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Politique Publié le jeudi 18 novembre 2010 | Le Mandat

Dépravation des mœurs sous la refondation

Sodomie au palais - Polygamie au sommet de l’Etat, ébats sexuels au bureau, encouragement de la gente estudiantine à la prostitution, achat de miss etc.…Bref tout y passe. Sous la refondation tout roule à l’envers. Les mœurs et les lois fondamentales sont foulées aux pieds. Cela n’est un secret un pour personne. Les pontes du régime Fpi sont les pieds joints dans les eaux boueuses de la polygamie. Le chef de file de la refondation, candidat président sortant Laurent Gbagbo n’est pas exempté de cette pratique. Comme une traînée de poudre cette information s’est rependue dans tout le pays. Les ivoiriens aurons de l’eau à leur moult quand, durant la campagne pour premier tour de la présidentielle l’ex journaliste à Africa N1 et directrice d’une boîte de communication, à Abidjan, Nady Bamba, a de façon publique déclaré confier la candidature de son mari, le président Gbagbo à ses parents du Bafing. Or donc le candidat Gbagbo avait une épouse en dehors de celle légalement connue. C’est la question qui saute sur toutes les lèvres après cette sortie de Nady Bamba. Sinon comment comprendre qu’une femme s’auto proclame être l’épouse du chef de l’état sans en avoir le droit légal. Si l’on s’en tient à cela on pourrait dire que le statut matrimonial du candidat de la minorité présidentielle à tout l’ère de la polygamie. Ce qui ne reste guère les ivoiriens insensibles. Car de mémoire d’ivoiriens aucun chef de l’Etat n’a eu à pratiquer officiellement la polygamie et cette imbroglio de leadership n’honore guère notre pays. Malheureusement sous le Fpi les donnes ont changé. C’est désormais l’ombre de la polygamie qui plane sur l’illustre fauteuil présidentiel. Quel exemple le berger peut donner au peuple qu’il conduit avec ce statut controversé ? La question a son pesant d’or. Les ivoiriens dans leur entière majorité réfute le statut d’homme polygame. Et sous aucune réserve il n’acceptera que celui qui incarne leurs institutions soit mis sous sellette à cause de ses passions et ses vices. Un président polygame ? La Côte d’Ivoire n’en pas besoin. Et ce critère va compter beaucoup dans le choix du futur chef de l’Etat. Pour ce que les uns et les autres savent des gouvernants depuis dix ans, le candidat Gbagbo de la minorité présidentielle n’est pas le meilleur cheval pour la course pour palais si tant est que des femmes contre toute morale se réclame d’être les épouses de Gbagbo. Quel scandale ! Le pays besoin d’être assainir à tout niveau. Et cette sanctification devrait commencer par le trône. Qui voudrait revoir encore se répéter ces images de professeurs filmant les rapports sexuels avec leurs élèves, ces chefs de services qui couchent avec les femmes des autres dans leur bureau. Quand le président Gbagbo conseille aux jeunes étudiantes de voir leurs copains pour payer leurs charges scolaires, où ont la limite entre l’encouragement à la prostitution et l’invitation à étudier sérieusement ? L’autre n’a-t-il raison quand il écrit que certains refondateurs ont réalisé leurs vœux de s’acheter des miss ? Pauvre Côte d’Ivoire.

