Une forte délégation des Nations unies, conduite par son patron en Côte d’Ivoire, M. Choi était ce mercredi 17 novembre 2010 à la CEI pour échanger avec le Président de l’Institution électorale Youssouf Bakayoko. « Nous avons relevé les défis du premier tour de façon magnifique. Il s’agit maintenant pour nous, avant d’aller au second tour de la présidentielle, de tout mettre en œuvre pour relever, ensemble, les défis qui vont conduire au second tour dans de bonnes conditions » a signalé le diplomate onusien pour qui, deux défis majeurs restent à relever. Il s’agit, a dit M. Choi, des questions d’ordre technique et logistique d’une part et la question de la sauvegarde des résultats d’autre part. « Nous sommes tous d’accord qu’il y’a des choses à améliorer et nous en avons discuté » a-t-il ajouté. Les points à aborder en urgence, à en croire Choi : inventaire du matériel, paiement des agents électoraux etc.
Pour les questions de sécurité, M. Choi a indiqué qu’il « faut faire confiance aux différentes forces, c’est à dire les FDS, le CCI et les Forces Impartiales qui interviennent à trois niveaux.
Le Président de la CEI, M. Youssouf Bakayoko a, d’abord, exprimé tous ses remerciements à l’ONUCI et à sa division de l’assistance électorale pour son appui dans la réalisation de la date du 31 Octobre 2010. Pour lui, la CEI a bien noté toutes les observations faites par les observateurs. « Dans toute œuvre humaine, il y’a parfois des imperfections. Nous en sommes conscients et nous nous attèlerons à corriger toutes ces erreurs même minimes soient elles ».
Service de Communication
Pour les questions de sécurité, M. Choi a indiqué qu’il « faut faire confiance aux différentes forces, c’est à dire les FDS, le CCI et les Forces Impartiales qui interviennent à trois niveaux.
Le Président de la CEI, M. Youssouf Bakayoko a, d’abord, exprimé tous ses remerciements à l’ONUCI et à sa division de l’assistance électorale pour son appui dans la réalisation de la date du 31 Octobre 2010. Pour lui, la CEI a bien noté toutes les observations faites par les observateurs. « Dans toute œuvre humaine, il y’a parfois des imperfections. Nous en sommes conscients et nous nous attèlerons à corriger toutes ces erreurs même minimes soient elles ».
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