Réunis à Abidjan, ce jour mardi 23 novembre 2010, en marge de la séance de travail organisée à l’hôtel du Golf dans le cadre des préparatifs du second tour de l’élection du président de la République, les délégués généraux des Forces Nouvelles ont fait le bilan du premier tour de l’élection présidentielle et ont analysé la campagne du second tour.
Les délégués, en échangeant les informations en rapport avec les points ci-dessus cités, ont relevé que depuis la publication des résultats du premier tour de l’élection du président de la République, des commentaires malveillants émanent de milieux et de personnalités politiques accusent les éléments des Forces Nouvelles d’avoir, directement ou indirectement, physiquement ou moralement, exercé sur les électeurs des zones Centre, Nord et Ouest des pressions de nature à orienter leur voix sur l’un des candidats, et d’avoir ainsi altéré la sincérité du scrutin sur cette partie du territoire.
Les délégués ont déploré le fait qu’au moment où tous les Ivoiriens et toute la communauté internationale affichent leur satisfaction quant au bon déroulement du scrutin du premier tour, des cadres du Nord émanant de La majorité présidentielle (LMP) affirment que : « les populations ont fait l’objet de menaces et d’intimidation avant, pendant et immédiatement après le scrutin, menaces et intimidations émanant de certains éléments des Forces Nouvelles ». Ces cadres poussent le ridicule jusqu’à laisser entendre que certains éléments des Forces Nouvelles ont, dans plusieurs localités, affiché très clairement leur préférence pour un candidat donné. Pis, ils disent être préoccupés par l’existence de médias parallèles dans la zone CNO et leur persistance à être utilisés comme des supports exclusifs de la propagande du candidat du RDR.
Les délégués généraux des Forces Nouvelles, qui étaient présents sur le terrain le jour du scrutin et l’ont supervisé de bout en bout pour le compte de leur hiérarchie, s’inscrivent en faux contre ces graves incriminations de nature tendancieuses.
Les délégués généraux notent que les faits dénoncés n’ont apparemment été constatés que par ces cadres seuls, et non par les nombreux observateurs impartiaux tant nationaux qu’internationaux qui ont été déployés sur toute l’étendue du territoire national.
On est tenté de croire que les manœuvres de ces cadres visent à discréditer l’excellent travail abattu par des Institutions et Ong aussi prestigieuses que l’Union Européenne, l’Union Africaine, l’Onuci, la Fondation Carter et bien d’autres qui ont, en effet, conclu à un scrutin transparent. Mieux, le mandant de ces cadres en l’occurrence le chef de l’Etat, a lui-même félicité les Forces Nouvelles dans une de ses communications d’après le premier tour.
Les délégués généraux des Forces Nouvelles s’autorisent donc à n’y voir que de vains prétextes visant uniquement et maladroitement à camoufler aux yeux de leur mandant l’échec qui a sanctionné l’impéritie.
Les délégués généraux des Forces nouvelles estiment même qu’ils ont été mal récompensés de leurs efforts, eux qui, le 31 octobre dernier, ont répondu favorablement aux sollicitations de ces cadres et élus chaque fois qu’ils en ont exprimé le besoin.
Pour ce qui est de la question des médias, les délégués généraux des Forces nouvelles s’associent pleinement aux communiqués publiés par leur hiérarchie le 18 novembre 2010, réaffirmant leur neutralité dans le processus électoral en cours et la normalisation des médias en zone Cno, pendant la période électorale.
En tout état de cause, il ne pouvait en être autrement, compte tenu de la position d’arbitre, et donc de la neutralité du Premier ministre, secrétaire général des Forces nouvelles ; position à laquelle adhèrent totalement les délégués et autres responsables des Forces nouvelles.
Il plaît d’ailleurs aux délégués de relever que loin de se laisser perturber par ces allégations mensongères, ils saisissent cette occasion, pour confirmer, une fois encore, leur soutien inconditionnel à leur secrétaire général, le Premier ministre Guillaume Kigbafori Soro et l’invitent à poursuivre sa noble mission de conduite du processus de sortie de crise, sans désemparer.
Les délégués généraux, en observant les agissements de campagne récents, jugent important et judicieux d’inviter les acteurs politiques à privilégier la marche pacifique vers une élection apaisée, le 28 novembre prochain, tournant le dos aux comportements inspirés par la déraison qui n’ont que fait souffrir le peuple de Côte d’Ivoire.
Ils appellent les Ivoiriens à la vigilance face aux manœuvres tendant à diaboliser les Forces nouvelles et leur Premier responsable qu’est le secrétaire général des Forces nouvelles.
Les délégués invitent les états-majors des candidats ainsi que l’ensemble des populations, à se départir de toute violence physique ou verbale pour emprunter le chemin de la fraternité et de la concorde, pour une Côte d’Ivoire.
