La multitude d’incidents auxquels nous assistons depuis quelques jours n’est pas fortuite. Elle découle d’actions concertées, bien planifiées pour empêcher le bon déroulement, voire le déroulement du 2e tour de l’élection présidentielle. Les officines subversives de déstabilisation sont à l’œuvre.
Le harcèlement urbain est à l’ordre du tour pour créer la chienlit nécessaire aux actions subversives concoctées. Ces jours- ci, Ouattara et ses hommes projettent d’organiser une véritable guérilla urbaine digne des Tupamaros. Ce n’est pas de l’affabulation. Toute négligence coupable face à la détermination de Ouattara pour ses menées subversives pourrait avoir des conséquences dramatiques voire fatales pour la République.
Ouattara sait aujourd’hui d’avance qu’il a perdu le 2e tour, si tout se passe dans les conditions maximales de sécurité et de transparence. Mieux vaut alors tout « gâter » soit avant le 28 ou le 28, jour du scrutin.
Il faut pour ce faire, donc un certain nombre de conditions pour atteindre cet objectif : Installer une psychose totale d’insécurité et créer la chienlit essentielle à leurs différents plans de déstabilisation.
Cependant, l’assurance mâle que Ouattara affiche ces jours- ci pour l’occupation du fauteuil présidentiel répond à l’enchaînement nécessaire des effets et des causes.
Les causes pourraient être multiples, mais à l’évidence il y a une essentielle, le soutien des bras séculiers extérieurs : La France et l’Onuci. En tout état de cause, les deux Institutions ne forment qu’une quand il s’agit d’éliminer Laurent Gbagbo.
I- La France, parlons- en
La France de Jacques Chirac, la chiraquie dont (qu’on le veuille ou non), Sarkozy y est un membre influent et même une éminence grise malgré quelques contradictions internes (intérêts personnels obligent) a décidé d’avoir la peau de Laurent Gbagbo. Là où le “père” a échoué, le “fils” se croit plus apte. C’est une affaire du Cid de Corneille “Rodrigue, as- tu cœur” dit Don Diègue et la réplique ne se fait pas attendre : “Tout autre que mon père l’éprouverait sur l’heure”. Et Don Diègue apaisé de soupirer “agréable colère, digne ressentiment à mon Bonheur si doux”. Le “père” Chirac ayant reçu la résistance de la Côte d’Ivoire comme une gifle, charge le “fils” Sarkozy de laver l’affront. Dès lors, il est aisé de comprendre que ce fils ne reculera devant rien pour assouvir sa vengeance. La résistance ivoirienne a été ressentie dans les milieux français spécialistes des coups tordus comme un affront. La France de Sarkozy ne lésinera pas sur les moyens pour mettre en place le larbin serveur qu’ils ont choisi : Ouattara Alassane. Son plan de déstabilisation est en marche depuis le 31 octobre date du 1er tour.
Dans le but de plonger la Côte d’Ivoire dans une situation chaotique, la France de Nicolas Sarkozy a adopté diverses stratégies :
A- En effet, les ennemis de la Côte d’Ivoire continuent de déverser sur le sol ivoirien une horde de mercenaires relevant tous de l’armée française dans l’optique de s’attaquer à des vies humaines notamment dans les rangs des hommes politiques dont pour la plupart proche du camp présidentiel et des communautés étrangères établies en terre d’Eburnie. Ces individus :
Luc Olivier
Guy De Brème
Paul Landrin
Roland Benoit
Marc Ambroise
Demel Yvon
Crépin Brube
Florent Thibaut
Valère Destour
Gildas De Cone
Dominique Ribet
Maxim Durons
Monter Brun
Gatien Gaël
Léon Dussel
Bénéficient actuellement, pour la reconnaissance du terrain, des services de certains soldats des Fanci proches de Ouattara. Ce sont :
Yao Djè, Commissaire de Police
Soumaïla Koné, officier de police
Commandant Goué du Camp Commando d’Abobo
Le Dlc Adama Bictogo
Hamed Bakayoko ex-ministre des Ntic
Maître Coulibaly Soungalo, Avocat à la cour
Le Sergent Chef Issiaka Coulibaly de l’état-major...
Pour tenir compte pour l’heure des noms susmentionnés en attendant la liste complète et tous ceux qui ont accepté de prêter leurs services aux ennemis de la Côte d’Ivoire.
