Félicitation au Rhdp et attention à l’intoxication et aux menaces qui pèsent sur leurs électeurs en zone forestière.
Les refondateurs, lorsqu’ils sont surtout aux abois, deviennent dangereux. Il a suffi qu’Alassane Ouattara ait été retenu pour le second tour de l’élection présidentielle, par le peuple souverain, pour réveiller les vieux démons qui sommeillent en eux. Malgré le verdict truqué des urnes qui a écarté injustement et frauduleusement le Pdci-Rda du second tour de la présidentielle, les refondateurs paniquent et s’adonnent à leurs vieilles habitudes du dénigrement et de la haine de l’autre. C’est plus fort qu’eux. C’est même inscrit dans leur sang. Depuis la proclamation des résultats truqués, les voilà, une fois de plus, qui montrent leurs visages hideux de xénophobes. En d’autres termes, ils sont prêts à toutes les bassesses pour conserver leur emprise sur le pouvoir qu’ils ont mal acquis il y a dix ans. Donc, tout en félicitant nos dirigeants pour l’union sacrée autour d’Alassane Ouattara, je leur demande de faire attention à l’intoxication et aux menaces qui pèsent sur les électeurs en zone forestière. Car la bête xénophobe n’est pas encore morte.
Après avoir volé plusieurs centaines de milliers de voix à Henri Konan Bédié pour que le candidat de la minorité présidentielle, qui n’a recueilli que 38% des suffrages, reste dans la course, et malgré les moyens financiers colossaux utilisés pour corrompre les électeurs, le FPI tenu en échec, ne désarme pas. Et pourtant, il sait très bien que, sans la tricherie à grande échelle au détriment d’Henri Konan Bédié, son candidat serait arrivé en troisième position et éliminé dès le premier tour. C’est la connaissance de cette réalité qui fait perdre la raison et le sens de la mesure aux refondateurs à l’heure où tous les acteurs politiques sont priés de ne pas envenimer les choses par leurs comportements et propos.
Le rêve de voir Laurent Gbagbo réélu, en dépit du bon sens, dès le premier tour étant évanoui, les refondateurs reprennent leurs vieilles habitudes de discrimination et d’instrumentalisation du tribalisme. A travers les sms, ils inondent le pays de leurs mensonges nourris dans la xénophobie. Selon ces sms, Alassane Ouattara ne devrait pas être à la place où le peuple l’a hissé avec maturité. Depuis quelques jours, ils mènent une campagne moyenâgeuse là où les Ivoiriens les attendent avec un programme concret après leurs dix années de gestion catastrophique. Or, si les «étrangers» décriés par les sms sont les ennemis de la Côte d’Ivoire, ils n’expliquent pas pourquoi de nombreux responsables de la refondation ont épousé des étrangères. Le propre fils, du candidat des frontistes, Michel Gbagbo, né d’une mère française, serait-il un étranger dans le pays de son père? Et les enfants de Fologo? Sinon, pourquoi s’acharner sur les autres, sur Alassane Ouattara qui a donné le meilleur de lui-même au chevet de la Côte d’Ivoire malade? Pourquoi Laurent Gbagbo, le prétendu ultra nationaliste, s’est-il entouré d’étrangers pour conduire sa campagne? Jack Lang, Albert Bourgi, Guy Labertit etc., ne sont-ils pas des étrangers venus lui apporter leur soutien? Alors, qui veut-il tromper ?
Pour nos militants, désormais le choix est clair. Accomplissant leur devoir civique en votant Alassane Ouattara, c’est la survie du Pdci-Rda et des autres partis du Rhdp qui en dépend, et, par devers eux, de la Côte d’Ivoire fraternelle, dynamique et solidaire. En effet, les militants du Pdci, de l’Udpci et du Mfa doivent se dirent que si les héritiers authentiques d’Houphouët se sont réunis au sein du Rhdp, c’est parce que le père de la nation qui veille sur nous le veut. Il exige un vote sanction contre les prédateurs de son œuvre gigantesque. Car, on ne vole pas impunément les voix du Rhdp. Nos militants doivent se convaincre que si le FPI reste au pouvoir à l’issue du second tour, ce sera la mort définitive du Pdci-Rda. Il n’y aura plus de Pdci.
