmer le diagnostic épidémiologique et réduire ainsi les délais de mise en œuvre par les autorités sanitaires d’actions rapides, appropriées et efficaces de riposte aux épidémies (campagnes de vaccination réactives, mesures préventives, prise en charge adéquate des malades, etc.).
Le Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique (MSHP) de Côte d’Ivoire ayant manifesté auprès de l’AMP son intérêt de disposer d’un tel outil, cette dernière s’est associée avec l’INHP et l’IPCI pour déployer et gérer un premier laboratoire mobile dans le pays. Ce projet collaboratif, intitulé « Appui à l’investigation et à la surveillance épidémiologique en Côte d’Ivoire » a pour objectifs de :
1. Assurer un diagnostic rapide et précis des causes des alertes épidémiques tout en renforçant les capacités des techniciens des laboratoires des districts sanitaires, par leur formation, leur recyclage et leur supervision formative en matière de prélèvement, conditionnement, transport et analyse biologique des spécimens.
2. Contribuer à la recherche-action sur les maladies à potentiel épidémique par la réalisation d’études épidémiologiques et microbiologiques en conditions de terrain.
Ce laboratoire mobile conçu par l’AMP et assemblé en Allemagne par la société Robel®, est le troisième prototype mis au point et exploité par l’AMP en Afrique de l’Ouest après ceux actuellement utilisés au Burkina Faso mis en service en 2003 et 2005.
Ce projet consolide la coopération entre la Côte d’Ivoire et l’AMP initiée en 1972 avec le Président Auguste Denise, rénovée à Yamoussoukro en 1994 lors du 4e Séminaire international sur les vaccinations en Afrique (SIVA) et en 1995, avec le Cours d’Épidémiologie et de Gestion des Programmes de Santé (EPIGEPS) pour les médecins de districts. Cette coopération s’est traduite depuis 1997 par une collaboration étroite avec l’INHP dans les campagnes de vaccinations préventives contre la fièvre jaune et les méningites et l’enseignement de l’épidémiologie de terrain en Afrique. En 2000, l’AMP a ouvert à Abidjan, un bureau régional pour développer en partenariat avec le Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique, l’INHP, l’IPCI, le Centre national de transfusion sanguine (CNTS) et l’Université de Cocody-Abidjan, des projets de portée internationale :
* Entre 2001 et 2003, l’AMP a coordonné une étude sur la vaccination contre l’hépatite B à Abidjan afin de proposer un calendrier vaccinal optimal.
* Depuis 2002 une soixantaine de médecins ivoiriens ont suivi la formation-action EPIVAC© : un mastère en vaccinologie et gestion des services de santé. Ce programme est mis en œuvre par l’AMP en partenariat avec les gouvernements des pays bénéficiaires, les universités de Cocody-Abidjan et de Paris-Dauphine (France), en collaboration avec l’OMS, l’UNICEF, GAVI, le Ministère Français des Affaires Etrangère, l’industrie du vaccin (Sanofi Pasteur), ainsi que d’autres partenaires de la vaccination en Afrique. Le réseau international EPIVAC (RIE), réseau de professionnels formés par EPIVAC© ou œuvrant en Afrique dans le domaine de l’épidémiologie et la vaccination, s’est créé dans le cadre de ce programme. En 2009, une branche nationale du réseau EPIVAC a été créée en Côte d’Ivoire.
* Enfin, avec le soutien de l’Initiative « SIVAC » mise en œuvre par l’AMP, la Côte d’Ivoire a procédé en janvier 2010 à l’installation officielle du « Comité National d'Experts Indépendants pour la Vaccination et les Vaccins de la Côte d'Ivoire » (CNEIV-CI), devenant ainsi, le premier pays africain éligible à GAVI à se doter d’un Groupe Technique Consultatif pour la Vaccination (GTCV).
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A propos de l’Agence de Médecine Préventive (AMP) – Fondée en 1972, l’AMP est une organisation à but non lucratif dont le siège social est situé à l’Institut Pasteur de Paris et qui a des bureaux au Bénin, au Burkina Faso, en Côte d'Ivoire, au Togo et au Vietnam. Sa mission est de promouvoir la prévention des maladies infectieuses et la qualité des services de santé publique par la recherche en vaccinologie sur le terrain, le renforcement des services de vaccination, l’appui au développement de politiques de santé et de plaidoyer et le développement des ressources humaines pour la santé. Présente en Afrique dès son origine et œuvrant maintenant sur tous les continents, l’AMP a bâti un solide partenariat avec les pays où elle mène ses actions, les institutions régionales inter-états, les organisations internationales, les institutions académiques et le secteur privé.