Fait à Abidjan, le 23 novembre 2010
Les délégués généraux des Forces nouvelles
N.B. : Les surtitre et titre sont de la Rédaction.
Les délégués, en échangeant les informations en rapport avec les points ci-dessus cités, ont relevé que depuis la publication des résultats du premier tour de l’élection du président de la République, des commentaires malveillants émanent de milieux et de personnalités politiques accusent les éléments des Forces Nouvelles d’avoir, directement ou indirectement, physiquement ou moralement, exercé sur les électeurs des zones Centre, Nord et Ouest des pressions de nature à orienter leur voix sur l’un des candidats, et d’avoir ainsi altéré la sincérité du scrutin sur cette partie du territoire.
Les délégués ont déploré le fait qu’au moment où tous les Ivoiriens et toute la communauté internationale affichent leur satisfaction quant au bon déroulement du scrutin du premier tour, des cadres du Nord émanant de La majorité présidentielle (LMP) affirment que : « les populations ont fait l’objet de menaces et d’intimidation avant, pendant et immédiatement après le scrutin, menaces et intimidations émanant de certains éléments des Forces Nouvelles ». Ces cadres poussent le ridicule jusqu’à laisser entendre que certains éléments des Forces Nouvelles ont, dans plusieurs localités, affiché très clairement leur préférence pour un candidat donné. Pis, ils disent être préoccupés par l’existence de médias parallèles dans la zone CNO et leur persistance à être utilisés comme des supports exclusifs de la propagande du candidat du RDR.
Les délégués généraux des Forces Nouvelles, qui étaient présents sur le terrain le jour du scrutin et l’ont supervisé de bout en bout pour le compte de leur hiérarchie, s’inscrivent en faux contre ces graves incriminations de nature tendancieuses.
Les délégués généraux notent que les faits dénoncés n’ont apparemment été constatés que par ces cadres seuls, et non par les nombreux observateurs impartiaux tant nationaux qu’internationaux qui ont été déployés sur toute l’étendue du territoire national.
On est tenté de croire que les manœuvres de ces cadres visent à discréditer l’excellent travail abattu par des Institutions et Ong aussi prestigieuses que l’Union Européenne, l’Union Africaine, l’Onuci, la Fondation Carter et bien d’autres qui ont, en effet, conclu à un scrutin transparent. Mieux, le mandant de ces cadres en l’occurrence le chef de l’Etat, a lui-même félicité les Forces Nouvelles dans une de ses communications d’après le premier tour.
Les délégués généraux des Forces Nouvelles s’autorisent donc à n’y voir que de vains prétextes visant uniquement et maladroitement à camoufler aux yeux de leur mandant l’échec qui a sanctionné l’impéritie.
Les délégués généraux des Forces nouvelles estiment même qu’ils ont été mal récompensés de leurs efforts, eux qui, le 31 octobre dernier, ont répondu favorablement aux sollicitations de ces cadres et élus chaque fois qu’ils en ont exprimé le besoin.
Pour ce qui est de la question des médias, les délégués généraux des Forces nouvelles s’associent pleinement aux communiqués publiés par leur hiérarchie le 18 novembre 2010, réaffirmant leur neutralité dans le processus électoral en cours et la normalisation des médias en zone Cno, pendant la période électorale.
En tout état de cause, il ne pouvait en être autrement, compte tenu de la position d’arbitre, et donc de la neutralité du Premier ministre, secrétaire général des Forces nouvelles ; position à laquelle adhèrent totalement les délégués et autres responsables des Forces nouvelles.
Il plaît d’ailleurs aux délégués de relever que loin de se laisser perturber par ces allégations mensongères, ils saisissent cette occasion, pour confirmer, une fois encore, leur soutien inconditionnel à leur secrétaire général, le Premier ministre Guillaume Kigbafori Soro et l’invitent à poursuivre sa noble mission de conduite du processus de sortie de crise, sans désemparer.
Les délégués généraux, en observant les agissements de campagne récents, jugent important et judicieux d’inviter les acteurs politiques à privilégier la marche pacifique vers une élection apaisée, le 28 novembre prochain, tournant le dos aux comportements inspirés par la déraison qui n’ont que fait souffrir le peuple de Côte d’Ivoire.
Ils appellent les Ivoiriens à la vigilance face aux manœuvres tendant à diaboliser les Forces nouvelles et leur Premier responsable qu’est le secrétaire général des Forces nouvelles.
Les délégués invitent les états-majors des candidats ainsi que l’ensemble des populations, à se départir de toute violence physique ou verbale pour emprunter le chemin de la fraternité et de la concorde, pour une Côte d’Ivoire.
Fait à Abidjan, le 23 novembre 2010
Les délégués généraux des Forces nouvelles
N.B. : Les surtitre et titre sont de la Rédaction.