Avec un score de plus de 60% des voix réalisé par la vraie famille houphouëtiste, les frontistes et leurs alliés sans poids, paniquent face à l’impossibilité pour eux de remonter l’handicap de 13 points. Et, ne sachant plus à quel saint s’adresser, les refondateurs s’accrochent à leurs réflexes démoniaques consistant à réveiller les vieux démons de la xénophobie, des menaces tribales. Comme lors du boycott actif, une fois de plus, ils mettent en danger la vie de nos militants, surtout les Akans, dans les zones forestières qu’ils considèrent comme leurs chasses gardées. Volontiers, ils acceptent que le FPI soit voté à Abengourou, Aboisso, Adzopé, Agboville, Bondoukou, à Grand Bassam, etc. C’est normal disent-ils. Mais pas question que les partis du Rhdp viennent recueillir des voix chez eux. Et ils prétendent aimer la Côte d’Ivoire…
Aussi, un devoir de mémoire s’impose-t-il afin que les Ivoiriens et la communauté internationale connaissent réellement qui sont les refondateurs et leurs diverses facettes opportunistes. Comment s’étonner des agissements du Fpi lorsqu’on sait que le chef de la refondation ne vit et ne prospère que dans les eaux troubles. Gbagbo a été le premier à signer une alliance politique avec Alassane Ouattara dans le cadre du Front républicain. En 1999, n’avait-il pas menacé de porter plainte contre le Pdci si Alassane Ouattara ne se présentait pas à l’élection présidentielle? Alors pour quelles raisons le Fpi ose-t-il se dédire aujourd’hui ? Si Gbagbo prétend avoir été le président ivoirien qui a naturalisé le plus grand nombre d’étrangers demandeurs de la nationalité ivoirienne, et que c’est grâce à lui qu’Alassane a été admis dans la course à la magistrature suprême et non par la volonté de notre Constitution, pourquoi le dénigre-t-il maintenant qu’il l’a en face pour le second tour de l’élection présidentielle? Est-ce la peur de perdre lamentablement ou la mauvaise foi qui caractérise les refondateurs? Pourquoi refuse-t-il de dire que c’est la Constitution ivoirienne qui reconnaît le chef du Rdr dans ses droits et l’a retenu pour être candidat et il est candidat ? Or, durant la campagne conduisant au premier tour de l’élection présidentielle, le Docteur Alassane Ouattara n’a pas été attaqué par les nationalistes rétrogrades du Fpi. Ces derniers ne virent aucun inconvénient à sa candidature. Pensaient-ils pouvoir l’éliminer, lui aussi, dès le premier tour comme ils ont manœuvré contre le candidat du Pdci-Rda afin d’éviter un second round ? Pour quelles motivations les fanatiques de la refondation envoient-ils depuis quelques jours des sms de dénigrement ethnique contre leur redoutable challenger ? Est-ce pour créer un doute chez les électeurs du Rhdp qui ont décidé de se rassembler autour d’Alassane, désormais le candidat de tout le Rhdp?
Et, le Rhdp uni et solidaire, au grand dam de la refondation qui prédisait que c’était une union de façade, n’est pas prêt, ni aujourd’hui, ni demain, à accorder le moindre crédit à la refondation désastreuse. Aussi, toutes nos militantes et tous nos militants ainsi que tous nos sympathisants, qui iront accorder leurs voix à Gbagbo contre la volonté du père de la nation, n’auront plus que leurs yeux pour pleurer demain, une fois l’argent de la corruption dépensé. Ces militants, militantes doivent se dire que le vrai patriote, c’est celui qui travaille avec acharnement pour le développement harmonieux du pays et non celui qui cautionne les vols, les détournements, les affrontements entre les citoyens, les déchets toxiques, la ruine de l’école publique, le banditisme « syndical » à l’université et la dégradation de nos villes à commencer par les puanteurs d’Abidjan. S’ils veulent rester au bord du chemin à contempler les profiteurs de la refondation exhiber leurs Hummer et autres grosses cylindrées, ils ont le choix et nous les aurons avertis.
