Faites-nous le bilan succinct du premier tour de l’élection présidentielle, à Dah ?
Je voudrais d’abord préciser que Dah qui regroupe quatre (4) villages est une commune du département de Bangolo. La campagne s’y est très bien déroulée. Nous avons sillonné hameaux et villages pour expliquer aux populations, le programme de notre candidat. Avec 92,84% des suffrages exprimés en faveur de Laurent Gbagbo, nous nous réjouissons du fait que notre débauche d’énergie n’a pas été vaine. Deux cars et 12 véhicules “personnels” ont été mis à la disposition des populations par nos soins. Le résultat est là, nous ne pouvons qu’être satisfaits.
Le deuxième tour, c’est le 28 novembre prochain. On y avance à grands pas. Quelles sont les dispositions prises pour enregistrer ce même score, mieux, l’améliorer ?
Bien évidemment, nous allons reconduire les actions qui ont fait notre force sur le terrain. Nous avons entamé déjà des négociations avec les électeurs de Bédié, notamment la communauté Baoulé. Qui a compris qu’il ne s’agit pas d’une affaire de parti politique, mais de l’intérêt de la Côte d’Ivoire.
Comme on le voit, vous vous investissez à fond pour la réélection de votre candidat. Une fois le but atteint, envisagez-vous de briguer un poste politique, au niveau local ?
Tout homme doit être ambitieux. Mais pour l’instant, nous restons concentrés sur notre objectif : faire réélire Laurent Gbagbo. Après, ça sera une autre bataille, faire triompher le Front populaire ivoirien (Fpi). Pour faire en sorte que le programme de gouvernement, la boussole du Président Laurent Gbagbo, soit mis en œuvre pour le bonheur des Ivoiriens. L’enjeu est trop important pour qu’on se mette les bâtons dans les roues. Il nous faut unir nos efforts.
Propos recueillis par Tché Bi Tché.
Je voudrais d’abord préciser que Dah qui regroupe quatre (4) villages est une commune du département de Bangolo. La campagne s’y est très bien déroulée. Nous avons sillonné hameaux et villages pour expliquer aux populations, le programme de notre candidat. Avec 92,84% des suffrages exprimés en faveur de Laurent Gbagbo, nous nous réjouissons du fait que notre débauche d’énergie n’a pas été vaine. Deux cars et 12 véhicules “personnels” ont été mis à la disposition des populations par nos soins. Le résultat est là, nous ne pouvons qu’être satisfaits.
Le deuxième tour, c’est le 28 novembre prochain. On y avance à grands pas. Quelles sont les dispositions prises pour enregistrer ce même score, mieux, l’améliorer ?
Bien évidemment, nous allons reconduire les actions qui ont fait notre force sur le terrain. Nous avons entamé déjà des négociations avec les électeurs de Bédié, notamment la communauté Baoulé. Qui a compris qu’il ne s’agit pas d’une affaire de parti politique, mais de l’intérêt de la Côte d’Ivoire.
Comme on le voit, vous vous investissez à fond pour la réélection de votre candidat. Une fois le but atteint, envisagez-vous de briguer un poste politique, au niveau local ?
Tout homme doit être ambitieux. Mais pour l’instant, nous restons concentrés sur notre objectif : faire réélire Laurent Gbagbo. Après, ça sera une autre bataille, faire triompher le Front populaire ivoirien (Fpi). Pour faire en sorte que le programme de gouvernement, la boussole du Président Laurent Gbagbo, soit mis en œuvre pour le bonheur des Ivoiriens. L’enjeu est trop important pour qu’on se mette les bâtons dans les roues. Il nous faut unir nos efforts.
Propos recueillis par Tché Bi Tché.
