ABIDJAN - Le deuxième tour de l`élection présidentielle en Côte d`Ivoire se tiendra le 21 novembre et opposera le chef de l`Etat sortant Laurent Gbagbo et l`ex-Premier ministre Alassane Ouattara, a annoncé samedi le Conseil constitutionnel.
Après le premier tour le 31 octobre, "un deuxième tour du scrutin sera organisé le dimanche 21 novembre 2010", a déclaré le président Paul Yao N`Dré au siège de cette institution à Abidjan.
"Les candidats qualifiés pour se présenter au deuxième tour du scrutin sont M. Gbagbo Laurent et M. Ouattara Alassane", a-t-il ajouté.
"Aucune réclamation concernant la régularité du scrutin ou son dépouillement n`a été présentée par voie de requête écrite au président du Conseil constitutionnel", a-t-il précisé.
Cette annonce impromptue survient alors que la date du 28 novembre était jusque-là considérée comme celle du deuxième tour, sans pour autant avoir été
officiellement fixée.
La déclaration du Conseil constitutionnel intervient en outre quelques heures après que M. Ouattara et les autres chefs de l`opposition ont réclamé un recomptage des voix, en invoquant de "graves irrégularités" lors de ce vote
historique censé clore une décennie de crise politico-militaire.
Après le premier tour le 31 octobre, "un deuxième tour du scrutin sera organisé le dimanche 21 novembre 2010", a déclaré le président Paul Yao N`Dré au siège de cette institution à Abidjan.
"Les candidats qualifiés pour se présenter au deuxième tour du scrutin sont M. Gbagbo Laurent et M. Ouattara Alassane", a-t-il ajouté.
"Aucune réclamation concernant la régularité du scrutin ou son dépouillement n`a été présentée par voie de requête écrite au président du Conseil constitutionnel", a-t-il précisé.
Cette annonce impromptue survient alors que la date du 28 novembre était jusque-là considérée comme celle du deuxième tour, sans pour autant avoir été
officiellement fixée.
La déclaration du Conseil constitutionnel intervient en outre quelques heures après que M. Ouattara et les autres chefs de l`opposition ont réclamé un recomptage des voix, en invoquant de "graves irrégularités" lors de ce vote
historique censé clore une décennie de crise politico-militaire.