Le Samedi 20 Novembre 2010, voici le constat que faisait une dame au vu des deux clips télévisés présentant les deux candidats. S’adonnant à la psychanalyse, elle estime que ces images revêtent le caractère profond et la personnalité des deux candidats.
- D’un côté, avec ADO, on a l’image d’un homme d’Etat serein au milieu de son peuple qui l’apprécie hautement. Un Homme pondéré qui rassure. Le clip présente le parcours d’un homme de très grande valeur et d’expériences, accessible à tous les milieux, qui demeure cependant peu marqué par les épreuves politiques qu’il a vécues. Un homme ouvert, bénéficiant de la confiance absolue des membres du RHDP, de la chefferie du grand centre, de la jeunesse et de la population. Un homme qui peut effectivement engager les changements et les reformes nécessaires à la Côte d’Ivoire nouvelle. Un homme qui rassure les milieux d’affaires et le cadre économique national et international. Un homme qui transmet une image positive et respectable de la Côte d’Ivoire. Une image d’un futur radieux.
- De l’autre côté, avec Laurent Gbagbo, on a l’image d’un homme extrêmement violent, d’un monstre froid, aux instincts sanguinaires, qui réveille sans état d’âme les douleurs des populations meurtries. Un homme bagarreur comme les jeunes des banlieues françaises, heureux de leurs forfaits. Les deux tiers de son clip sont consacrés à la violence extrême et au sang. En fait, cela rappelle le sang qui a coulé en abondance durant les 10 ans de règne et de terreur de Gbagbo. L’emploi du terme « souvenez-vous » désigne clairement ce qui attend les Ivoiriens si Monsieur Gbagbo est élu. Sans aucun remord, il considère les morts comme normal, qui font sa grandeur à lui Gbagbo. Les morts sont morts, les vivants doivent avancer, selon ses propres termes. "Mille morts à droite et dix mille à ma gauche, moi Gbagbo j’avance", avait-il dit. Ne comptez pas sur lui pour mettre fin à son règne macabre. Ivoiriennes, avec Gbagbo, vos larmes sont loin de sécher. Blé Goudé compatissant avec des larmes de crocodile, au milieu des mutilés qui ignorent les vrais responsables de leur malheur. A voir le clip, l’on se demande si la guerre n’avait pas existé, qu’aurait pu faire ou montrer Monsieur Gbagbo ? Forcement, il l’aurait inventée, tellement il en est fier dans sa présentation. Si c’était à refaire, il n’hésiterait pas une seconde à la refaire. Cela justifie donc la thèse qui dit que Gbagbo est l’auteur véritable de toutes les calamités (coups d’Etat et guerre) qui frappent le pays depuis l’opposition jusqu’au pouvoir. Il est abonné au sang. Même, en des moments aussi sérieux que la campagne électorale, il n’hésite pas à montrer ce côté qui fait effectivement partie innée de sa personnalité. Il ne peut s’en départir. Côté projet, Gbagbo est pris en flagrant délit de mensonge, car on n’a aucune trace de ses affabulations d’infrastructures réalisées. Certainement, ce sont des images du centre de santé, de l’école et de la route de Mama, qui ont été présentées à la stupéfaction générale de tous. Encore une fois, le caractère de mythomane se révèle dans ce clip. Malgré les foules autour de lui, on sent que Gbagbo est un homme solitaire qui préfère se référer à ses combats de résistance comme le seul véritable mérite face aux Ivoiriens. Il se présente comme "l’anti-image" de la Côte d’Ivoire, avec tout ce que cela comporte de négatif et de répulsif. Une image d’un futur sombre et incertain pour la Côte d’Ivoire. Une image de repliement du pays sur lui-même. Une image d’isolement du pays. Ce n’est pas étonnant quand ces amis socialistes le trouvaient infréquentable.
À la dame de conclure que les ivoiriens, qui avaient encore quelques doutes, peuvent être maintenant édifiés sur les deux candidats et celui qu’il faut réellement à la Côte d’Ivoire. Si avec ça, ils sont bêtes pour choisir Gbagbo, alors ils auront bien ce qu’ils méritent.