Le monde a changé et le peuple ivoirien l’a compris. Les seules conditions exigées de nos jours aux citoyens qui aspirent diriger un pays, outre celle de la bonne moralité, ce sont, le critère de la compétence et du dévouement et rien d’autre. L’élection de Jerry Rawlings, de père écossais, à la tête du Ghana, d’Alberto Fujimori, péruvien de parents japonais, à la présidence du Pérou, de Barak Obama, fils d’un immigré kenyan à la tête des Etats-Unis, première puissance mondiale et l’arrivée de Nicolas Sarkozy, fils d’un Polonais, à l’Elysée, constituent la preuve de l’évolution positive et irréversible des mentalités et, de la condamnation du nationalisme désuet. Du reste, nous avons un dossier en béton sur l’origine de certains dirigeants de la refondation. Nous pouvons riposter aux pratiques xénophobes du Fpi en utilisant les informations à notre disposition pour les mettre à nu, mais telle n’est pas notre culture de la société fraternelle. Et, notre pays a plus que besoin d’un homme qui saura incarner toutes les valeurs qui sont celles de l’houphouëtisme mais auxquelles les refondateurs sont restés insensibles dix longues années durant. Cet homme, c’est Alassane Ouattara.
En conclusion, je dis ceci aux nombreux électeurs du Rhdp: prenez l’argent des envoyés de la refondation, mais votez Alassane Ouattara, le candidat du Rhdp. Que Monsieur Gbagbo s’en fasse une raison, car l’heure de déguerpir le palais est enfin arrivée.
Le ministre Kobenan Kouassi Adjoumani
Député à l’Assemblée nationale
Les refondateurs, lorsqu’ils sont surtout aux abois, deviennent dangereux. Il a suffi qu’Alassane Ouattara ait été retenu pour le second tour de l’élection présidentielle, par le peuple souverain, pour réveiller les vieux démons qui sommeillent en eux. Malgré le verdict truqué des urnes qui a écarté injustement et frauduleusement le Pdci-Rda du second tour de la présidentielle, les refondateurs paniquent et s’adonnent à leurs vieilles habitudes du dénigrement et de la haine de l’autre. C’est plus fort qu’eux. C’est même inscrit dans leur sang. Depuis la proclamation des résultats truqués, les voilà, une fois de plus, qui montrent leurs visages hideux de xénophobes. En d’autres termes, ils sont prêts à toutes les bassesses pour conserver leur emprise sur le pouvoir qu’ils ont mal acquis il y a dix ans. Donc, tout en félicitant nos dirigeants pour l’union sacrée autour d’Alassane Ouattara, je leur demande de faire attention à l’intoxication et aux menaces qui pèsent sur les électeurs en zone forestière. Car la bête xénophobe n’est pas encore morte.
Après avoir volé plusieurs centaines de milliers de voix à Henri Konan Bédié pour que le candidat de la minorité présidentielle, qui n’a recueilli que 38% des suffrages, reste dans la course, et malgré les moyens financiers colossaux utilisés pour corrompre les électeurs, le FPI tenu en échec, ne désarme pas. Et pourtant, il sait très bien que, sans la tricherie à grande échelle au détriment d’Henri Konan Bédié, son candidat serait arrivé en troisième position et éliminé dès le premier tour. C’est la connaissance de cette réalité qui fait perdre la raison et le sens de la mesure aux refondateurs à l’heure où tous les acteurs politiques sont priés de ne pas envenimer les choses par leurs comportements et propos.