Pour en savoir plus : www.aamp.org
A propos de l’Institut National d’Hygiène Publique (INHP) – Créé par le décret N° 91-656 du 9 octobre 1991, l’INHP est un Etablissement Public National (EPN) à caractère administratif. Conformément à l’article 3 du décret de sa création, les missions qui lui sont assignées sont les suivantes :
§ l’application de la politique sanitaire nationale en matière d’hygiène générale ;
§ la prophylaxie et le contrôle des endémies transmissibles, bactériennes, virales et parasitaires ;
§ la direction technique nationale du Programme Elargi de Vaccination;
§ la réalisation d’activités d’enseignement et de recherche.
En application de la 2ème mission, il assure la coordination de la surveillance intégrée des maladies et la riposte au niveau national et le rôle de point focal du Règlement sanitaire international (RSI) en Côte d’Ivoire.
Pour en savoir plus : www.inhp.ci
A propos de l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire (IPCI) – Créé par la loi N° 72-511 du 27 juillet 1972, l’IPCI est selon le décret N°91-645 du 9 octobre 1991, un Etablissement Public à caractère Industriel et Commercial (EPIC). Dans le cadre de la lutte contre les maladies transmissibles, l’IPCI abrite les centres nationaux de référence (CNR) qui ont pour missions (arrêté inter ministériel N°393 du 21 juin 2006) :
§ l’expertise de la biologie des agents infectieux ;
§ la contribution à la surveillance épidémiologique ;
§ l’alerte pour l’information immédiate du Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche (MESRS) et du MSHP de toute constatation pouvant avoir des répercussions sur l’état sanitaire de la population ;
§ la veille microbiologique concernant les agents infectieux ;
§ la conservation et contingence des agents infectieux ;
* les conseils aux pouvoirs publics et aux professionnels de la santé en la matière.
Pour en savoir plus : www.pasteur-international.org
À propos d’EPIVAC© – Initié en 2002 au titre d’une contribution de Sanofi Pasteur à l’Alliance GAVI, EPIVAC© est une formation professionnelle diplômante et un programme de renforcement des capacités en vaccinologie pratique et gestion des services de santé pour des médecins chefs de district. Conçu et mis en œuvre par l’AMP, ce programme associe universités, organisations internationales, pays bénéficiaires, industrie du vaccin et coopérations bilatérales dans un partenariat public privé institutionnel et universitaire en appui au renforcement des vaccinations dans les pays éligibles à GAVI. L’objectif est d’optimiser les performances des programmes de vaccination en renforçant les capacités techniques et managériales de 50 médecins chefs de districts chaque année et en apportant un appui technique aux pays.
Pour en savoir plus : www.epivac.org
À propos du Réseau International EPIVAC (RIE) – Créé en 2007, le RIE concourt à l’amélioration des performances des programmes de vaccination des pays d’Afrique éligibles à GAVI par le maillage des compétences générées par EPIVAC©. Les 250 membres comprennent des anciens du programme ainsi que des experts en santé publique, vaccination et gestion des systèmes de santé. Les missions principales du réseau sont : apporter un appui technique aux pays éligibles à GAVI ; mobiliser des ressources à travers le plaidoyer et la collecte de fonds ; promouvoir la recherche opérationnelle et la communication scientifique ; proposer de la formation continue à ses membres.
Pour en savoir plus : www.rie.epivac.org
À propos de SIVAC – Fondée en 2008, l’Initiative SIVAC (Supporting Independent Immunization and Vaccine Advisory Committees) a pour but de renforcer l’usage de l’information factuelle dans les processus d’élaboration des politiques et programmes nationaux de vaccination. La réalisation de cet objectif passe par l’établissement ou le renforcement de Groupes Techniques Consultatifs pour la Vaccination (GTCV). SIVAC intervient dans les pays éligibles à l’appui GAVI et ceux à revenus intermédiaires dans toutes les régions de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), exceptées les Amériques. Mise en œuvre par l’AMP en collaboration avec l’International Vaccine Institute (IVI), basé à Séoul, Corée du Sud, l’Initiative SIVAC est financée par une généreuse subvention de la Fondation Bill et Melinda Gates.
Pour en savoir plus : www.sivacinitiative.org
Source : Agence de Médecine Préventive (AMP)
Contact : Sabrina Gaber, AMP, Tél : +33(0)1-5386-8924, sgaber@aamp.org
Site internet : www.aamp.org
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine au nom de l’Agence de Médecine Préventive (AMP)
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