Le choix d’ADO constitue le choix d’un avenir pacifique et de travail pour le bonheur des Ivoiriens.
Le Choix de Gbagbo nous amène inéluctablement vers ce passé douloureux que les Ivoiriens voudraient oublier, une page noire qu’ils veulent tourner définitivement. Mais avec Gbagbo, cela n’est pas certain, on s’en souviendra toujours pour mieux poursuivre la descente du pays aux enfers.
Barack Obama disait : " L'Afrique n'a pas besoin d'hommes forts, mais de fortes institutions".
James Freeman Clarke, écrivain anglais disait : "La différence entre le politicien et l’homme d’État est la suivante : le politicien pense à la prochaine élection ; l’homme d’État, à la prochaine génération."
Ainsi, Alassane Ouattara est un homme d’Etat qui vise à doter son pays d’institutions fortes. Tandis que Laurent Gbagbo est un politicien préoccupé par la prochaine élection, qui veut se présenter comme un homme fort à la tête d’institutions faibles.
Barack Obama a également dit : "Personne ne veut vivre dans une société où la règle de droit cède la place à la loi du plus fort et à la corruption. Ce n'est pas de la démocratie, c'est de la tyrannie, même si de temps en temps on y sème une élection ça et là, et il est temps que ce style de gouvernement disparaisse".
Luiz Inácio Lula da Silva Président du brésil, lauréat du prix Houphouët-Boigny de la Paix 2009 disait :"Il est toujours possible de choisir la paix au lieu de la guerre. La démocratie au lieu de la tyrannie. Le triomphe des droits de l'homme au lieu de l'arbitraire. L'égalité sociale et le bien-être de tous au lieu de l'exploitation."
Enfin, Barack Obama disait encore : "Vous avez le pouvoir de responsabiliser vos dirigeants et de bâtir des institutions qui servent le peuple."
À partir de ces citations des Présidents qui font la fierté du Monde, on peut déduire que Gbagbo est totalement disqualifié pour diriger la Côte d’Ivoire. Seul ADO et le RHDP présentent les meilleurs atouts pour gérer le Pays, en bon père de famille, dans l’intérêt exclusif de la nation.
Que DIEU bénisse la Côte d’Ivoire
KOUAME Yao Fréjus dit Yassoua
- D’un côté, avec ADO, on a l’image d’un homme d’Etat serein au milieu de son peuple qui l’apprécie hautement. Un Homme pondéré qui rassure. Le clip présente le parcours d’un homme de très grande valeur et d’expériences, accessible à tous les milieux, qui demeure cependant peu marqué par les épreuves politiques qu’il a vécues. Un homme ouvert, bénéficiant de la confiance absolue des membres du RHDP, de la chefferie du grand centre, de la jeunesse et de la population. Un homme qui peut effectivement engager les changements et les reformes nécessaires à la Côte d’Ivoire nouvelle. Un homme qui rassure les milieux d’affaires et le cadre économique national et international. Un homme qui transmet une image positive et respectable de la Côte d’Ivoire. Une image d’un futur radieux.
