Au cours d’un point de presse qu’il a animé, hier, Diabaté Bachir le président de Bingerville s’est dit prêt à aller jusqu’au bout dans le conflit qui oppose son club à Man FC.
Ça devient grave. Trop grave ! L’allure que prend l’affaire Bingerville-Man FC donne des sueurs froides dans le dos. Hier, dans un hôtel à Cocody, le président de l’Entente sportive de Bingerville, Diabaté Bachir, a fait de graves révélations. Suivons-le. «Je reçois des messages de menace depuis ma victoire sur tapis vert qui permet à mon club de revenir en Ligue 1 au détriment d’Adzopé FC. Je ne parle même pas des appels anonymes. Je prends l’exemple de ce message d’Eric Monnet (dirigeant d’Adzopé FC) datant du 15 octobre à 18h13 mn. «Président. Tu as commencé. Je vais terminer car les conséquences pour le football ivoirien seront graves…». Entouré de ses vice-présidents, Barthélémy N’Dri, Me Kouyaté Lamine et de son secrétaire général, Diabaté Bachir est allé plus loin. «Je n’ai encore aucun problème avec Adzopé FC. Pour l’instant. L’objectif d’Adzopé FC est de mettre la pression sur la FIF, d’amener le problème sur le terrain politique et ça tire dans tous les sens. Ce club demande le soutien des présidents de clubs et a poussé Man FC à aller en recours. Leurs dirigeants ont même menacé de brûler tous les Diabaté vivant à Adzopé (…) Le président du Man FC, Vassiriki Diabaté, m’a supplié d’abdiquer dans cette affaire à cause de toutes les menaces que nous subissons et m’a confié que l’affaire devenait politique. Il m’a même dit qu’Adzopé FC l’a poussé à aller en recours car maîtrisant déjà l’environnement». Malgré tout ce qui précède, Bingerville refuse de reculer. Mieux, Diabaté Bachir démontre que contrairement à ce qui se dit, Adzopé FC ne mérite pas plus la Ligue 1 que Bingerville.
Guy-Florentin Yaméogo
Ça devient grave. Trop grave ! L’allure que prend l’affaire Bingerville-Man FC donne des sueurs froides dans le dos. Hier, dans un hôtel à Cocody, le président de l’Entente sportive de Bingerville, Diabaté Bachir, a fait de graves révélations. Suivons-le. «Je reçois des messages de menace depuis ma victoire sur tapis vert qui permet à mon club de revenir en Ligue 1 au détriment d’Adzopé FC. Je ne parle même pas des appels anonymes. Je prends l’exemple de ce message d’Eric Monnet (dirigeant d’Adzopé FC) datant du 15 octobre à 18h13 mn. «Président. Tu as commencé. Je vais terminer car les conséquences pour le football ivoirien seront graves…». Entouré de ses vice-présidents, Barthélémy N’Dri, Me Kouyaté Lamine et de son secrétaire général, Diabaté Bachir est allé plus loin. «Je n’ai encore aucun problème avec Adzopé FC. Pour l’instant. L’objectif d’Adzopé FC est de mettre la pression sur la FIF, d’amener le problème sur le terrain politique et ça tire dans tous les sens. Ce club demande le soutien des présidents de clubs et a poussé Man FC à aller en recours. Leurs dirigeants ont même menacé de brûler tous les Diabaté vivant à Adzopé (…) Le président du Man FC, Vassiriki Diabaté, m’a supplié d’abdiquer dans cette affaire à cause de toutes les menaces que nous subissons et m’a confié que l’affaire devenait politique. Il m’a même dit qu’Adzopé FC l’a poussé à aller en recours car maîtrisant déjà l’environnement». Malgré tout ce qui précède, Bingerville refuse de reculer. Mieux, Diabaté Bachir démontre que contrairement à ce qui se dit, Adzopé FC ne mérite pas plus la Ligue 1 que Bingerville.
Guy-Florentin Yaméogo
