Le 31 octobre, les Ivoiriens ont des raisons sérieuses, objectives, logiques, voire dialectiques, d’élire Alassane Ouattara comme Président de la République.
Je le dis parce que, beaucoup ne s’en rendent pas compte, mais le président du RDR est vraiment une chance pour notre pays.
Premièrement, nous sommes sur le point de sortir d’une grave crise sociopolitique, qui a mis rudement à mal la cohésion de notre nation. Et ce lourd préjudice à nous causé, tout le monde le sait, a pris sa source dans une dérive identitaire dont l’unique cible était Alassane Ouattara. On a voulu coute que coute l’écarter du débat politique de son propre pays, parce qu’on avait peur qu’il cristallise les espoirs d’un peuple qui venait de perdre son plus illustre dignitaire : Houphouët-Boigny. Celui-là même qui, justement, avait placé en Ouattara tout son capital de confiance en lui faisant appel pour sauver le pays. Or aujourd’hui, tout le monde – y compris ceux qui avait passé une grande partie de leur vie à le vilipender – pleure Houphouët ainsi que la ruine de l’immense œuvre qu’il a laissée. Pourquoi donc chercher midi à quatorze heures pour remettre au gout du jour cette confiance d’Houphouët en Ouattara ? Au lieu de pleurer Houphouët, pourquoi ne pas applaudir l’homme en qui il avait le plus confiance pour consolider son œuvre ?
Deuxièmement, la crise en question, mais surtout l’impuissance – j’allais dire l’incapacité notoire – de ceux qui devaient la résorber, a plongé le pays dans un gouffre socioéconomique jamais atteint auparavant. Pourquoi donc hésite-t-on à le confier à l’homme qu’il faut à la place qu’il faut ? Un homme qui a fait toutes ses preuves en matière de redressement de ce type. Pourquoi ne pas confier ce pays à l’économiste de renommée mondiale qui avait déjà sauvé ce pays et bien d’autres à travers la planète ?
Troisièmement, cette même crise a créé des divisions sociales telles que seul un homme de paix comme Houphouët peut désamorcer. Or, y a-t-il homme plus enclin à le faire que Ouattara en Côte d’Ivoire, lui qui a tant souffert le martyre et qui a fait montre d’un dépassement de soi sans commune mesure à l’égard de ceux qui lui ont causé ce tort ?
Je crois que les gens doivent réfléchir suffisamment. La chance, il faut pouvoir (et savoir) la saisir. C’est une denrée trop rare dans nos pays africains en proie à de sérieux problèmes de développement, dus justement à de petits états d’âme qui retardent notre continent. On ne tergiverse pas avec une perle comme Ouattara.l
Je le dis parce que, beaucoup ne s’en rendent pas compte, mais le président du RDR est vraiment une chance pour notre pays.
Premièrement, nous sommes sur le point de sortir d’une grave crise sociopolitique, qui a mis rudement à mal la cohésion de notre nation. Et ce lourd préjudice à nous causé, tout le monde le sait, a pris sa source dans une dérive identitaire dont l’unique cible était Alassane Ouattara. On a voulu coute que coute l’écarter du débat politique de son propre pays, parce qu’on avait peur qu’il cristallise les espoirs d’un peuple qui venait de perdre son plus illustre dignitaire : Houphouët-Boigny. Celui-là même qui, justement, avait placé en Ouattara tout son capital de confiance en lui faisant appel pour sauver le pays. Or aujourd’hui, tout le monde – y compris ceux qui avait passé une grande partie de leur vie à le vilipender – pleure Houphouët ainsi que la ruine de l’immense œuvre qu’il a laissée. Pourquoi donc chercher midi à quatorze heures pour remettre au gout du jour cette confiance d’Houphouët en Ouattara ? Au lieu de pleurer Houphouët, pourquoi ne pas applaudir l’homme en qui il avait le plus confiance pour consolider son œuvre ?
Deuxièmement, la crise en question, mais surtout l’impuissance – j’allais dire l’incapacité notoire – de ceux qui devaient la résorber, a plongé le pays dans un gouffre socioéconomique jamais atteint auparavant. Pourquoi donc hésite-t-on à le confier à l’homme qu’il faut à la place qu’il faut ? Un homme qui a fait toutes ses preuves en matière de redressement de ce type. Pourquoi ne pas confier ce pays à l’économiste de renommée mondiale qui avait déjà sauvé ce pays et bien d’autres à travers la planète ?
Troisièmement, cette même crise a créé des divisions sociales telles que seul un homme de paix comme Houphouët peut désamorcer. Or, y a-t-il homme plus enclin à le faire que Ouattara en Côte d’Ivoire, lui qui a tant souffert le martyre et qui a fait montre d’un dépassement de soi sans commune mesure à l’égard de ceux qui lui ont causé ce tort ?
Je crois que les gens doivent réfléchir suffisamment. La chance, il faut pouvoir (et savoir) la saisir. C’est une denrée trop rare dans nos pays africains en proie à de sérieux problèmes de développement, dus justement à de petits états d’âme qui retardent notre continent. On ne tergiverse pas avec une perle comme Ouattara.l