Gagné par un vent de panique après le premier tour de l’élection présidentielle du 31 octobre dernier, les populations de Bouaké ont fermé bureaux et commerces. C’est donc dans le souci d’amener les gens à reprendre le travail et les activités commerciales que le préfet de la région de la vallée du bandama, préfet du département de Bouaké, M. Konin Aka, est sorti de sa réserve en milieu de semaine.
Après avoir rappelé la folle rumeur qui a circulé à travers la ville de Bouaké juste après le vote et qui a amené les uns et les autres à se terrer chez eux le préfet a invité ses administrés à garder le calme. Toutefois il juge logique qu’il n’y a plus de raison pour les fonctionnaires et agents de l’Etat de rester à la maison , alors que le calme demeure sur la ville de Bouaké.
Il a indiqué que nulle part, il ne lui a été rapporté des cas de troubles. C’est pour cela qu’il a du mal à comprendre que les fonctionnaires et agents de l`Etat veuillent se donner des jours de repos en plus alors que le gouvernement n’a pas décrété de jour férié.
Revenant sur le srutin du 31 Octobre, le Préfet s’est-il félicité du bon déroulement de celui-ci qui est censé mettre un terme à la crise militaro-politique du 19 septembre 2002 . Comme pour le 1er tour, il souhaite que le second se déroule dans le même esprit . « Nous attendons maintenant le 2ème tour prévu pour le 28 novembre prochain. Mais d’ici là nous n’allons pas rester chez nous jusqu’à cette date. Donc il faut reprendre le travail et j’y veillerai personnellement pour que les chefs de services soient regardant afin que leurs différents collaborateurs puissent reprendre effectivement le travail », a-t-il insisté.
Par ailleurs, le préfet du département de Bouaké a tenu à rassurer les populations de la capitale du centre sur leur sécurité. Car dira-t-il "Votre sécurité sera toujours assurée par le centre de commandement intégré (cci) qui est aidé dans sa tâche par les éléments du 3ème groupement d’instruction (gi de Bouaké) ».
ADJE JEAN-ALEXIS
Correspondant Régional
Après avoir rappelé la folle rumeur qui a circulé à travers la ville de Bouaké juste après le vote et qui a amené les uns et les autres à se terrer chez eux le préfet a invité ses administrés à garder le calme. Toutefois il juge logique qu’il n’y a plus de raison pour les fonctionnaires et agents de l’Etat de rester à la maison , alors que le calme demeure sur la ville de Bouaké.
Il a indiqué que nulle part, il ne lui a été rapporté des cas de troubles. C’est pour cela qu’il a du mal à comprendre que les fonctionnaires et agents de l`Etat veuillent se donner des jours de repos en plus alors que le gouvernement n’a pas décrété de jour férié.
Revenant sur le srutin du 31 Octobre, le Préfet s’est-il félicité du bon déroulement de celui-ci qui est censé mettre un terme à la crise militaro-politique du 19 septembre 2002 . Comme pour le 1er tour, il souhaite que le second se déroule dans le même esprit . « Nous attendons maintenant le 2ème tour prévu pour le 28 novembre prochain. Mais d’ici là nous n’allons pas rester chez nous jusqu’à cette date. Donc il faut reprendre le travail et j’y veillerai personnellement pour que les chefs de services soient regardant afin que leurs différents collaborateurs puissent reprendre effectivement le travail », a-t-il insisté.
Par ailleurs, le préfet du département de Bouaké a tenu à rassurer les populations de la capitale du centre sur leur sécurité. Car dira-t-il "Votre sécurité sera toujours assurée par le centre de commandement intégré (cci) qui est aidé dans sa tâche par les éléments du 3ème groupement d’instruction (gi de Bouaké) ».
ADJE JEAN-ALEXIS
Correspondant Régional