Lebanco.net - Quand on a le coup de foudre pour quelque chose, on lui trouve tous les charmes, toutes les vertus, toutes les qualités. Aussi, était-ce avec un peu d’angoisse avec ce qui s’est passé à Paris à l’enrôlement, que nous avons abordés le vote dans une grande ville comme New York et aussi à Washington DC. Disons le tout de suite et sans fausse modestie : l’organisation a été irréprochable. Ceci est un constat unanime.
Le 31 octobre à New York
Très tôt, tous les responsables de la CEI locale, tous les fonctionnaires de notre mission permanente étaient à leur poste au 800 second avenue, siège de notre représentation.
Avec 1950 électeurs, l’Etat de New York avait le plus gros contingent de votants. Toute l’opération s’est déroulée dans le calme, grâce aux éléments du colonel Aphamou qui ont fait preuve d’un calme et d’un coefficient très élevé de compréhension, face à l’attitude de « Yaosehi » et « d’Abobo derrière rail » de certains de nos compatriotes qui se comportaient comme s’ils s’étaient rendus aux Etats-Unis, par la nage, à l’instar de certains Mexicains.
A New York, si tous étaient a la tâche, il convient de décerner la palme d’or aux éléments de la sécurité du colonel, car assurer la sécurité dans ce « grenier » qu’est notre mission , qui ressemble très fort à notre première chambre de bonnes à 20 rue Simard dans le 18è arrondissement de Paris dans les années 80, il fallait le faire !
Quid de Washington ?
La capitale fédérale des Etats-Unis, Washington DC, avec seulement 850 votants, n’a pas la folie de New York. SE Charles Yao Koffi qui avait tenu plusieurs réunions de préparation avec la CEI fédérale, avait réquisitionné tous les fonctionnaires de la chancellerie, et était présent sur les lieux tant pendant la distribution des cartes d’électeurs que le jour du vote, le dimanche 31 octobre.
Jamais de mémoire de vagabond de l’information, nous avons vu des diplomates (en l’occurrence SE Charles Koffi), descendre ainsi de leur piédestal pour se plier en quatre afin de se mettre à la disposition de la diaspora.
Au plan sécuritaire, les hommes du colonel major Yobouet (dont on attend toujours d'arroser les épaulettes) ont tiré leur épingle du processus, surtout que le major a mis, semble-t-il, sous l'éteignoir « M. Pourcentage », le sous- officier sac au dos Ouapeu.
En vérité, ces élections aux Etats-Unis ont été fort tranquilles, et sont restées fidèles à la coutume, à savoir que la plupart des actions se passent de la manière dont elles sont prévues.
S’il convient de souligner que l’homme africain en général, ivoirien en particulier, a cette incroyable faculté de ne reconnaitre que tout ce qui est négatif dans l’ascension ou dans la marche d’une organisation, il est tout autant honnête de rendre hommage à une organisation huilée et irréprochable.
Espérons vivement que le 28 novembre 2010, tout le monde sera une fois de plus au charbon, car « l’Ivoirien ne dure plus dans mauvais rêve »…
Soukalo de Kibouo a Washington DC
Le 31 octobre à New York
Très tôt, tous les responsables de la CEI locale, tous les fonctionnaires de notre mission permanente étaient à leur poste au 800 second avenue, siège de notre représentation.
Avec 1950 électeurs, l’Etat de New York avait le plus gros contingent de votants. Toute l’opération s’est déroulée dans le calme, grâce aux éléments du colonel Aphamou qui ont fait preuve d’un calme et d’un coefficient très élevé de compréhension, face à l’attitude de « Yaosehi » et « d’Abobo derrière rail » de certains de nos compatriotes qui se comportaient comme s’ils s’étaient rendus aux Etats-Unis, par la nage, à l’instar de certains Mexicains.
A New York, si tous étaient a la tâche, il convient de décerner la palme d’or aux éléments de la sécurité du colonel, car assurer la sécurité dans ce « grenier » qu’est notre mission , qui ressemble très fort à notre première chambre de bonnes à 20 rue Simard dans le 18è arrondissement de Paris dans les années 80, il fallait le faire !
Quid de Washington ?
La capitale fédérale des Etats-Unis, Washington DC, avec seulement 850 votants, n’a pas la folie de New York. SE Charles Yao Koffi qui avait tenu plusieurs réunions de préparation avec la CEI fédérale, avait réquisitionné tous les fonctionnaires de la chancellerie, et était présent sur les lieux tant pendant la distribution des cartes d’électeurs que le jour du vote, le dimanche 31 octobre.
Jamais de mémoire de vagabond de l’information, nous avons vu des diplomates (en l’occurrence SE Charles Koffi), descendre ainsi de leur piédestal pour se plier en quatre afin de se mettre à la disposition de la diaspora.
Au plan sécuritaire, les hommes du colonel major Yobouet (dont on attend toujours d'arroser les épaulettes) ont tiré leur épingle du processus, surtout que le major a mis, semble-t-il, sous l'éteignoir « M. Pourcentage », le sous- officier sac au dos Ouapeu.
En vérité, ces élections aux Etats-Unis ont été fort tranquilles, et sont restées fidèles à la coutume, à savoir que la plupart des actions se passent de la manière dont elles sont prévues.
S’il convient de souligner que l’homme africain en général, ivoirien en particulier, a cette incroyable faculté de ne reconnaitre que tout ce qui est négatif dans l’ascension ou dans la marche d’une organisation, il est tout autant honnête de rendre hommage à une organisation huilée et irréprochable.
Espérons vivement que le 28 novembre 2010, tout le monde sera une fois de plus au charbon, car « l’Ivoirien ne dure plus dans mauvais rêve »…
Soukalo de Kibouo a Washington DC