S’il y a une attitude des Ivoiriens à saluer, c’est bien la promptitude avec laquelle ils réagissent aux mensonges et autres intoxications. D’où qu’ils viennent. Tant en interne qu’à l’externe.
Et cela est à mettre au compte de la jeune démocratie que Laurent Gbagbo est en train d’instaurer en Côte d’Ivoire. De fait, depuis la bévue télévisée de Mme Raymonde Coffi militante Pdci, lors de l’émission “au coeur du débat” animé par Thomas Bahintchi, hommes et femmes donnent de la voix. Pour nettoyer les traces de ses mensonges sortis à la télévision devant les téléspectateurs. “Je suis arrivée de Daloa hier, (lundi 22 novembre 2010), les populations Baoulé sont pourchassées. Elles sont dépossédées de leurs plantations. Elles sont menacées. Il y a une totale insécurité dans ces zones”. A peine a-t-elle affirmé cela, que Mme Isabelle Grogue qui a passé une semaine (du 12 au 18 novembre 2010), dans la Région du Haut Sassandra où, accompagnée d’une délégation d’hommes et de femmes au nombre de sept (7) personnes (Baoulé Agni) réunies et qui connaissent bien le terrain, est sortie de sa réserve, hier. “En tant que citoyenne ivoirienne soucieuse de la paix dans mon pays et connaissant le peuple Bété pour sa légendaire hospitalité et sa générosité de cœur, je me lève contre ces mensonges cousus de fils rouges de sang des Ivoiriens. Je suis profondément touchée d’entendre de tels mensonges à la télévision. Pourquoi l’on peut être aussi méchant, lorsqu’il s’agit de parler des Baoulé, en ce moment ? Je ne sais pas si Raymonde Coffi à une réelle idée de ce dont elle a parlé. Pendant une semaine, nous avons parcouru les quatre axes, à savoir Daloa-Abidjan; Daloa-Issia, Daloa-Vavoua et Daloa-Man. Nous avons rencontré des populations Baoulé qui vivaient tranquillement, dans l’attente du vote du 28 novembre 2010. Aucun d’eux ne nous a signalé une quelconque agression. Les Baoulé ne sont nullement pas dans cette logique de Mme Coffi. Ayons la crainte de Dieu dans tous les actes que nous posons”, a confirmé Mme Isabelle Grogue. Leur mission sur le terrain était de porter le message de paix du chef de l’Etat, Président de tous les Ivoiriens, et tous ceux qui vivent sur le sol ivoirien. En émissaire volontaire pour coller avec la volonté de leur candidat qui a fait de chaque Ivoirien son Ddc, là où il se trouve, Mme Isabelle Grogue et son staff ont tendu la main de Laurent Gbagbo aux Baoulé et Agni des différents campements et villages visités. En réponse, ceux-ci ont promis donner leur voix au Président Gbagbo. Etant entendu que leur candidat Bédié n’est plus dans la course. “Nous allons nous lever pour sauver notre pays”, ont-ils dit en chœur. Avec la bénédiction d’un doyen, vétéran de la 2e Guerre mondiale, aujourd’hui chef central d’un gros campement à Daloa, sur l’axe Vavoua. “J’ai combattu pour la dignité de la France. Je sais ce que cela signifie. C’est pourquoi, je suis avec le Président de la République. Parce qu’il combat pour la dignité de la Côte d’Ivoire. Si je l’ai fait pour la liberté de la France, je ne vois pas pourquoi je ne le ferai pas pour mon pays”, a confié le vieux combattant, à ses hôtes. Affirmant ne jamais avoir de problèmes avec leurs frères Bété de la région. Toutefois, au-delà de quelques dons qu’ils ont reçus, les populations de ces localités souhaitent bénéficier l’électrification et surtout la sécurisation du scrutin du 28 novembre dans leurs différentes zones.
Frimo D. Koukou
Et cela est à mettre au compte de la jeune démocratie que Laurent Gbagbo est en train d’instaurer en Côte d’Ivoire. De fait, depuis la bévue télévisée de Mme Raymonde Coffi militante Pdci, lors de l’émission “au coeur du débat” animé par Thomas Bahintchi, hommes et femmes donnent de la voix. Pour nettoyer les traces de ses mensonges sortis à la télévision devant les téléspectateurs. “Je suis arrivée de Daloa hier, (lundi 22 novembre 2010), les populations Baoulé sont pourchassées. Elles sont dépossédées de leurs plantations. Elles sont menacées. Il y a une totale insécurité dans ces zones”. A peine a-t-elle affirmé cela, que Mme Isabelle Grogue qui a passé une semaine (du 12 au 18 novembre 2010), dans la Région du Haut Sassandra où, accompagnée d’une délégation d’hommes et de femmes au nombre de sept (7) personnes (Baoulé Agni) réunies et qui connaissent bien le terrain, est sortie de sa réserve, hier. “En tant que citoyenne ivoirienne soucieuse de la paix dans mon pays et connaissant le peuple Bété pour sa légendaire hospitalité et sa générosité de cœur, je me lève contre ces mensonges cousus de fils rouges de sang des Ivoiriens. Je suis profondément touchée d’entendre de tels mensonges à la télévision. Pourquoi l’on peut être aussi méchant, lorsqu’il s’agit de parler des Baoulé, en ce moment ? Je ne sais pas si Raymonde Coffi à une réelle idée de ce dont elle a parlé. Pendant une semaine, nous avons parcouru les quatre axes, à savoir Daloa-Abidjan; Daloa-Issia, Daloa-Vavoua et Daloa-Man. Nous avons rencontré des populations Baoulé qui vivaient tranquillement, dans l’attente du vote du 28 novembre 2010. Aucun d’eux ne nous a signalé une quelconque agression. Les Baoulé ne sont nullement pas dans cette logique de Mme Coffi. Ayons la crainte de Dieu dans tous les actes que nous posons”, a confirmé Mme Isabelle Grogue. Leur mission sur le terrain était de porter le message de paix du chef de l’Etat, Président de tous les Ivoiriens, et tous ceux qui vivent sur le sol ivoirien. En émissaire volontaire pour coller avec la volonté de leur candidat qui a fait de chaque Ivoirien son Ddc, là où il se trouve, Mme Isabelle Grogue et son staff ont tendu la main de Laurent Gbagbo aux Baoulé et Agni des différents campements et villages visités. En réponse, ceux-ci ont promis donner leur voix au Président Gbagbo. Etant entendu que leur candidat Bédié n’est plus dans la course. “Nous allons nous lever pour sauver notre pays”, ont-ils dit en chœur. Avec la bénédiction d’un doyen, vétéran de la 2e Guerre mondiale, aujourd’hui chef central d’un gros campement à Daloa, sur l’axe Vavoua. “J’ai combattu pour la dignité de la France. Je sais ce que cela signifie. C’est pourquoi, je suis avec le Président de la République. Parce qu’il combat pour la dignité de la Côte d’Ivoire. Si je l’ai fait pour la liberté de la France, je ne vois pas pourquoi je ne le ferai pas pour mon pays”, a confié le vieux combattant, à ses hôtes. Affirmant ne jamais avoir de problèmes avec leurs frères Bété de la région. Toutefois, au-delà de quelques dons qu’ils ont reçus, les populations de ces localités souhaitent bénéficier l’électrification et surtout la sécurisation du scrutin du 28 novembre dans leurs différentes zones.
Frimo D. Koukou