Le candidat Laurent Gbagbo chrétien évangélique ?
C’est un secret de polichinelle. La foi chrétienne du couple Gbagbo n’est pas mise sous le boisseau. Pour l’attester, un culte hebdomadaire célébré à la résidence présidentielle. Ce n’est pas de trop de dire qu’une église évangélique est érigée à la cour royale. Mieux, des pasteurs sont recrutés comme des conseillers spirituels au palais. Mais tout cela n’a pas suffi pour bonifier la vie chrétienne du candidat de la mouvance présidentielle. La communauté chrétienne elle-même qui ne cachait pas sa fierté d’avoir pour frère en christ Laurent Gbagbo est en train de se désillusionner. Il ressort de leur constat que la gestion du pouvoir d’Etat semble ne pas faire bon ménage avec le respect scrupuleux des principes dictés par la Bible. Un seul indice sous-tend l’argument du coreligionnaire de Gbagbo. Leur bien aimé frère dans le Seigneur serait polygame. Un statut qui viole les commandements prescrits par les écritures saintes et précisément par la nouvelle alliance sous le Seigneur Jésus Christ. En effet, la Bible déclare dans 1 Corinthiens 7 verset 3-2 « …Toutefois, pour éviter la débauche, que chacun ait sa femme et que chaque femme ait son mari… ». C’est donc clair, la polygamie est un péché au regard de Dieu. Quiconque s’y adonne est en abomination devant le Seigneur dixit la Bible, et doit, selon les recommandations, être sous discipline c’est-à-dire rappeler à l’ordre. Celui que le maire de Yopougon, Félicien Djidan Gbamnan, présente comme le candidat des chrétiens n’est pas un imitateur de Christ comme cela est recommandé (1 Cor 11 v 1). Le candidat Gbagbo est-il un véritable chrétien évangélique ? Cette interrogation alimente tous les débats dans le milieu évangélique ? Mais personne n’ose évoquer le sujet à haute voix malgré le mal qui perdure.

La sodomie au palais
Le palais présidentiel d’Abidjan, lieu par excellence de toutes les vertus, n’est plus ce qu’il était il y a une dizaine d’années. Ce joyau architectural qui faisait la fierté des Ivoiriens est devenu le lieu de tous les scandales. Même les plus inimaginables. En effet, une affaire de sodomie dans laquelle un garde du corps du chef de l’Etat a été cité, a fait grand bruit en son temps. Le capitaine Mahilé, puisque c’est de lui qu’il s’agit, avait écopé d’une mise à l’écart du palais pour avoir été accusé d’abuser sexuellement d’un homme. Cette information a créé la désolation chez les Ivoiriens. Jamais une sottise pareille n’avait été évoquée au palais si ce n’est sous la refondation. Comme on a coutume à le dire, il n’y a jamais de fumée sans feu. Face donc à cette affaire qui a commencé à défrayer la chronique et ternir davantage l’image des occupants du palais présidentiel, le chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, a décidé de diligenter une enquête pour faire la lumière. Bon nombre d’Ivoiriens se posent encore la question de savoir qu’est-ce qu’est devenue la fameuse enquête pour qu’on aperçoive subitement le capitaine Mahilé en fonction dans la garde rapprochée du chef de l’Etat. Alors qu’une affaire comme celle là, vraie ou fausse, devrait amener à des sanctions parce qu’ elle jette un discrédit sur cette prestigieuse institution. Mais hélas ! Cela laisse dans l’esprit des Ivoiriens une image du palais présidentiel devenu un lieu où on s’adonne à des actes impudiques. Et le premier responsable de cette situation ne peut être que le premier magistrat de ce pays qui a en ces lieux ses bureaux.

Les tenues vestimentaires peu recommandables
Il est d’autant plus regrettable qu’avec Laurent Gbagbo, le palais présidentiel ne peut plus être pris en exemple. Le côté mystère qui imposait le respect de ce lieu prestigieux a été galvaudé aujourd’hui. N’importe qui peut y avoir accès avec des tenues extravagantes. Notamment les filles. Comme si elles avaient choisi ce lieu pour attirer le regard ‘’de prédateurs’’ du palais prêts à bondir sur le premier gibier. Car, cela n’est plus un secret pour personne, la dépravation des mœurs sous la refondation a gagné en intensité au point que la femme est seulement considérée comme un objet de plaisir. Il n’y a qu’à voir une belle silhouette dans une tenue provocante pour qu’elle succombe aux assauts des refondateurs. Ce qui pourrait expliquer que des tenues vestimentaires souvent trop osées soient admises à la présidence. Le moins qu’on puisse dire c’est que la morale n’est plus de mise au palais. Une descente de la brigade des mœurs en ce lieu pourrait, à n’en point douter, s’avérer salutaire pour tout le pays. Car les refondateurs ont fait de la dépravation des mœurs leur sport favori. Et cela, en tout lieu et en tout temps.

Dossier réalisé par JN et
Lance Touré
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