La meilleure attaque étant présumée être la meilleure défense, l’on n’est guerre étonné de voir la presse du Fpi annoncer à la une de l’une de ses publications que le futur président de la République est dans la tourmante. Et le journal de soutenir que le jet du président Ado appartenant à une compagnie sud africaine est en relation d’affaire avec Viktor Bout. La conclusion est toute indiquée : Alassane Ouattara est tout de suite ami de cet homme qu’on nomme marchand de la mort pour être le vendeur clandestin d’armes de guerre. Il est prisonnier aujourd’hui aux Etats-Unis. Et c’est du milieu proche de la présidence de la République qu’un haut gradé nous éclaire qu’il s’agit de la vieille technique d’attaquer pour se defendre. Sinon, interroge notre source, pourquoi ces gens qui accusent Ado ne disent pas aussi où ils ont acheté les Sukhoï, Mi 24, et autres munitions et par qui ont-ils recruté les pilotes biolo-russes qui pilotaient les avions qui ont bombardé Bouaké et les soldats de la force licorne ? Les amitiés et les complicités de Viktor Bout doivent être recherchées autour de monsieur Laurent Gbagbo. Dans tous les cas, rien ne surprend les observateurs attentifs qui savent que le parrain et protecteur des importateurs des déchets toxiques compte dans ses amitiés, des marchands de la mort. Lui qui chante " mille morts à guauche, mille morts à droite, moi j’avance". Et depuis, on en a eu pour notre compte. Comme le temps ne ment pas, à l’arrivée du rendez-vous des jugements qui auront lieu au Tpi et Cpi, on saura qui est l’ami de Viktor Bout.
D.K
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