Partant de la date du 31 octobre, on connaîtra, au cours du scrutin des graves violences. Les faits auxquels nous assistons confirment le plan machiavélique. La Licorne qui n’attend que les moindres perturbations, manœuvres délibérées des militants du Rhdp notamment des militants Rdr commis spécialement pour attenter à des vies humaines, s’invitera dans le maintien d’ordre pour les aider à parvenir à leurs desseins qui consistent à faire chuter le régime en place pour le rétablissement d’un nouvel ordre politique. En conséquence, elle a reçu le 8 octobre 2010 un lot d’équipements très performants de maintien d’ordre (voir fac similé ci-joint) venu de La Rochelle sur le navire MN Eclispe, débarqué à 13H au quai 25.
Si l’on n’y prend garde, l’atmosphère sociopolitique pourrait être incontrôlable.
B- La France de Nicolas Sarkozy qui attend de balayer le régime d’Abidjan, un régime dit suffisant et sans repère, ne cesse d’investir le terrain par l’envoi massif de mercenaires européens sur le sol ivoirien.
Au plan des expéditions et incursions militaire, des contrées essentielles ont été ciblées et reparties en six (6) zones,
Zone A = Daloa- San Pedro- Tabou
Zone B: Divo- Gagnoa- Soubré- Banlieues
Zone C : Bouaflé- Oumé-Guepao
Zone D : Abengourou-Agnibilekro- Dimbokro
Zone E : Tafiéré- Goumeré- Tanda- Bondoukou- Nassian- Sorobango
Zone pilote sous surveillance de la Licorne et du 43e Bima : Abidjan et banlieues
Les positionnements dans les zones précitées débutent le mercredi 27 octobre 2010.
Zone A :
Dominique Savoir (tous pilotes de profession en provenance de la base militaire française de Djibouti)
André Rimar
Patrick Bouma
Zone B :
Hervé Ninon
Franck Dessoir
Dursot Fabrice
Zone C :
Midi Laurient
Romain Vassant
Savio Lentiant
Zone D :
Orphebe Franesca
Berceloty Rivess
Vivien Geraldo
Ces Mercenaires ont une caractéristique singulière pour la majorité, ils sont des hommes de couleur pour semer la confusion dans les esprits lors de l’assaut final. La France tiendra à leur disposition, d’autres mercenaires recrutés dans les forces armées de la sous-région ce sont :
Zambore Kabore
Zanga Lamissa
Compaore Yaro
Sawadogo Oubri
Issiaka Pandore
Sankara Bouri
Bandare Some
Les différentes opérations à mener se feront sous la conduite des officiers suivants :
Rougest Dumarre
Bersaty France
Siméon Valence
Emérite Dursel Coustaud Gises
Quant aux soldats burkinabé dont les noms suivent : ceux- ci auront pour mission de diriger les infiltrés du grand Ouest.
Evidemment, la France ne s’arrête pas en si bon chemin, il lui faut au- delà des forces Licorne, un autre grand complice, l’Onuci, les Forces de maintien de la paix en Côte d’Ivoire.
C’est un secret de polichinelle, que ces Forces-là n’ont rien de saint. Partout dans le monde, où elles ont élu domicile, elles sont les premières à tremper dans toutes sortes de trafics mafieux quand ils ne sont pas criminels. Au Congo, elles ont été mêlées à toutes sortes de choses sordides et odieuses. En Côte d’Ivoire, parti de petits trafics entre zones, elles ont fini par accepter d’être les transbordeurs d’armes d’assaillants, de rebelles.
L’Onuci est devenue “très grave” en Côte d’Ivoire comme disent les enfants.
A l’exception de Choi, les grands chefs de l’Onuci en Côte d’Ivoire sont à la solde de Ouattara. Il est aisé d’observer leurs faits et gestes. Tous les Ivoiriens ne sont pas forcément des “Kouassi Couillons”.
Dans la nuit du vendredi 19 novembre 2010 à 23 heures, trois véhicules Onuci, ayant emprunté en tous cas, l’Autoroute du Nord sont passés par le corridor de Gesco, sans subir de fouille. Les contenus des véhicules ont été réceptionnés par un certain Yacouba Fofana. Un sinistre individu sans domicile fixe. C’est su. Mais quoi d’étonnant au comportement des agents de l’Onuci.
En Côte d’Ivoire, quand on sait que le chef suprême des Forces de maintien de la paix à l’Onu est un Français, placé à ce poste grâce aux entregents du Président de la France. Il lui est donc loisible de désigner en Côte d’Ivoire ceux qui lui sont serviles et dociles. Ces derniers, de peur de voir perdre les postes juteux qu’ils occupent lui obéissent au petit doigt. Pour perdurer, ils doivent être de “bons” exécutants. De peur de voir suspendre leurs contrats respectifs, les Forces de l’Onu à travers le monde peuvent être qualifiées comme l’a dit en son temps, le Général de Gaule lui- même à propos de l’Onu, de “machin” avec toutes les connotations mafieuses. Il nous appartient donc de rester vigilants et de dénoncer toutes ces menées subversives.