- De l’autre côté, avec Laurent Gbagbo, on a l’image d’un homme extrêmement violent, d’un monstre froid, aux instincts sanguinaires, qui réveille sans état d’âme les douleurs des populations meurtries. Un homme bagarreur comme les jeunes des banlieues françaises, heureux de leurs forfaits. Les deux tiers de son clip sont consacrés à la violence extrême et au sang. En fait, cela rappelle le sang qui a coulé en abondance durant les 10 ans de règne et de terreur de Gbagbo. L’emploi du terme « souvenez-vous » désigne clairement ce qui attend les Ivoiriens si Monsieur Gbagbo est élu. Sans aucun remord, il considère les morts comme normal, qui font sa grandeur à lui Gbagbo. Les morts sont morts, les vivants doivent avancer, selon ses propres termes. "Mille morts à droite et dix mille à ma gauche, moi Gbagbo j’avance", avait-il dit. Ne comptez pas sur lui pour mettre fin à son règne macabre. Ivoiriennes, avec Gbagbo, vos larmes sont loin de sécher. Blé Goudé compatissant avec des larmes de crocodile, au milieu des mutilés qui ignorent les vrais responsables de leur malheur. A voir le clip, l’on se demande si la guerre n’avait pas existé, qu’aurait pu faire ou montrer Monsieur Gbagbo ? Forcement, il l’aurait inventée, tellement il en est fier dans sa présentation. Si c’était à refaire, il n’hésiterait pas une seconde à la refaire. Cela justifie donc la thèse qui dit que Gbagbo est l’auteur véritable de toutes les calamités (coups d’Etat et guerre) qui frappent le pays depuis l’opposition jusqu’au pouvoir. Il est abonné au sang. Même, en des moments aussi sérieux que la campagne électorale, il n’hésite pas à montrer ce côté qui fait effectivement partie innée de sa personnalité. Il ne peut s’en départir. Côté projet, Gbagbo est pris en flagrant délit de mensonge, car on n’a aucune trace de ses affabulations d’infrastructures réalisées. Certainement, ce sont des images du centre de santé, de l’école et de la route de Mama, qui ont été présentées à la stupéfaction générale de tous. Encore une fois, le caractère de mythomane se révèle dans ce clip. Malgré les foules autour de lui, on sent que Gbagbo est un homme solitaire qui préfère se référer à ses combats de résistance comme le seul véritable mérite face aux Ivoiriens. Il se présente comme "l’anti-image" de la Côte d’Ivoire, avec tout ce que cela comporte de négatif et de répulsif. Une image d’un futur sombre et incertain pour la Côte d’Ivoire. Une image de repliement du pays sur lui-même. Une image d’isolement du pays. Ce n’est pas étonnant quand ces amis socialistes le trouvaient infréquentable.
À la dame de conclure que les ivoiriens, qui avaient encore quelques doutes, peuvent être maintenant édifiés sur les deux candidats et celui qu’il faut réellement à la Côte d’Ivoire. Si avec ça, ils sont bêtes pour choisir Gbagbo, alors ils auront bien ce qu’ils méritent.
Le choix d’ADO constitue le choix d’un avenir pacifique et de travail pour le bonheur des Ivoiriens.
Le Choix de Gbagbo nous amène inéluctablement vers ce passé douloureux que les Ivoiriens voudraient oublier, une page noire qu’ils veulent tourner définitivement. Mais avec Gbagbo, cela n’est pas certain, on s’en souviendra toujours pour mieux poursuivre la descente du pays aux enfers.
Barack Obama disait : " L'Afrique n'a pas besoin d'hommes forts, mais de fortes institutions".
James Freeman Clarke, écrivain anglais disait : "La différence entre le politicien et l’homme d’État est la suivante : le politicien pense à la prochaine élection ; l’homme d’État, à la prochaine génération."
Ainsi, Alassane Ouattara est un homme d’Etat qui vise à doter son pays d’institutions fortes. Tandis que Laurent Gbagbo est un politicien préoccupé par la prochaine élection, qui veut se présenter comme un homme fort à la tête d’institutions faibles.
Barack Obama a également dit : "Personne ne veut vivre dans une société où la règle de droit cède la place à la loi du plus fort et à la corruption. Ce n'est pas de la démocratie, c'est de la tyrannie, même si de temps en temps on y sème une élection ça et là, et il est temps que ce style de gouvernement disparaisse".
Luiz Inácio Lula da Silva Président du brésil, lauréat du prix Houphouët-Boigny de la Paix 2009 disait :"Il est toujours possible de choisir la paix au lieu de la guerre. La démocratie au lieu de la tyrannie. Le triomphe des droits de l'homme au lieu de l'arbitraire. L'égalité sociale et le bien-être de tous au lieu de l'exploitation."
Enfin, Barack Obama disait encore : "Vous avez le pouvoir de responsabiliser vos dirigeants et de bâtir des institutions qui servent le peuple."
À partir de ces citations des Présidents qui font la fierté du Monde, on peut déduire que Gbagbo est totalement disqualifié pour diriger la Côte d’Ivoire. Seul ADO et le RHDP présentent les meilleurs atouts pour gérer le Pays, en bon père de famille, dans l’intérêt exclusif de la nation.
Que DIEU bénisse la Côte d’Ivoire
KOUAME Yao Fréjus dit Yassoua