Quitte ou double. En délicates négociations avec le FC Barcelone pour prolonger, le latéral droit Daniel Alves son contrat a reçu, ce mardi, une ultime offre. Selon le quotidien catalan Sport, celle-ci permettrait au Brésilien de le prolonger de trois ans, soit jusqu'en 2015. Ses revenus, revalorisés, lui permettraient alors de grimper d'un rang dans l'échelle salariale du club, restant toutefois derrière Xavi, Iniesta, Villa et évidemment Messi.
La proposition faite par les Blaugranas, considérée comme honnête par les dirigeants qui n'offriront pas plus, comporte plusieurs clauses permettant au défenseur de 27 ans de quitter le club quand il le souhaite. La balle est donc désormais dans le camp de Daniel Alves.
Messi n'est pas fan de Mourinho
Alors que le clasico Barça-Real approche (le lundi 29 novembre), Lionel Messi a avoué mercredi qu'il lui serait «très difficile» de travailler avec José Mourinho, l'entraîneur du Real Madrid. «Si Mourinho venait à Barcelone, il devrait parler d'une façon différente. Je n'ai rien contre lui ou contre quiconque, et les gens qui travaillent avec lui en parlent en bien, a-t-il déclaré mercredi dans un entretien au quotidien Marca. Je n'aurais aucun problème (s'il venait à Barcelone) mais je ne pense pas que cela arrivera». Et pourtant, le technicien portugais avait déjà fait un passage en Catalogne, comme traducteur de Bobby Robson puis comme assistant de Louis van Gaal. Quoi qu'il en soit, le Ballon d'Or 2009 espère marquer le 29 novembre prochain, «non pas contre Mourinho mais contre le Real Madrid».
La Fifa a examiné les candidatures
Alors que seront désignés le 2 décembre prochain les organisateurs des Coupes du monde 2018 et 2022, la FIFA a publié mercredi un rapport d'évaluation technique des différentes candidatures. Celles de l'Angleterre et de la péninsule ibérique (Espagne-Portugal) tiennent la barre pour 2018, avec de nombreux stades déjà existants et ne nécessitant pas de rénovation. La Russie, la Belgique et les Pays Bas sont en retard dans ce domaine, d'après ce rapport. En ce qui concerne 2022, la course s'annonce aussi serrée puisque la Corée du Sud, le Japon et les Etats-Unis ont tous les trois beaucoup d'atouts en terme de stades et d'infrastructures d'accueil des équipes et des supporters. L'Australie est à la traîne dans les domaines du transport et du logement. Les réserves sont beaucoup plus nombreuses quant à la candidature du Qatar, la Fifa évoquant un «défi opérationnel et logistique». Réponses le 2 décembre.
La proposition faite par les Blaugranas, considérée comme honnête par les dirigeants qui n'offriront pas plus, comporte plusieurs clauses permettant au défenseur de 27 ans de quitter le club quand il le souhaite. La balle est donc désormais dans le camp de Daniel Alves.
Messi n'est pas fan de Mourinho
Alors que le clasico Barça-Real approche (le lundi 29 novembre), Lionel Messi a avoué mercredi qu'il lui serait «très difficile» de travailler avec José Mourinho, l'entraîneur du Real Madrid. «Si Mourinho venait à Barcelone, il devrait parler d'une façon différente. Je n'ai rien contre lui ou contre quiconque, et les gens qui travaillent avec lui en parlent en bien, a-t-il déclaré mercredi dans un entretien au quotidien Marca. Je n'aurais aucun problème (s'il venait à Barcelone) mais je ne pense pas que cela arrivera». Et pourtant, le technicien portugais avait déjà fait un passage en Catalogne, comme traducteur de Bobby Robson puis comme assistant de Louis van Gaal. Quoi qu'il en soit, le Ballon d'Or 2009 espère marquer le 29 novembre prochain, «non pas contre Mourinho mais contre le Real Madrid».
La Fifa a examiné les candidatures
Alors que seront désignés le 2 décembre prochain les organisateurs des Coupes du monde 2018 et 2022, la FIFA a publié mercredi un rapport d'évaluation technique des différentes candidatures. Celles de l'Angleterre et de la péninsule ibérique (Espagne-Portugal) tiennent la barre pour 2018, avec de nombreux stades déjà existants et ne nécessitant pas de rénovation. La Russie, la Belgique et les Pays Bas sont en retard dans ce domaine, d'après ce rapport. En ce qui concerne 2022, la course s'annonce aussi serrée puisque la Corée du Sud, le Japon et les Etats-Unis ont tous les trois beaucoup d'atouts en terme de stades et d'infrastructures d'accueil des équipes et des supporters. L'Australie est à la traîne dans les domaines du transport et du logement. Les réserves sont beaucoup plus nombreuses quant à la candidature du Qatar, la Fifa évoquant un «défi opérationnel et logistique». Réponses le 2 décembre.