Sauf changement inattendu, le candidat Alassane Ouattara sera face au candidat Laurent Gbagbo dans le cadre de la campagne électorale relative au second round de la présidentielle. Ce sera l’occasion pour chaque candidat, de se poncer sur les thèmes établis par le Conseil National de Communication Audiovisuelle (Cnca). Au regard des débats télévisés avec les femmes Rhdp face aux femmes de la mouvance présidentielle abusivement appelée majorité présidentielle et le débat entre jeunes qui a opposé, mardi soir, les jeunes Rhdp dont Kouadio Konan Bertin dit KKB et Zasso Patrick et ceux du FPI représentés par Konaté Navigué et Blé Goudé, on peut présager de ce qui va se passer.
On aura un Alassane Ouattara sûr de lui parce qu’il sait de quoi il s’agit quand on parle de la gestion d’un pays. En face, Monsieur Laurent Gbagbo, le candidat qui aura du mal à justifier les échecs de toutes les initiatives qu’il a prises. Mais ce à quoi l’on s’attend, c’est que le candidat FPI s’acharne à vouloir mener en sa qualité d’ingénieur concepteur de faux thèmes, un débat sur la ceinture.
Et c’est là qu’il perdra le débat car ADO, haut fonctionnaire international qui a la mesure de la noblesse ne le suivra pas.
Le public jugera et Gbagbo sera K.O.
Par ailleurs, le langage, support de communication, va certainement causer un handicap à Gbagbo qui se plait à parler son français terre-à-terre de bas niveau. Mon voisin disait hier que le langage de débat est à l’image d’une course de formule 1contre tracteur. Autrement, l’élégance langagière à la Molière contre un français made in Nouchi.
Ce soir, Gbagbo saura sa vraie valeur.
Viendra-t-il vraiment ? Cette fois, on saura s’il voudra affronter la vraie compétition.
Dadis KAM
On aura un Alassane Ouattara sûr de lui parce qu’il sait de quoi il s’agit quand on parle de la gestion d’un pays. En face, Monsieur Laurent Gbagbo, le candidat qui aura du mal à justifier les échecs de toutes les initiatives qu’il a prises. Mais ce à quoi l’on s’attend, c’est que le candidat FPI s’acharne à vouloir mener en sa qualité d’ingénieur concepteur de faux thèmes, un débat sur la ceinture.
Et c’est là qu’il perdra le débat car ADO, haut fonctionnaire international qui a la mesure de la noblesse ne le suivra pas.
Le public jugera et Gbagbo sera K.O.
Par ailleurs, le langage, support de communication, va certainement causer un handicap à Gbagbo qui se plait à parler son français terre-à-terre de bas niveau. Mon voisin disait hier que le langage de débat est à l’image d’une course de formule 1contre tracteur. Autrement, l’élégance langagière à la Molière contre un français made in Nouchi.
Ce soir, Gbagbo saura sa vraie valeur.
Viendra-t-il vraiment ? Cette fois, on saura s’il voudra affronter la vraie compétition.
Dadis KAM