Déclaration du ministère des Affaires étrangères et européennes
Q - Un candidat aux élections s'estime lésé et demande que les voix soient recomptées. Quelle analyse faites-vous sur ce premier tour ? Etes-vous pour le recomptage des voix ?
R - Je vous conseille la lecture de l'entretien de notre ambassadeur à Abidjan avec "le Parisien" il y a quelques jours, dans lequel il rappelle que la France n'a pas de candidat à privilégier et n'interfère en aucune façon dans le processus électoral. Nous avons salué le bon déroulement du premier tour des élections en Côte d'Ivoire la semaine dernière. Le processus électoral suit son cours, conformément aux règles décidées par les Ivoiriens eux-mêmes.
Nous invitons l’ensemble des acteurs à faire preuve du même état d’esprit et de la même responsabilité jusqu’à la fin du processus électoral.
Q - Le premier tour des élections s'est déroulé dans de très bonnes conditions, mais on redoute un regain de violence pour le second tour, au cas où les règles ne seraient pas respectées. En cas de violences, quel sera le rôle de la France et de la force Licorne ? Va-t-elle évacuer sa population ou va-t-elle s'interposer comme elle l'a fait en 2002 ?
R - C'est une question hypothétique.
Il ne faut pas voir les choses de manière négative. C'est avec espoir et optimisme que nous suivons cette élection. Jusqu'à présent, les choses se sont bien passées et il n'y a aucune raison de penser que cela ne va pas continuer. Depuis des jours, nous rappelons que nous n'avons aucun intérêt particulier dans cette élection. C'est aux Ivoiriens de travailler pour faire de cette élection un succès. C'est le souhait de la France. Qu'elle soit un succès pour le peuple ivoirien, pour la démocratie ivoirienne, pour la Côte d'Ivoire et pour l'Afrique.
Q - Un candidat aux élections s'estime lésé et demande que les voix soient recomptées. Quelle analyse faites-vous sur ce premier tour ? Etes-vous pour le recomptage des voix ?
R - Je vous conseille la lecture de l'entretien de notre ambassadeur à Abidjan avec "le Parisien" il y a quelques jours, dans lequel il rappelle que la France n'a pas de candidat à privilégier et n'interfère en aucune façon dans le processus électoral. Nous avons salué le bon déroulement du premier tour des élections en Côte d'Ivoire la semaine dernière. Le processus électoral suit son cours, conformément aux règles décidées par les Ivoiriens eux-mêmes.
Nous invitons l’ensemble des acteurs à faire preuve du même état d’esprit et de la même responsabilité jusqu’à la fin du processus électoral.
Q - Le premier tour des élections s'est déroulé dans de très bonnes conditions, mais on redoute un regain de violence pour le second tour, au cas où les règles ne seraient pas respectées. En cas de violences, quel sera le rôle de la France et de la force Licorne ? Va-t-elle évacuer sa population ou va-t-elle s'interposer comme elle l'a fait en 2002 ?
R - C'est une question hypothétique.
Il ne faut pas voir les choses de manière négative. C'est avec espoir et optimisme que nous suivons cette élection. Jusqu'à présent, les choses se sont bien passées et il n'y a aucune raison de penser que cela ne va pas continuer. Depuis des jours, nous rappelons que nous n'avons aucun intérêt particulier dans cette élection. C'est aux Ivoiriens de travailler pour faire de cette élection un succès. C'est le souhait de la France. Qu'elle soit un succès pour le peuple ivoirien, pour la démocratie ivoirienne, pour la Côte d'Ivoire et pour l'Afrique.