Débuté depuis dimanche dernier à Niamey, le tournoi de l’UEMOA rendra son verdict demain. A l’affiche, Mena du Niger-Ecureuils du Bénin.
C’est demain après-midi, au Stade Seyni Kountché de Niamey, qu’on connaîtra le nom du vainqueur de la 4è édition du tournoi de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). A l’affiche, le duel inédit Niger-Bénin. Dans tous les cas, le champion 2010 soulèvera le trophée pour la première fois. Pour sa troisième finale (les deux précédentes ayant été perdues en 2007 et en 2009), le Mena du Niger entend briser le signe indien. Il misera donc sur son portier d’origine ivoirienne, Losséni Doumbia mais aussi sur son capitaine Idrissa Lawali. Le coah, Harouna Doula, sûr de pouvoir compter sur le soutien du public nigérien, a intérêt à mettre fin aux errements de ses défenseurs pour ne pas connaître une déconvenue. Le Bénin qui se hisse en finale de ce tournoi, pour la première fois, impressionne. Son parcours est même jusque-là irréprochable. Et Fortuné Glèlè, l’entraîneur des Ecureuils, n’a plus que la dernière marche à franchir pour terminer le travail en beauté. La force de ce groupe reste sa solidarité et le réalisme offensif dont font preuve Isaac Louté et ses coéquipiers. Cela suffira-t-il pour venir à bout des Nigériens ?
Guy-Florentin Yaméogo
C’est demain après-midi, au Stade Seyni Kountché de Niamey, qu’on connaîtra le nom du vainqueur de la 4è édition du tournoi de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). A l’affiche, le duel inédit Niger-Bénin. Dans tous les cas, le champion 2010 soulèvera le trophée pour la première fois. Pour sa troisième finale (les deux précédentes ayant été perdues en 2007 et en 2009), le Mena du Niger entend briser le signe indien. Il misera donc sur son portier d’origine ivoirienne, Losséni Doumbia mais aussi sur son capitaine Idrissa Lawali. Le coah, Harouna Doula, sûr de pouvoir compter sur le soutien du public nigérien, a intérêt à mettre fin aux errements de ses défenseurs pour ne pas connaître une déconvenue. Le Bénin qui se hisse en finale de ce tournoi, pour la première fois, impressionne. Son parcours est même jusque-là irréprochable. Et Fortuné Glèlè, l’entraîneur des Ecureuils, n’a plus que la dernière marche à franchir pour terminer le travail en beauté. La force de ce groupe reste sa solidarité et le réalisme offensif dont font preuve Isaac Louté et ses coéquipiers. Cela suffira-t-il pour venir à bout des Nigériens ?
Guy-Florentin Yaméogo