Abel Santamaria
Le harcèlement urbain est à l’ordre du tour pour créer la chienlit nécessaire aux actions subversives concoctées. Ces jours- ci, Ouattara et ses hommes projettent d’organiser une véritable guérilla urbaine digne des Tupamaros. Ce n’est pas de l’affabulation. Toute négligence coupable face à la détermination de Ouattara pour ses menées subversives pourrait avoir des conséquences dramatiques voire fatales pour la République.
Ouattara sait aujourd’hui d’avance qu’il a perdu le 2e tour, si tout se passe dans les conditions maximales de sécurité et de transparence. Mieux vaut alors tout « gâter » soit avant le 28 ou le 28, jour du scrutin.
Il faut pour ce faire, donc un certain nombre de conditions pour atteindre cet objectif : Installer une psychose totale d’insécurité et créer la chienlit essentielle à leurs différents plans de déstabilisation.
Cependant, l’assurance mâle que Ouattara affiche ces jours- ci pour l’occupation du fauteuil présidentiel répond à l’enchaînement nécessaire des effets et des causes.
Les causes pourraient être multiples, mais à l’évidence il y a une essentielle, le soutien des bras séculiers extérieurs : La France et l’Onuci. En tout état de cause, les deux Institutions ne forment qu’une quand il s’agit d’éliminer Laurent Gbagbo.
I- La France, parlons- en
La France de Jacques Chirac, la chiraquie dont (qu’on le veuille ou non), Sarkozy y est un membre influent et même une éminence grise malgré quelques contradictions internes (intérêts personnels obligent) a décidé d’avoir la peau de Laurent Gbagbo. Là où le “père” a échoué, le “fils” se croit plus apte. C’est une affaire du Cid de Corneille “Rodrigue, as- tu cœur” dit Don Diègue et la réplique ne se fait pas attendre : “Tout autre que mon père l’éprouverait sur l’heure”. Et Don Diègue apaisé de soupirer “agréable colère, digne ressentiment à mon Bonheur si doux”. Le “père” Chirac ayant reçu la résistance de la Côte d’Ivoire comme une gifle, charge le “fils” Sarkozy de laver l’affront. Dès lors, il est aisé de comprendre que ce fils ne reculera devant rien pour assouvir sa vengeance. La résistance ivoirienne a été ressentie dans les milieux français spécialistes des coups tordus comme un affront. La France de Sarkozy ne lésinera pas sur les moyens pour mettre en place le larbin serveur qu’ils ont choisi : Ouattara Alassane. Son plan de déstabilisation est en marche depuis le 31 octobre date du 1er tour.
Dans le but de plonger la Côte d’Ivoire dans une situation chaotique, la France de Nicolas Sarkozy a adopté diverses stratégies :
A- En effet, les ennemis de la Côte d’Ivoire continuent de déverser sur le sol ivoirien une horde de mercenaires relevant tous de l’armée française dans l’optique de s’attaquer à des vies humaines notamment dans les rangs des hommes politiques dont pour la plupart proche du camp présidentiel et des communautés étrangères établies en terre d’Eburnie. Ces individus :
Luc Olivier
Guy De Brème
Paul Landrin
Roland Benoit
Marc Ambroise
Demel Yvon
Crépin Brube
Florent Thibaut
Valère Destour
Gildas De Cone
Dominique Ribet
Maxim Durons
Monter Brun
Gatien Gaël
Léon Dussel
Bénéficient actuellement, pour la reconnaissance du terrain, des services de certains soldats des Fanci proches de Ouattara. Ce sont :
Yao Djè, Commissaire de Police
Soumaïla Koné, officier de police
Commandant Goué du Camp Commando d’Abobo
Le Dlc Adama Bictogo
Hamed Bakayoko ex-ministre des Ntic
Maître Coulibaly Soungalo, Avocat à la cour
Le Sergent Chef Issiaka Coulibaly de l’état-major...
Pour tenir compte pour l’heure des noms susmentionnés en attendant la liste complète et tous ceux qui ont accepté de prêter leurs services aux ennemis de la Côte d’Ivoire.
Partant de la date du 31 octobre, on connaîtra, au cours du scrutin des graves violences. Les faits auxquels nous assistons confirment le plan machiavélique. La Licorne qui n’attend que les moindres perturbations, manœuvres délibérées des militants du Rhdp notamment des militants Rdr commis spécialement pour attenter à des vies humaines, s’invitera dans le maintien d’ordre pour les aider à parvenir à leurs desseins qui consistent à faire chuter le régime en place pour le rétablissement d’un nouvel ordre politique. En conséquence, elle a reçu le 8 octobre 2010 un lot d’équipements très performants de maintien d’ordre (voir fac similé ci-joint) venu de La Rochelle sur le navire MN Eclispe, débarqué à 13H au quai 25.