Le rêve de voir Laurent Gbagbo réélu, en dépit du bon sens, dès le premier tour étant évanoui, les refondateurs reprennent leurs vieilles habitudes de discrimination et d’instrumentalisation du tribalisme. A travers les sms, ils inondent le pays de leurs mensonges nourris dans la xénophobie. Selon ces sms, Alassane Ouattara ne devrait pas être à la place où le peuple l’a hissé avec maturité. Depuis quelques jours, ils mènent une campagne moyenâgeuse là où les Ivoiriens les attendent avec un programme concret après leurs dix années de gestion catastrophique. Or, si les «étrangers» décriés par les sms sont les ennemis de la Côte d’Ivoire, ils n’expliquent pas pourquoi de nombreux responsables de la refondation ont épousé des étrangères. Le propre fils, du candidat des frontistes, Michel Gbagbo, né d’une mère française, serait-il un étranger dans le pays de son père? Et les enfants de Fologo? Sinon, pourquoi s’acharner sur les autres, sur Alassane Ouattara qui a donné le meilleur de lui-même au chevet de la Côte d’Ivoire malade? Pourquoi Laurent Gbagbo, le prétendu ultra nationaliste, s’est-il entouré d’étrangers pour conduire sa campagne? Jack Lang, Albert Bourgi, Guy Labertit etc., ne sont-ils pas des étrangers venus lui apporter leur soutien? Alors, qui veut-il tromper ?
Pour nos militants, désormais le choix est clair. Accomplissant leur devoir civique en votant Alassane Ouattara, c’est la survie du Pdci-Rda et des autres partis du Rhdp qui en dépend, et, par devers eux, de la Côte d’Ivoire fraternelle, dynamique et solidaire. En effet, les militants du Pdci, de l’Udpci et du Mfa doivent se dirent que si les héritiers authentiques d’Houphouët se sont réunis au sein du Rhdp, c’est parce que le père de la nation qui veille sur nous le veut. Il exige un vote sanction contre les prédateurs de son œuvre gigantesque. Car, on ne vole pas impunément les voix du Rhdp. Nos militants doivent se convaincre que si le FPI reste au pouvoir à l’issue du second tour, ce sera la mort définitive du Pdci-Rda. Il n’y aura plus de Pdci.
Avec un score de plus de 60% des voix réalisé par la vraie famille houphouëtiste, les frontistes et leurs alliés sans poids, paniquent face à l’impossibilité pour eux de remonter l’handicap de 13 points. Et, ne sachant plus à quel saint s’adresser, les refondateurs s’accrochent à leurs réflexes démoniaques consistant à réveiller les vieux démons de la xénophobie, des menaces tribales. Comme lors du boycott actif, une fois de plus, ils mettent en danger la vie de nos militants, surtout les Akans, dans les zones forestières qu’ils considèrent comme leurs chasses gardées. Volontiers, ils acceptent que le FPI soit voté à Abengourou, Aboisso, Adzopé, Agboville, Bondoukou, à Grand Bassam, etc. C’est normal disent-ils. Mais pas question que les partis du Rhdp viennent recueillir des voix chez eux. Et ils prétendent aimer la Côte d’Ivoire…
Aussi, un devoir de mémoire s’impose-t-il afin que les Ivoiriens et la communauté internationale connaissent réellement qui sont les refondateurs et leurs diverses facettes opportunistes. Comment s’étonner des agissements du Fpi lorsqu’on sait que le chef de la refondation ne vit et ne prospère que dans les eaux troubles. Gbagbo a été le premier à signer une alliance politique avec Alassane Ouattara dans le cadre du Front républicain. En 1999, n’avait-il pas menacé de porter plainte contre le Pdci si Alassane Ouattara ne se présentait pas à l’élection présidentielle? Alors pour quelles raisons le Fpi ose-t-il se dédire aujourd’hui ? Si Gbagbo prétend avoir été le président ivoirien qui a naturalisé le plus grand nombre d’étrangers demandeurs de la nationalité ivoirienne, et que c’est grâce à lui qu’Alassane a