Dans le souci de rendre publiques ses actions dans les pays de l’Afrique de l’Ouest, la Banque mondiale a édité un magazine, «L’espoir». C’est «l’Espoir» de la Côte d’Ivoire, du Burkina Faso, du Bénin et du Togo qui font désormais partie du même groupe, après la récente reconfiguration des directions-pays de cette institution financière. Dans ce troisième numéro de septembre 2010, de 33 pages tout en couleur, en français et anglais, l’éditorialiste et Directeur de publication (Dp), Madani M. Tall, situe d’abord sur l’objet de la création d’un tel moyen de communication pour la Banque mondiale. «L’espoir rendra désormais compte, autant que faire se peut, des activités de la Banque mondiale dans ce pays (Ndlr: parlant du Burkina Faso) qui, malgré ses ressources limitées, est l’un des plus dynamiques et des plus prometteurs d’Afrique». Ce numéro du magazine du bureau régional de l’institution de Bretton Woods ouvre une brèche sur des pans de l’économie de trois des quatre pays qui, à l’évidence, partagent des similarités.
Concernant la Côte d’Ivoire, il s’intéresse aux enjeux économiques de l’élection présidentielle du 31 octobre prochain. En répondant à la question de savoir, en quoi les élections annoncées qui, «après avoir été une arlésienne», puis sont devenues une fixation, peuvent contribuer de manière déterminante à la relance économique de ce pays. «L’Espoir» consacre aussi un dossier à la question de l’emploi et fait un clin d’œil au défi des infrastructures économiques en Côte d’Ivoire. Par ailleurs, la relance des secteurs traditionnels de l’économie togolaise y est passée en revue.
Pour ce qui est du Burkina Faso, un large écho est fait de la visite «au pas de course» du directeur des opérations des quatre pays sus-cités. Qui n’est personne d’autre que le Dp de «L’espoir».
Il convient de rappeler que la Banque mondiale, après avoir fait de la décentralisation de son personnel opérationnel l’un des axes majeurs de sa stratégie pour l’Afrique, a entrepris, depuis le 1er juillet 2010, une reconfiguration de ses directions-pays. Celles-ci a pour but de rapprocher davantage les centres de décision de l’institution financière du «théâtre des opérations».
Gue Droh (Stagiaire)
Concernant la Côte d’Ivoire, il s’intéresse aux enjeux économiques de l’élection présidentielle du 31 octobre prochain. En répondant à la question de savoir, en quoi les élections annoncées qui, «après avoir été une arlésienne», puis sont devenues une fixation, peuvent contribuer de manière déterminante à la relance économique de ce pays. «L’Espoir» consacre aussi un dossier à la question de l’emploi et fait un clin d’œil au défi des infrastructures économiques en Côte d’Ivoire. Par ailleurs, la relance des secteurs traditionnels de l’économie togolaise y est passée en revue.
Pour ce qui est du Burkina Faso, un large écho est fait de la visite «au pas de course» du directeur des opérations des quatre pays sus-cités. Qui n’est personne d’autre que le Dp de «L’espoir».
Il convient de rappeler que la Banque mondiale, après avoir fait de la décentralisation de son personnel opérationnel l’un des axes majeurs de sa stratégie pour l’Afrique, a entrepris, depuis le 1er juillet 2010, une reconfiguration de ses directions-pays. Celles-ci a pour but de rapprocher davantage les centres de décision de l’institution financière du «théâtre des opérations».
Gue Droh (Stagiaire)
