Le Mouvement pour la Valorisation de la démocratie(MOVAD) a fait un certain nombre de constats lors du 1er tour des élections présidentielles suivis de recommandations en vue d’une bonne organisation du 2nd tour.
Le Movad note dans l’ensemble le bon déroulement du scrutin avec un fort taux de participation soit 83.7 % contrairement à l’an 2000 où le taux de participation était de 37.4 %.
Cependant, il y a eu quelques disfonctionnements qu’il convient de relever :
- Le retard observé dans certains BV.
- L’insuffisance du matériel de vote notamment les stickers.
- Les urnes et les PV ont eu du mal à être transportés d’une part des BV vers les CEI locales et d’autre part des CEI locales vers la CEI centrale.
- L’intimidation et même l’empêchement de certains électeurs d’exercer leur droit de vote.
- L’absence des forces de sécurité dans des centres de vote.
Toutes ces irrégularités sont de nature à entacher le bon déroulement du scrutin.
Pour un 2nd tour apaisé, transparent et sans contestations, le Movad recommande :
- Le ’’ bon ton’’ de la part des 2 candidats durant toute la période de campagne.
- La présence effective des représentants des 2 candidats dans chaque BV sur toute l’étendue du territoire national et à l’étranger.
- L’optimisation de la formation des agents de la CEI.
- La distribution proportionnelle et dans le temps du matériel électoral par bureau de vote.
- La dotation de la CEI en matériel roulant suffisant et l’organisation du transport des urnes par secteur.
- L’accès des observateurs à toutes les étapes du scrutin y compris les locaux de la CEI centrale.
- La proclamation des résultats de façon régulière et progressive pour éviter toute suspicion.
- Le renforcement de la sécurisation du scrutin par l’implication des forces impartiales.
La démocratisation de nos Etats passe par l’organisation d’élections justes, transparentes et acceptables par tous. C’est à juste titre que nous souhaitons que les élections présidentielles en Côte d’Ivoire soient transparentes. Nous saluons l’organisation des élections présidentielles en Guinée et celle en vue au Burkina Faso. Aussi, voudrions-nous, en cette journée nationale de la paix, nous réjouir de la libération de l’opposante Birmane Aung San Suu Kyi.
Le Movad note dans l’ensemble le bon déroulement du scrutin avec un fort taux de participation soit 83.7 % contrairement à l’an 2000 où le taux de participation était de 37.4 %.
Cependant, il y a eu quelques disfonctionnements qu’il convient de relever :
- Le retard observé dans certains BV.
- L’insuffisance du matériel de vote notamment les stickers.
- Les urnes et les PV ont eu du mal à être transportés d’une part des BV vers les CEI locales et d’autre part des CEI locales vers la CEI centrale.
- L’intimidation et même l’empêchement de certains électeurs d’exercer leur droit de vote.
- L’absence des forces de sécurité dans des centres de vote.
Toutes ces irrégularités sont de nature à entacher le bon déroulement du scrutin.
Pour un 2nd tour apaisé, transparent et sans contestations, le Movad recommande :
- Le ’’ bon ton’’ de la part des 2 candidats durant toute la période de campagne.
- La présence effective des représentants des 2 candidats dans chaque BV sur toute l’étendue du territoire national et à l’étranger.
- L’optimisation de la formation des agents de la CEI.
- La distribution proportionnelle et dans le temps du matériel électoral par bureau de vote.
- La dotation de la CEI en matériel roulant suffisant et l’organisation du transport des urnes par secteur.
- L’accès des observateurs à toutes les étapes du scrutin y compris les locaux de la CEI centrale.
- La proclamation des résultats de façon régulière et progressive pour éviter toute suspicion.
- Le renforcement de la sécurisation du scrutin par l’implication des forces impartiales.
La démocratisation de nos Etats passe par l’organisation d’élections justes, transparentes et acceptables par tous. C’est à juste titre que nous souhaitons que les élections présidentielles en Côte d’Ivoire soient transparentes. Nous saluons l’organisation des élections présidentielles en Guinée et celle en vue au Burkina Faso. Aussi, voudrions-nous, en cette journée nationale de la paix, nous réjouir de la libération de l’opposante Birmane Aung San Suu Kyi.