été admis dans la course à la magistrature suprême et non par la volonté de notre Constitution, pourquoi le dénigre-t-il maintenant qu’il l’a en face pour le second tour de l’élection présidentielle? Est-ce la peur de perdre lamentablement ou la mauvaise foi qui caractérise les refondateurs? Pourquoi refuse-t-il de dire que c’est la Constitution ivoirienne qui reconnaît le chef du Rdr dans ses droits et l’a retenu pour être candidat et il est candidat ? Or, durant la campagne conduisant au premier tour de l’élection présidentielle, le Docteur Alassane Ouattara n’a pas été attaqué par les nationalistes rétrogrades du Fpi. Ces derniers ne virent aucun inconvénient à sa candidature. Pensaient-ils pouvoir l’éliminer, lui aussi, dès le premier tour comme ils ont manœuvré contre le candidat du Pdci-Rda afin d’éviter un second round ? Pour quelles motivations les fanatiques de la refondation envoient-ils depuis quelques jours des sms de dénigrement ethnique contre leur redoutable challenger ? Est-ce pour créer un doute chez les électeurs du Rhdp qui ont décidé de se rassembler autour d’Alassane, désormais le candidat de tout le Rhdp?
Et, le Rhdp uni et solidaire, au grand dam de la refondation qui prédisait que c’était une union de façade, n’est pas prêt, ni aujourd’hui, ni demain, à accorder le moindre crédit à la refondation désastreuse. Aussi, toutes nos militantes et tous nos militants ainsi que tous nos sympathisants, qui iront accorder leurs voix à Gbagbo contre la volonté du père de la nation, n’auront plus que leurs yeux pour pleurer demain, une fois l’argent de la corruption dépensé. Ces militants, militantes doivent se dire que le vrai patriote, c’est celui qui travaille avec acharnement pour le développement harmonieux du pays et non celui qui cautionne les vols, les détournements, les affrontements entre les citoyens, les déchets toxiques, la ruine de l’école publique, le banditisme « syndical » à l’université et la dégradation de nos villes à commencer par les puanteurs d’Abidjan. S’ils veulent rester au bord du chemin à contempler les profiteurs de la refondation exhiber leurs Hummer et autres grosses cylindrées, ils ont le choix et nous les aurons avertis.
Le monde a changé et le peuple ivoirien l’a compris. Les seules conditions exigées de nos jours aux citoyens qui aspirent diriger un pays, outre celle de la bonne moralité, ce sont, le critère de la compétence et du dévouement et rien d’autre. L’élection de Jerry Rawlings, de père écossais, à la tête du Ghana, d’Alberto Fujimori, péruvien de parents japonais, à la présidence du Pérou, de Barak Obama, fils d’un immigré kenyan à la tête des Etats-Unis, première puissance mondiale et l’arrivée de Nicolas Sarkozy, fils d’un Polonais, à l’Elysée, constituent la preuve de l’évolution positive et irréversible des mentalités et, de la condamnation du nationalisme désuet. Du reste, nous avons un dossier en béton sur l’origine de certains dirigeants de la refondation. Nous pouvons riposter aux pratiques xénophobes du Fpi en utilisant les informations à notre disposition pour les mettre à nu, mais telle n’est pas notre culture de la société fraternelle. Et, notre pays a plus que besoin d’un homme qui saura incarner toutes les valeurs qui sont celles de l’houphouëtisme mais auxquelles les refondateurs sont restés insensibles dix longues années durant. Cet homme, c’est Alassane Ouattara.
En conclusion, je dis ceci aux nombreux électeurs du Rhdp: prenez l’argent des envoyés de la refondation, mais votez Alassane Ouattara, le candidat du Rhdp. Que Monsieur Gbagbo s’en fasse une raison, car l’heure de déguerpir le palais est enfin arrivée.
Le ministre Kobenan Kouassi Adjoumani
Député à l’Assemblée nationale
