“Je voudrais rassurer les populations ivoiriennes, qu’elles peuvent aller voter en toute quiétude le 28 novembre. Toutes les dispositions sont prises pour que les Forces de Défense et de sécurité assurent leur sécurité et celle de leurs biens ”. Le chef d’état- major des armées de Côte d’Ivoire, le général de corps d’armée Philippe Mangou a fait cette déclaration le lundi dernier, au sortir d’une réunion qui a rassemblé les généraux de toutes les forces qui sont impliquées dans la sécurisation du processus électoral en Côte d’Ivoire. Selon des informations de première main, le chef d’état -major des armées et ses plus proches collaborateurs ont mis à disposition 2000 hommes qui vont être déployés dans la partie nord du pays où les ex-rebelles, toujours en armes, continuent de semer la terreur.
En effet, pendant le 1er tour de l’élection qui a eu lieu le 31 octobre, les ex-rebelles de Ouattara, évidemment acquis à sa cause, ont déchiré les affiches du président Gbagbo, menacé de mort les directeurs de campagne du candidat de La majorité présidentielle et intimidé les représentants de celui-ci dans les bureaux de vote pour bourrer les urnes en faveur du candidat du RDR. C’est ainsi que, par exemple, à Madinani, pour 9970 inscrits, on a eu 12100 suffrages exprimés et Ouattara a obtenu 11144 voix. C’est donc cette fraude organisée qui explique les scores fleuves dépassant tout entendement obtenus par Ouattara dans le Nord.
C’est justement pour garantir une élection équitable dans le nord que le général Mangou et ses collaborateurs ont pris la décision de déployer 2000 hommes dans cette partie nord du pays prise en otage par Ouattara et ses bras armésn
Boga Sivori
bogasivo@yahoo.fr
En effet, pendant le 1er tour de l’élection qui a eu lieu le 31 octobre, les ex-rebelles de Ouattara, évidemment acquis à sa cause, ont déchiré les affiches du président Gbagbo, menacé de mort les directeurs de campagne du candidat de La majorité présidentielle et intimidé les représentants de celui-ci dans les bureaux de vote pour bourrer les urnes en faveur du candidat du RDR. C’est ainsi que, par exemple, à Madinani, pour 9970 inscrits, on a eu 12100 suffrages exprimés et Ouattara a obtenu 11144 voix. C’est donc cette fraude organisée qui explique les scores fleuves dépassant tout entendement obtenus par Ouattara dans le Nord.
C’est justement pour garantir une élection équitable dans le nord que le général Mangou et ses collaborateurs ont pris la décision de déployer 2000 hommes dans cette partie nord du pays prise en otage par Ouattara et ses bras armésn
Boga Sivori
bogasivo@yahoo.fr