Si l’on n’y prend garde, l’atmosphère sociopolitique pourrait être incontrôlable.
B- La France de Nicolas Sarkozy qui attend de balayer le régime d’Abidjan, un régime dit suffisant et sans repère, ne cesse d’investir le terrain par l’envoi massif de mercenaires européens sur le sol ivoirien.
Au plan des expéditions et incursions militaire, des contrées essentielles ont été ciblées et reparties en six (6) zones,
Zone A = Daloa- San Pedro- Tabou
Zone B: Divo- Gagnoa- Soubré- Banlieues
Zone C : Bouaflé- Oumé-Guepao
Zone D : Abengourou-Agnibilekro- Dimbokro
Zone E : Tafiéré- Goumeré- Tanda- Bondoukou- Nassian- Sorobango
Zone pilote sous surveillance de la Licorne et du 43e Bima : Abidjan et banlieues
Les positionnements dans les zones précitées débutent le mercredi 27 octobre 2010.
Zone A :
Dominique Savoir (tous pilotes de profession en provenance de la base militaire française de Djibouti)
André Rimar
Patrick Bouma
Zone B :
Hervé Ninon
Franck Dessoir
Dursot Fabrice
Zone C :
Midi Laurient
Romain Vassant
Savio Lentiant
Zone D :
Orphebe Franesca
Berceloty Rivess
Vivien Geraldo
Ces Mercenaires ont une caractéristique singulière pour la majorité, ils sont des hommes de couleur pour semer la confusion dans les esprits lors de l’assaut final. La France tiendra à leur disposition, d’autres mercenaires recrutés dans les forces armées de la sous-région ce sont :
Zambore Kabore
Zanga Lamissa
Compaore Yaro
Sawadogo Oubri
Issiaka Pandore
Sankara Bouri
Bandare Some
Les différentes opérations à mener se feront sous la conduite des officiers suivants :
Rougest Dumarre
Bersaty France
Siméon Valence
Emérite Dursel Coustaud Gises
Quant aux soldats burkinabé dont les noms suivent : ceux- ci auront pour mission de diriger les infiltrés du grand Ouest.
Evidemment, la France ne s’arrête pas en si bon chemin, il lui faut au- delà des forces Licorne, un autre grand complice, l’Onuci, les Forces de maintien de la paix en Côte d’Ivoire.
C’est un secret de polichinelle, que ces Forces-là n’ont rien de saint. Partout dans le monde, où elles ont élu domicile, elles sont les premières à tremper dans toutes sortes de trafics mafieux quand ils ne sont pas criminels. Au Congo, elles ont été mêlées à toutes sortes de choses sordides et odieuses. En Côte d’Ivoire, parti de petits trafics entre zones, elles ont fini par accepter d’être les transbordeurs d’armes d’assaillants, de rebelles.
L’Onuci est devenue “très grave” en Côte d’Ivoire comme disent les enfants.
A l’exception de Choi, les grands chefs de l’Onuci en Côte d’Ivoire sont à la solde de Ouattara. Il est aisé d’observer leurs faits et gestes. Tous les Ivoiriens ne sont pas forcément des “Kouassi Couillons”.
Dans la nuit du vendredi 19 novembre 2010 à 23 heures, trois véhicules Onuci, ayant emprunté en tous cas, l’Autoroute du Nord sont passés par le corridor de Gesco, sans subir de fouille. Les contenus des véhicules ont été réceptionnés par un certain Yacouba Fofana. Un sinistre individu sans domicile fixe. C’est su. Mais quoi d’étonnant au comportement des agents de l’Onuci.
En Côte d’Ivoire, quand on sait que le chef suprême des Forces de maintien de la paix à l’Onu est un Français, placé à ce poste grâce aux entregents du Président de la France. Il lui est donc loisible de désigner en Côte d’Ivoire ceux qui lui sont serviles et dociles. Ces derniers, de peur de voir perdre les postes juteux qu’ils occupent lui obéissent au petit doigt. Pour perdurer, ils doivent être de “bons” exécutants. De peur de voir suspendre leurs contrats respectifs, les Forces de l’Onu à travers le monde peuvent être qualifiées comme l’a dit en son temps, le Général de Gaule lui- même à propos de l’Onu, de “machin” avec toutes les connotations mafieuses. Il nous appartient donc de rester vigilants et de dénoncer toutes ces menées subversives.
Abel Santamaria
